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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 14:00

calendrier-original-de-1952-en-croisiere.jpgLe calendrier des Postes fut longtemps un must absolu. En effet, depuis le début du XVIIIe siècle, les facteurs avaient l’habitude d’offrir, au nouvel an, un calendrier. Il fut appelé tour à tour almanach de cabinet, calendrier, calendrier de bureau, de comptoir, calendrier des postes et pour la première fois, en 1810, almanach des postes.


« C’est le 15 décembre 1849 que Edouard Thayer, directeur de l’administration générale des postes, autorise, pour la première fois, par une circulaire, les facteurs à distribuer ces calendriers pour leur compte. A partir de 1854, les calendriers imprimés par la maison Oberthur, sont distribués dans toute la France. Le premier septembre 1855, Monsieur Stourm, directeur général des postes, interdit, par la circulaire N°43, de proposer, à cette occasion, des publications hostiles au gouvernement. C’est à cette date que les calendriers reçurent l’appellation «d’Almanach des postes - Etrennes des Facteurs» En 1880, le calendrier changea d’appellation et devint « l’almanach des postes et télégraphes », puis prend le nom « d’almanach des P.T.T. » en 1945, avant de devenir « l’almanach du facteur » en 1989.


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De nos jours dans nos grandes cités comme à la campagne le facteur, qu’on nomme maintenant préposé, ne vient plus vous distribuer le courrier en mains propres comme le faisait au bourg Pailler la factrice, dont j’ai oublié le prénom, grande consommatrice de café, colporteuse de tous les ragots, cuisse légère disait-on en dépit d’une plastique que je trouvais bien ordinaire, et qui se faisait régulièrement remonter les bretelles par le receveur du bureau de postes car elle terminait sa tournée à pas d’heure. Elle se coltinait le courrier du bourg dans une grosse sacoche en cuir ventrue et elle trimballait le pognon des mandats dans une petite pochette de cuir. On la plaignait « la pauvre… » et je connaissais par cœur la litanie de ses maladies, de ses malheurs... 


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Accroché dans la cuisine, à côté de l’éphéméride mural, vendu lui aussi par notre factrice, avec le chiffre du jour en rouge sur un papier blanc fin comme celui des cigarettes, il voisinait avec le calendrier du marchand de machines agricoles de mon père : les établissements Suaud. Pour sûr que nous n’ignorions rien de la fuite du temps. Mais le calendrier qui a fait mes délices fut celui que je découvris dans les affaires de mon frère : au lieu des paisibles bergères de celui des postes il proposait pour chaque mois des femmes pulpeuses et dénudées. Maintenant tout le monde se met à poils sur les calendriers même pour vendre des cercueuils link


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Donc puisqu’on ne croise plus son facteur, même l’Olivier Besancenot qui ne fait plus beaucoup de vélo du côté de Neuilly, il faut aller chez sa concierge pour récupérer son calendrier. Les seuls qui font encore du porte à porte, à une heure tardive, pour vendre leur calendrier sont les Pompiers et les éboueurs. Ce sont leurs étrennes dit-on, j’espère qu’ils s’en servent pour faire la nouba et déquiller quelques bonnes quilles. Bref, tout ça pour vous dire que le titre de ma chronique « Je ne prendrai pas de calendrier cette année, car j’ai été très mécontent de celui de l’année dernière » est une citation d’Alphonse Allais que je trouve bien adapté à mon état d’esprit en cette fin d’année…

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 12:00

Ce petit texte, comme bien d’autres, je l’ai commis sur l’un de mes nombreux petits carnets, comme ça, quand ça me prenait, entre deux rendez-vous, dans le train, je ne sais où, sans doute dans la période de Noël. J’étais alors aux manettes du cabinet d’un Ministre, dans le cambouis du quotidien, en un temps où les affaires prenaient une tournure délétère et même que le petit chose Bérégovoy, l’ex-chef de gare de Pont-Audemer, préféra passer de vie à trépas.


Le titre, sans être prémonitoire bien sûr, ça n’a rien à voir avec l’exil de notre gros Gégé à Néchin, m’est revenu en mémoire. Que Depardieu parte en Belgique, libre à lui puisque ce pays lui offre ce qu’il recherche, aux politiques de tous poils, Français y compris, de notre soi-disant Union Européenne de mettre des actes sous leurs discours : lorsque l’on vit dans une maison commune les règles sont les mêmes pour tous, puissants ou misérables. Harmonisation fiscale et sociale pour protéger le faible contre le fort, plaider pour la dérégulation à tout va lorsqu’on a le cul bien au chaud est d’une grande facilité. Bref, je me fous des symboles, Depardieu s’en va, Houellebecq revient d’Irlande, la vie continue. Un seul truc me chagrine : l’exemplarité par en quenouille chez ceux qui sont sur le devant de la scène. Camembert les politiques et les commentateurs à la Yves Tréard du Figaro, nous en avons soupé de vos caricatures, un peu de tenue ne saurait nuire, même si ce n’est pas le fort de Gégé. Autrefois les saltimbanques ne possédaient pas de comptes en banque aussi épais que le tour de taille de notre Gégé, mais après tout son blé il l’a gagné avec le nôtre qui pausons notre cul dans les salles obscures en versant notre obole.


Les réactions en Belgique ICI link 


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La fuite en Belgique


Aux premières lueurs de l’aurore

J’ai juché ma jeune femme

Sur le dos usé de mon vieil âne.

Notre bel enfant, ignorant le sort

Que lui réservait l’avenir

Dormait dans les bras de sa mère

Et moi son père

Craignant le pire

J’attrapai la bête par le licol

Et au rythme de son pas lent

Nous avons pris à travers champs

Pour atteindre le col.

                    ***********

Le pire n’est jamais sûr

Mais du marigot

Au loin tonne un héraut

Les affaires sont les affaires

Des prédateurs

Des chasseurs d’électeurs

Je fuis

Je les fuis

Ces sans-souci de notre vie

De la vie qui fait des ravages

Ces ignorants de notre quotidien

Des riens

Des moins que rien

Je pars me réfugier

Au plat pays Outre-Quiévrain…

 

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 12:00

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La Trêve de Dieu, au Moyen Âge était en Europe, une suspension de l'activité guerrière durant certaines périodes de l'année exigée par l'Église catholique romaine. Longtemps elle prit la forme d'une trêve du mercredi soir au lundi matin, ainsi que pendant tout l'Avent, à Noël, pendant le Carême et le Temps pascal.


Nous sommes dans le temps de l’Avent et, ce matin encore la barbarie d’un massacre d’enfants dans le Connecticut est venue se surajouter à la barbarie quotidienne en Syrie et sans doute ailleurs, de façon plus ordinaire, dans nos pays dit civilisés. Ça ne donne pas envie de chroniquer sur le thème « faut-il boire du champagne à Noël ? »


Alors pour ne pas sombrer dans un pessimisme noir en ce qui concerne la capacité infinie de la nature humaine à massacrer ses semblables  j’ai décrété ma trêve à moi, sous la forme de ma semaine de bonté avec effet rétroactif et reconduction par tacite reconduction avec moi-même.

 

Dans mon souvenir d’enfant il me revient qu’à la radio, en cette période de l’Avent, une voix de femme faisait un appel aux dons au nom de la Semaine de Bonté link qui est, depuis 1927, une association reconnue d’utilité publique. Maintenant nous ne savons plus où donner tellement les sollicitations sont nombreuses. La pauvreté progresse à nouveau depuis dix ans de 12,9 % de la population en 2002, nous sommes passés à 14,1 % en 2010 et sans doute davantage en 2011 et 2012.

 

Pas facile avec ça de tartiner des chroniques sur le foie gras noyées dans les GCC avec des prix à trois chiffres, comme le font les magazines papier glacé mais aussi la presse nationale : le supplément vins du Monde en témoigne. Il faut vivre avec me rétorquera-t-on, avec cette violence sous toutes ses formes, nous n’avons guère de prise sur la marche du monde. J’en conviens et je ne vais pas tomber dans le piège de la mauvaise conscience mais simplement tenter de vous épargner mes petites colères face au spectacle qui m’est parfois offert dans le petit monde de la blogosphère du vin.


Je serai donc charitable en vous épargnant d’étaler mon mépris pour cette engeance qui vit sur la bête, profite, parfois petitement, se pavane aux frais de la princesse – manière charitable d’évoquer le blé siphonné aux vignerons – qui se prend pour le sel de la terre alors qu’elle n’en est que la forme la plus vulgaire des profiteurs. Mon Dieu avoir à supporter le spectacle de Pierre Ménès, donne des envies de gerber mais je suis dans ma semaine de bonté alors je délaisse le vitriol. Rien qu’une goutte de vinaigre à propos d’un papier, publié dans une revue de vin papier glacé, lu à la va-vite dans le kiosque de presse de la gare Saint-Jean de Bordeaux. D’abord la photo : hisse et haut santiano, mort de rire, puis au-dessous le texte pure resucée d’une chronique où le poujadisme revisité par un semblant de snobisme désabusé m’a fait dire dans ma petite Ford intérieure jusqu’où descendra-t-on dans l’insignifiance et la prétention ?

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Mais, dans les pires moments de notre Histoire, de grands artistes se placent au-dessus du commun, transcendent la boue et la fiente ambiante. Ainsi naquit, en trois semaines à peine, en Italie, en 1934, alors que l'Allemagne, pays natal de l’artiste Max Ernst, embrassait l'idéologie nazie, Une Semaine de Bonté qui rassemblait une étrange collection de 182 collages où l'humain côtoie la mythologie et le règne animal. On y trouve des femmes ailées et des hommes à tête de lion. La plupart de ces scènes spectaculaires montrent la mort, la détresse, l'esclavage, la nudité et la violence dans une vision déformée. À l'origine Une Semaine de Bonté fut publiée sous la forme d'une série de 5 pamphlets, chacun tirés à moins de 1.000 exemplaires. Devenus depuis de réelles pièces de collection, ces pamphlets en édition originale sont hors de prix. Les quatre premières livraisons de publication n'avaient cependant pas atteint le succès qui avait été prévu. Les trois autres «jours» ont donc été mis en place dans un dernier et cinquième livre. Les livres sont sortis entre avril et décembre 1934, chacun d’une couleur différente: violet, vert, rouge, bleu et jaun e.


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Bonne fin de semaine à tous, elle fut pour moi une bonne semaine et il m’a été facile de la transformer en semaine de bonté, buvez de bons coups à la santé des hommes de bonne volonté et si, le cœur vous en dit, faite la fête comme de bons vivants avec une petite pensée pour l’état de notre foutu monde…

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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 14:00

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Va falloir que le Taulier créé un emploi d’avenir pour gérer son abondant courrier. Il s’entasse en dépit d’une utilisation intensive de la poubelle car il y a beaucoup de détritus. Afin d’éviter la thrombose lundi matin j’ai pris le taureau par les cornes –normal les petites louves et les petits loups : il en faut un pour les meuh-meuh fassent des petits veaux pour avoir du lolo – et j’ai déblayé le terrain sans pour autant faire table rase comme dirait Mélanchon.

 

Donc je propose à votre lecture deux lettres pour éclairer votre lanterne et un petit supplément pour de rire…

 

-         Missive N°1 : une viticulture de précision

Bonjour,


Damien Larsonneur du restaurant Je Thé'me m'a recommandé de vous contacter.


Je dirige Edenway, une société de conseil franco-espagnol spécialisée dans développement durable. A ce titre nous participons à un projet espagnol d'innovation technologique dans le secteur viti-vinicole. Le projet a pour objectif le développement d'un système de capteurs sans fils dans les exploitations vinicoles pour optimiser la gestion de la production. Ci-joint un abstract du projet.


Nous pensons que c'est aussi un sujet digne d'intérêt et souhaiterions pouvoir le diffuser dans la presse française et dans divers blogs.


Pourriez-vous nous dire si vous pouvez diffuser une information de ce type ?


Je vous remercie par avance de l'intérêt que vous porterez à notre projet ainsi que de votre aide.


Bien cordialement


Sébastien Dalmas

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-         Missive N°2 : le cardinal archevêque de Bordeaux et l’Angélus via l’ami François des Ligneris

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Cher Jacques,


J'espère que tu vas bien. L'archevêque m'a envoyé une réponse très « diplomatique »… J'ai perçu qu'il avait bien noté que les petites cloches périphériques allaient jouer des hymnes nationaux de certains pays qui ne sont pas réputés pour leurs grandes pratiques démocratiques… Je te transmets ma lettre que je lui ai adressée en remerciement de sa réponse… Je peux te confirmer que beaucoup de gens lisent ton blog! J'ai encore des messages de la part de personnes qui ont lu ma première lettre "chez toi" et qui font suivre à d'autres, etc. Bonne soirée et bien à toi, François


P.S. Maintenant que j'en ai terminé avec ma correspondance avec l'archevêque, je vais pouvoir me consacrer à écrire à propos du vinaigre…

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Petit supplément pour de rire…


 Après l’épisode dominical de mon petit roman en ligne ICI link j’ai reçu ce charmant courrier d’Edwy Plenel le boss de Médiapart. Je trouve ça d’un’ drôlerie insoutenable. Désolé !

 

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Bonjour Jacques Berthomeau,

 

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A très bientôt sur Mediapart,

 

Edwy Plenel, Directeur de la publication

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 12:00

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Votre Taulier très fatigué qui a le tort d’être né bien avant les blogueurs tagueurs qui, en un seul coup de bombe de peinture rouge, veulent recouvrir de leur opprobre toutes les horreurs accumulées par les Organisations Communes de Marchés de produits agricoles, au cours de la longue histoire de ce qui fut bien nommé au départ le Marché Commun puis, mieux encore,  la Communauté Européenne avant de mal finir en Union Européenne.  Que de sous dilapidés, et je ne parle pas ici du blé, du beurre et de la poudre de lait, mais du jaja, jetés dans le grand tonneau des danaïdes pour arracher des vignes, en replanter, distiller du vin, subventionner des quais et des conquêts, que sais-je encore, enrichir les gros, supprimer les petits ? Bref, pourquoi garder tout ce fatras de subventions, l’heure est aux économies, faut pas gâcher, pour nous réchauffer organisons vite un grand autodafé de toute cette paperasse inutile face à Berlaymont pour nous réchauffer.


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Du passé faisons table rase, moi je trouve ça beau et réconfortant de la part d’une jeunesse bien comme il faut sous tous les rapports et fort bien installée dans le confort de nos cités. C’est le lot de la jeunesse que de vilipender, de secouer, de gueuler, de demander des comptes à ceux qui ont bien profité de la période, que l’on dit bénie, où l’argent coulait à flots de tous les tuyaux. Simplement je lui demande, comme nous l’avons fait avec Michel Rocard lorsque nous avons coupé les robinets des aides à la distillation après les accords de Dublin d’aller s’en expliquer avec les intéressés. Les tribunes sur le Net c’est très bien pour les copains, se taper les gars du terrain c’est mieux. Je sais qu’il va m’être rétorqué que seuls les GROS sont visés par la charge et qu’il faut réserver la manne aux petits. Deux obstacles à cela, nos partenaires de l’UE, surtout les nouveaux entrants, nous sommes 27 maintenant, qui n’ont pas la même appétence que les petits loups urbains français pour tout ce qui est petit, joli, nature, et bien sûr nos amis anglais qui demandent à corps et à cris la fin de la gabegie tout en bénéficiant d’un max pour leur Reine en tête de la manne. 


Mais comme je n’ai nulle envie, ni le courage de prendre alternativement la robe du procureur pour prononcer un virulent réquisitoire contre certains types de subventions puis la troquer ensuite pour celle d’un défenseur ardent des aides structurelles, je vais me contenter de vous informer. Prenez le temps de lire chaque lien et ensuite à chacun de vous de se forger son opinion. De toute façon, le rendez-vous de 2013 pour la révision de la PAC est à nos portes et il serait intéressant de lire, hormis la mise au rebut des subventions, position des partisans pur et dur du marché roi, quelles sont les propositions avancées pour y substituer des mécaniques plus intelligentes, plus solidaires, plus aptes à faire éclore un nouveau modèle d’agriculture et bien sûr de viticulture. Le Taulier est preneur de lumières émanant des offusqués. Attention au y’a qu’à faut qu’on, laisser donc aller votre imagination pour emplir la page blanche : au Rapport les petits loups ! Vous savez l’encre des rapports résiste mieux que la peinture pour tags. Les tags c’est rapide et facile mais entre nous c’est parfois du n’importe quoi. Bref, pissez nous de la copie sans mélanger les choux et les navets comme par exemple du côté des aides européennes aux plus démunis, nées d’ailleurs des surplus de la fameuse PAC,  à propos de la défense j’aurais aimé d’ailleurs que la blogosphère du vin et de la bouffe se mobilisât un chouïa pour les maintenir.  Si l’Union économisait sur les subventions agricoles et viticoles  ce ne serait pas pour faire migrer ces sommes sur les démunis puisque nos amis anglais, allemands  et des pays du nord veulent que nous financions par nous-même notre charité publique.


J’aime beaucoup les idées folles même échevelées mais assez peu les idées courtes !

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1-      Politique agricole commune : ces géants du vin qui touchent le pactole link

 

2-     Des aides à l'investissement pour les viticulteurs – CDER link

 

3 - Aides à l'investissement dans les exploitations viticoles – Europa

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viewereuropa3.pngviewereuropa4.pngviewereuropa5.pngviewereuropa6.png 

 

4-     Rémi Durand, secrétaire général du SGV sur les nouvelles aides à l’investissement.link 


5-     Lettre des Présidents de l’Étoile et de La Moderne de Losse-en-Gelaisse qui sont dans le besoin de subventions pour écouler leur vin dans les Pays tiers.link


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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 14:00

  Nos confrères du Figaro, qui savent tout lorsqu’il s’agit de sous nous indiquent que notre Depardiou maintenant à moitié belge,  à un drôle de patrimoine : restos, poissonnerie, le ciné bien sûr, les vignes à foison avec son pote Bernard, les objets d’art, l’immobilier et une concession de motos.link 


Maintenant qu’il va devoir résider à Néchin 180 jours par an je pense que tu vas avoir le temps, cher Hervé, d’aller le retrouver à l’Amitié qu’est un café situé rue Albert 1er 12 7730 dans le patelin de Néchin qu’est rattaché à Estaimpuis pour tailler une bavette et boire des canons avec lui pour éviter qu’à la longue il déprime loin de ses vignes.



Tu pourrais aussi organiser chez lui, ou au café de l’Amitié, une petite dégustation de ses nectars, ça pourrait intéresser les Néchinois – tu diras à Gégé que ce ne sont pas des Chinois car quand il est bourré il a tendance à déconner – de laper gratos de la potion magique d’Obélix. Pendant que tu y es tu pourrais en profiter pour l’interviewer sur ses projets : sait-on jamais peut-être qu’il va lui venir à l’idée d’investir dans le vignoble belge ou pourquoi pas d’entrer dans le capital d’In Vino Véritas.


Sans l’épouvanter tu diras à Gégé que les rues de Néchin, comme les cafés aussi, sont moins sûres que la rue du Cherche-Midi à Paris et le bar du Lutétia tout près où il se rendait pour aller pisser (c’est là où je le croisais le plus souvent). En effet, j’ai lu dans la presse locale : « qu’un client a été grièvement blessée par balle, le 22 avril vers 22h00, lors d'un attaque à main armée dans un café à Néchin, près Estaimpuis. Les faits ne sont pas très précis mais un ou plusieurs hommes armés ont fait irruption dans le café le Vieux temps situé dans le quartier frontalier de la Festingue à Néchin. Et au moins un coup de feu a été tiré. La Zone frontalière sous tension : il ne s'agit pas de la première attaque armée dans des commerces de ce quartier frontalier. L'affaire a été mise à l'instruction par le parquet de Tournai confronté, comme le parquet de Courtrai, à une hausse de la criminalité transfrontalière. »


Bref, cher Hervé je compte sur toi pour aller présenter tes civilités à notre Gégé qui a la bougeotte. Sans être madame Soleil je crois que les charmes de Néchin vont vite être épuisés pour Gégé et que, même s’il adore le canal, s’il adore le château de Bourgogne, s’il adore les petites boucheries, s'il adore les petits commerçants sympas, s'il adore le petit café du coin, va falloir qu’il se trouve de nouvelles occupations.


T’imagine le buzz Hervé avec un papier du style « J’ai bu un coup avec Depardiou ! » Verts qu’ils seraient les confrères, même que tu deviendrais leader d’ebuzzing, la gloire, la célébrité quoi… Un truc du style Rapport Berthomeau dans le genre ce serait le Rapport Lalau.


Bien sûr il s’agit d’une simple suggestion Hervé, tu fais comme tu le sens mais moi je t’avoue que je me laisserais tenter…


Avec mes amitiés.


Si tu vois Gégé demande lui quand est-ce qu’on le revoit dans son quartier chez son poissonnier ou au café…


Le Taulier

 

PS. Tu pourrais aussi demander à Gégé pourquoi il n'est pas allé donner un coup de main à Carla, la femme de son poteau Nicolas, pour l'épauler dans la vente du tonneau de charité aux Ventes des Hospices de Beaune ?

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 14:00

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Ainsi va le monde AVANT LA FIN DU MONDE : l’un se tire, Depardieu, chez nos voisins belges, on s’en doutait, un autre le tacle sèchement, Sardou, c’est dans son style flamboyant, et pendant ce temps-là, en attendant la fin du monde le 21 décembre, les citoyens de Hong Kong et de Singapour sont pris d’une frénésie de mariage le 12/12/2012  symbole d'«amour».


COUP DE GUEULE


« Michel Sardou déclare ne pas « être choqué » par la nouvelle tranche d'impôt à 75% pour les très hauts revenus si elle est « provisoire » et affirme que ce n'est « pas son genre de fuir à l'étrange », dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France publié lundi. « Si c'est du provisoire, qui dure moins longtemps que la vignette, cela ne me choque pas. On est quand même tous conscients qu'on est dans la merde! », déclare le chanteur. « Et ce n'est pas mon genre de fuir, de partir à l'étranger. Si t'es pas content, tu ouvres ta gueule »


Michel Sardou ajoute qu'il « n'aimerait pas être à la place » de François Hollande. « Aujourd'hui, tu dépends d'un connard qui est à l'autre bout du monde, qui fait faillite et d'un seul coup 5.000 mecs en Provence sont au chômedu ! Je n'aime pas cette mondialisation et le président ne peut pas y faire grand-chose », estime-t-il. En 2010, Michel Sardou avait affirmé avoir été « convoqué » par Nicolas Sarkozy à l'Elysée après avoir déclaré qu'il ne le soutenait plus et avait laissé entendre qu'il pourrait voter à gauche à l'élection présidentielle. En fin de compte, le chanteur dit avoir voté blanc « parce qu'il n'y croyait plus ».


FOUTAGE DE GUEULE


Le bourgmestre (maire) d'Estaimpuis, Daniel Senesael en est convaincu, Gérard Depardieu a eu un vrai coup de cœur pour son village et ne vient absolument pas pour des raisons fiscales. « Il est venu ici, non pas pour avoir une adresse, mais bien pour s'y installer, pour y vivre, pour côtoyer les gens », a-t-il expliqué lundi matin. Autres raison à la venue de l'acteur dans ce village proche de la frontière : « Il adore le canal, il adore le château de Bourgogne, il adore les petites boucheries, les petits commerçants sympas, le petit café du coin », a-t-il ajouté avec fierté.

 

 

NE TIREZ PAS LA GUEULE AVANT LA FIN DU MONDE MARIEZ-VOUS LE 12/12/2012


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Hong Kong et Singapour se préparent à une véritable frénésie nuptiale le 12/12/12, considéré par les oracles chinois du feng shui comme un jour porte-bonheur.


« Pas moins de 696 demandes ont été déposées cette année à Hong Kong pour le 12 décembre, symbole d'«amour», soit près de quatre fois la moyenne quotidienne de 177 enregistrées en octobre, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'administration du territoire chinois.


À Singapour, où trois habitants sur quatre sont d'ethnie chinoise, 540 couples se diront «oui» mercredi, selon le site du registre des noces (hors musulmans), huit fois plus que d'habitude.

«C'est une date populaire», a confirmé Renee Leung, à la tête d'une entreprise qui organise les mariages et dont la charge de travail sera dix fois plus importante qu'un jour ordinaire.

L'enthousiasme est toutefois moindre que pour les années précédentes: à Hong Kong, 1002 couples se sont mariés le 11/11/11, symbole d'«amour éternel», et 859 le 10/10/10, symbole de «perfection».


Selon Sammy Au, un maître de feng shui, art ancestral chinois notamment divinatoire, la date du triple 12 est tout juste un jour «de bonne chance».


Les 18 et 31 décembre sont placés sous des auspices bien plus favorables, a-t-il confié au journal gratuit The Standard.


Certains couples se sont néanmoins mis sur les rangs pour le 12/12 afin de d'échanger leurs serments avant le 21 qui correspondrait à la fin d'une grande ère dans le calendrier maya (que des chercheurs situent plutôt au 23 décembre), un événement que certains associent à la fin du monde.


«Je veux m'unir à elle avant la fin du monde», a ainsi expliqué un promis au journal de langue chinoise Ming Pao.


Singapour avait battu tous ses records le 14 février 1995, avec plus d'un millier de couples unis, lorsque les jours de la Saint-Valentin occidentale et chinoise avaient coïncidé. »


Agence France-Presse

Hong Kong

 

Promo belge pour le vin le jour de la fin du monde via Hervé Lalau link

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 14:00

Les bars d’hôtel à l’ancienne avec barman incorporé confident des habitués et Saint-Bernard des esseulés, m’ont toujours fascinés. Ils sont le terrain des écrivains, le terreau de leurs errances, de leurs phantasmes, de leurs cuites… Un petit livre « la Part de l'Ange » éditions Inculte 13€ où l’alcool et la littérature font bon ménage nous offre de belles pages. Pour vous donner soif, un petit aperçu de ces lignes gorgées de degré…


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Bouteilles jusqu’à plus soif et régiments de verres… « Le Consul finit par baisser son regard. Combien de bouteilles depuis ce jour ? Combien de verres, combien de bouteilles où se dissimuler depuis ce premier jour de solitude ? » Malcom Lowry ce n’est pas n’importe qui et Sous le volcan est un monument de la littérature.


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Malcolm Lowry a longtemps été considéré comme un marginal de génie et Under the Volcano comme une réussite unique et inexplicable, un « livre-culte » sans antécédents ni postérité claire et qui plus est réservé à une poignée d'initiés. Mais derrière ou à l’intérieur de l’écrivain il y avait l’ivrogne magnifique, revendiqué, et c’est ce rapport à la bouteille et aux verres qui me passionne. Le génie se niche rarement sous la mince peau de l’eau claire.


Dans la revue Esprit de janvier 1971 Gaëlle le Doze dans JOURNAL A PLUSIEURS VOIX écrit « Quand j'ai su qu'il allait y avoir une émission sur Malcolm Lowry, j' ai voulu y aller, pas forcément pour parler mais pour voir, puisque Polac disait  toujours qu'on pouvait même venir de province, que l'émission payait le voyage. D'ailleurs pour Lowry je ferais n'importe quoi, parce que c'est le plus grand écrivain du siècle, parce qu'il n'est pas seulement un écrivain. Mais un buveur…


« …Bref le but de cette émission, dit Polac c'est d'essayer que vous vous précipitiez demain chez votre libraire, moi j'ajoute  « et chez votre marchand de vin », le barbu de Pont Aven dit « bravo, bravo », Astruc précise  « chez votre marchand de téquila », mais je trouve que  « même le vin rouge fait très bien   l'affaire quand on lit Lowry. »


…  Alors un type, Jean Massin je crois, raconte une entrevue avec Lowry  chez  Clarisse Francillon, qui  a  traduit  toute l'oeuvre de Lowry, qui est présente aussi ce soir mais qui malheureusement a trop peu parlé.


-  Ce qui m'a frappé chez  Lowry, ce fut d'abord sa petite taille, des bras assez courts, des mains potelées, un visage cramoisi, un œil vif, et en me parlant, sans cesse sa main descendait vers une table basse, vers une carafe dans laquelle il y avait du vin coupé d'eau (qu'est-ce que je disais, l'eau c'est une des ruses innombrables de Lowry pour réussir à boire sans culpabiliser. Bien sûr. ). 


… Tout le monde aurait dû terminer l'émission sous la table c'était le moindre des hommages à rendre à Lowry : perfectamente borracho comme le consul  comme Wilderness Lowry   les deux doigts dans la bouche   le vautour au-dessus du lavabo et l'impossibilité de rassembler les morceaux de soi-même éparpillés dans tous les coins. »


Alors, toujours dans la veine des suceurs de glace rinçant les dents avec des boissons fermentées je vous offre un dialogue bien serré produit par l’auteur américain David Dodge dans Trois tondus et un pelé… un bon vieux polar de la série Noire de Gallimard


104-001.JPG                                                   Yann Legendre ®


« Il y avait un bar à l’autre extrémité du restaurant. Le barman posa le verre qu’il astiquait et plaça ses mains poilues sur le comptoir d’acajou.

« Et pour monsieur ?

-         Deux Marie-Salope.

-         Deux quoi ?

-         Deux Marie-Salope. »

Le barman secoua la tête.

« Vous me la coupez, dit-il. Connais pas ce truc-là.

-         Jus de tomate et vodka, dit Whit : un verre de jus  de tomate, un cube de glace, un bon coup de vodka et du sel. Seulement pas de vodka dans l’un des verres et une double dose dans l’autre. »

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Le barman ferma les yeux en frissonnant.

« Formidable pour la gueule de bois, dit Whit. J’ai un copain, là-bas, qui a besoin d’être secoué.

-         La double ration pour lui et le jus pour vous ? demanda le barman, les yeux toujours fermés.

-         Tout juste. Et en vitesse, si possible. »

Le barman frémit une dernière fois et ouvrit les yeux.

« OK, dit-il. Mais je ne veux pas de macchabée dans ma boîte. » Il s’éloigna et prit deux verres au passage, en se répétant d’une voix dégoûtée : »Vodka et jus de tomates ! »

Whit revint vers la table.

Les sandwichs et les Marie-Salope arrivèrent en même temps. Whit pris son verre et le goûta pour s’assurer que le garçon n’avait pas mélangé les verres. Fausse alerte. Whit poivra son jus de tomate, le remua avec énergie, en avala une vaste gorgée et fit claquer ses lèvres.

-         Vingt dieux ! dit-il, les vitamines, y’a que ça de vrai.

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David Lodge

 

Extrait de Trois Tondus et un pelé Gallimard

 

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 14:00

220« Promis cette année le père Noël fait tout fêter » c’est l’accroche de Monop le roi de la proximité parisienne. Votre Taulier, grand humeur de tendance, piste depuis 2007 les Monop qui ont mis leurs quilles au goût des petits loups et surtout des petites louves du quartier, toujours pressés et qui rentre tard pour dîner.


1-     Les demi-soldes sur deux demi-mètres à Monop link 


2-      MONOP : inspirez, respirez, sus au CO2, mais où c'est t'y qu'est le vin ? link 


3-     " Une cave en ville " de Monoprix : le cave se rebiffe link


4-     À « Grains Nobles » une labellisation « Gourmet Monoprix » avec Bettane&Desseauve au pupitre link 


5-     Sur les Champs Elysée Monoprix passe 3 petites quilles de vin à 0 à Franprix ! link


Cette dernière chronique d’août 2011 était un clin d’œil puisque les actionnaires de ces deux enseignes JC Naouri pour le groupe Casino propriétaire de Franprix et Philippe Houzé le président des Galeries Lafayette se querellait sur la valorisation de Monoprix qu’ils détenaient à parts égales depuis 199 où le groupe Casino était venu épauler Monoprix pour le rachat de Prisunic.


La hache de guerre est enterré depuis le 29 juin dernier, Philippe Houzé, le président des Galeries Lafayette, et Jean-Charles Naouri, son homologue chez Casino, « ont signé un protocole d'accord prévoyant « la cession par Groupe Galeries Lafayette de cette participation d'ici au 30 octobre 2013, au prix de 1,175 milliard d'euros ». Le transfert commencera à être, symboliquement, opéré, à la fin de l'année lorsque Jean-Charles Naouri prendra la présidence du conseil de Monoprix. »


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Lire la suite dans les Echos ICI :link


Dans la bataille de la proximité le groupe Casino a pris, du moins à Paris, de belles longueurs d’avance sur la concurrence. Va-t-il faire fructifier intelligemment le capital d’image accumulé par Monoprix : affaire à suivre !


Vous pouvez écouter ICI une interview du DG de Monoprix du Samedi 23 Juin 2012 sur France Info : link

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 14:00

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C’est Roger Feuilly qui sait tout qui l’écrit ICI link  la chaîne parlementaire LCP, un truc qui nous coûte la peau du cul comme celle du Sénat d’ailleurs vient de priver notre cher Périco de son émission « Toques et Politique » qu’il animait depuis septembre 2009 sous la pression des lobbies de l’agroalimentaire dit-il dans sa missive qu'il rend publique aujourd'hui.


Affirmer que notre ami Périco soit un animateur impartial prêterait à sourire, j’en ai fait les frais suite à mon rapport lors d’une émission d’Yves Calvi C dans l’air mais c’est de l’histoire ancienne. Que je le suive dans tous ses combats loin s’en faut mais quand je lis dans le papier de Feuilly que « Catherine Vautrin, députée UMP de la Marne et ancienne secrétaire d'Etat de Jacques Chirac, et Jean-Christophe Lagarde, député Nouveau Centre / UDI de Seine-Saint-Denis, émirent des doutes quant à l'opportunité d'une émission mêlant politique et gastronomie. » je sors ma sulfateuse pour de bonnes raisons que j’éviterai d’agiter ici pour m’éviter à nouveau du papier bleu.


Touchez-pas à l'émission de Périco c’est une question de principe !


Le Taulier se porte à ses côtés avec, ce que tout le monde reconnaît, son indéniable pouvoir d’influence dans les arcanes de l’État.


La Taule du Taulier, Vin&Cie rappelons-le a inscrit à son frontispice « Espace de Liberté »


Comme j’ai connu un placard étatique je suis solidaire d’un viré de la République.


Tu peux compter sur moi pour ton combat Périco ma crémerie t’es ouverte et je me ferai un plaisir, avec les armes qui sont les miennes, mes petits mots, de te donner un coup de main comme on disait dans ma vieille Vendée crottée…


Salut à toi Périco « ce n'est qu'un début continuons le combat… » en espérant que nous ferons mieux qu'après Charléty....

 

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