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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 12:00

J’étais dimanche matin dans ma petite auto et j’écoutais de la zik sur la bande FM lorsqu’entre deux morceaux une pub m’a attiré l’oreille.  Une nana chantait un truc débile sur Merlot-Syrah, toujours très subtile la pub  radio mais les créatifs de l’agence Rangoon (agence de marketing opérationnel) ont dû vraiment se déchirer pour obtenir un tel résultat (SOCIETE DES VINS DE France retient l’agence pour le développement des plans promotionnels annuels de ses vins Cambras, Grain d’Oc, La Villageoise Cuisine & Saveurs, Roche Mazet, Vieux Papes et Vieux Papes cépages.)


bib-blanc.pngblanc-big.png

 

Sitôt rentré at home j’ai interrogé mon gros pote Google et voilà ce que j’ai trouvé :


1-      Sur le haut-parleur Vitisphère (gratos)


« Vieux Papes, marque historique d’entrée de gamme du groupe Castel, se déclinera cette année en deux dénominations : Vieux Papes, Vin de la Communauté Européenne (VCE), dénomination qu’avait adopté le groupe l’an dernier, suite à la petite récolte 2010 en France qui avait raréfié l’offre en Vin de France. Le millésime 2011 ayant en revanche été généreux en France, Castel proposera à partir du mois de mai un Vieux Papes Vin de France cépage. Cette extension de gamme sera proposée dans les trois couleurs en bi-cépage : Merlot-Syrah en rouge, Colombard-Chardonnay en blanc, Grenache-Merlot en rosé. Le Vieux Papes vin de France cépage sera vendu légèrement plus cher que le Vieux Papes VCE : 2,25 € la bouteille de 75cl contre 1,90 € pour le Vieux Papes VCE.

Vieux Papes rouge est la référence la plus vendue des bouteilles 75cl du rayon vin dans la grande distribution française avec un volume annuel de vente équivalent à 9 millions de cols 75 cl, l’ensemble de la gamme Vieux Papes pèse 15 millions de cols dans la GD France (données 2010). »


2-     Et je ne sais plus où que le Vieux Papes Vin de France cépage se vendrait aussi en Bib® de trois litres.


3-     Ensuite je suis allé sur le site dédié link 

Colombard-Chardonnay en blanclink

Merlot-Syrah en rougelink 

Grenache-Merlot en rosé link

 

Et cerise sur le gâteau vidéo ci-dessous.

 

Proposition à Bettane&Dessauve : dégustation à l’aveugle de ces 3 flacons entourés de 3 vins de même profil.

Question : que pensez-vous de Saveur de l’année ?link 

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 12:00

Je suis allé le vendredi 19 avril du côté de Sauvain, sur les monts du Forez, dans la ferme de Stéphane Jouandel (* ce sont ses vaches et non les miennes, bien sûr, des Montbéliardes) pour le lancement du lait des éleveurs du Mont du Forez commercialisé par Casino. C’est un lait UHT demi-écrémé. Prière de bien lire l’affiche ci-dessous. Un peu d’oxygène pour ces éleveurs qui ont connu  des jours difficiles après la fermeture de l’entreprise Forez-Fourme. J’applaudis. Il a fallu du temps, de la pugnacité aux parties en présence pour aboutir. La cheville ouvrière de cette belle initiative est l’ami Claude Risac de chez Casino.


Forez-002.JPGForez-003.JPG

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Cependant pour doucher mon enthousiasme les puristes me rétorqueront « ouais, ouais, ça vient des Monts du Forez mais c’est du lait UHT donc… ce n’est pas du bon lait de gourmet. » Ma réponse est d’une simplicité absolue : qui boit en encore du lait cru ?

 

Moi, même si je n’en bois pas, j’en mange (chronique d’octobre 2006 Lait cru de vache Jersiaise link  et chronique de février 2008  Recherche pouvoir d'achat, désespérément !link

 

Mais entre nous l'addition de gens comme moi ça ne fait pas beaucoup de monde…


Alors plus brutalement j’affirme que face à la résolution de certains problèmes difficiles souvent le « mieux est l’ennemi du bien », et à vouloir enjamber les marches le risque est grand de se ramasser la gueule donc d’échouer.


Comme dirait l’autre dans une France idéale, aux couleurs des gourmets, seul le lait cru, et à la rigueur le lait frais aurait droit de cité mais je leur demande un instant d’observer les chiffres ci-dessous où d’ailleurs n’apparaît pas le chiffre du volume des ventes de lait cru, qui doit être extrêmement faible et qui est inclus dans le lait frais.


lait-001.JPGlait-002.JPG

 

En 2010 sur 2 852 836 milliers de litres de laits liquides conditionnés (Hypers+Supers+HD)


-         Lait frais : 74 683 milliers de litres dont 3625 en bio

-         Lait longue conservation : 2 778 152 milliers de litres dont 160 032 en bio

     Dont lait standard UHT 2 404 746 milliers de litres,  entier 163 397, ½ écrémé 2 040 486, écrémé 200 863.

      Dont laits spécifiques UHT 373 406 milliers de litres, vitaminés 180 236, de croissance 96 129… etc.

 

Y’a donc pas photo le roi du marché c’est le lait UHT demi-écrémé 80 % alors que le lait frais représente 3%.

 

Le lait cru s’achète essentiellement dans les magasins bios et chez des fromagers haut de gamme. Bien évidemment ce segment de marché, aussi petit soit-il, peut progresser mais encore faut-il  que les consommateurs en acceptent les contraintes et le prix à payer C’est bien joli de demander aux éleveurs de faire des efforts mais le meilleur moyen reste qu’une vraie demande solvable s’exprime. Pas simple, les actes valent mieux que les bonnes intentions.

 

Avant de vous gratifier de mon petit reportage photographique je vous donne les définitions :  

-         1  les définitions du lait cru, du lait frais pasteurisé, du lait stérilisé et du lait stérilisé UHT.


-         2 pour ceux qui veulent tout savoir un document exhaustif link


-         3 après l’inauguration j’ai dîné avec les éleveurs à l’Auberge de Garnier » à St Bonnet –le-Coureaux, où nous avons bu du vin d'Odile Verdier&Jacky Logel www.verdier-logel.com/puis j’ai dormi  à l’hôtel  La Poularde à Montrond- les-Bains et lendemain j’ai repris le train à Saint-Etienne.

 

Le lait cru


Autrefois, le seul disponible. Ce lait n'a subi aucun traitement autre que la réfrigération mécanique immédiate après la traite à la ferme qui a remplacé le refroidissement à l'eau fraîche (à environ 15°C).  

Pour être vendu, il doit répondre à des prescriptions réglementaires sur sa composition et l'état sanitaire des vaches d'où il est tiré. Il doit être conditionné sur le lieu même de production et subit de nombreux contrôles.

La couleur du conditionnement est à dominante jaune.

La mention "lait cru" ou "lait cru frais" est obligatoire sur l'emballage. Sa date limite de consommation correspond au lendemain du jour de la traite.

Porté à ébullition 5 à 8 minutes avant consommation, il doit être utilisé dans les 48 heures.

Ouvert, il ne se conserve pas au-delà de 24 heures à + 4°C.


 Le lait frais pasteurisé


Après la pasteurisation (72° à 85°C pendant 15 à 20 secondes), le lait (entier, demi- écrémé ou écrémé) conserve toutes les qualités gustatives du lait cru.

L'étiquetage porte les mentions "lait pasteurisé conditionné" ou "lait frais pasteurisé". Lorsqu'il comprend la mention "haute qualité", la pasteurisation s'est effectuée à 72°C pendant 15 secondes au maximum. Les qualités organoleptiques et bactériologiques sont alors optimales.

Il doit être consommé dans les 7 jours qui suivent son conditionnement et placé à 4°C. A l'intérieur de ce délai, il faut l'utiliser dans les 2 ou 3 jours après l'ouverture.


Le lait stérilisé


La stérilisation simple est un procédé de longue conservation.

Préalablement conditionné dans un emballage hermétique, le lait est chauffé à 115°C pendant 15 à 20 minutes, puis rapidement refroidi.

Il peut être consommé dans un délai de 150 jours, s'il est placé dans un local dont la température n'excède pas 15°C.


Le lait stérilisé UHT


Le procédé dit d'ultra haute température permet d'écourter le temps de chauffage : les qualités gustatives du lait sont préservées.

Il s'agit de porter rapidement le lait à la température de 140° à 150°C pendant quelques secondes, puis de le conditionner dans une ambiance stérile.

 Comme les autres laits, le lait UHT peut être entier, demi-écrémé ou écrémé.

On le trouve dans le commerce sous le nom " lait stérilisé UHT". Il peut être conservé à 15°C pendant 90 jours, tant que l'emballage n'aura pas été ouvert.

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 14:52

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Une grande première ce matin pour mes fans qui se jettent comme des morts de faim dès que ma chronique se met en ligne à 00h00 : RIEN ! Le vide, le manque, l’horreur absolue… Et moi pendant ce temps-là je dormais comme un bienheureux dans un hôtel face à la gare de Clermont-Ferrand car mes vaches m’y avaient retenues en otage (plus prosaïquement j’ai raté le dernier train pour Paris-Bercy). Bon, je ne vais pas me plaindre c’est le boulot, mon gagne-pain et comme le dit M’sieur Gotti faut pas rigoler avec le quotidien des autres (voir sa réponse à ma chronique link) donc avec le mien aussi. 


La raison de l’écran blanc c’est que j’avais prévu de terminer ma chronique sur la mousse au chocolat à mon retour de Clermont-Ferrand. Bref, comme je ne me déplace pas avec mes outils de blogueur lorsque je vais voir ceux qui élèvent des vaches et ceux qui ramassent leur lait, je ne pouvais intervenir. Je profite de cette incidente (je n’ai pas écrit incident) pour dire à Laurent Gotti que le quotidien des autres c’est mon quotidien, alors même si je l’ai égratigné très légèrement à propos de sa charge contre les vins nus je ne vois pas au nom de quoi ça me serait interdit. Que mon ton soit léger, que ma légèreté soit blâmable, j’en conviens aisément, mais faut-il chausser des gros sabots pour faire sérieux ? Je ne le crois absolument pas. Quant aux commentaires, Laurent Gotti, ils ne sont pas anonymes même si des vignerons prennent des pseudos je sais qui ils sont. Luc Charlier lui signe de son patronyme même si nous le surnommons Léon. Je note que vous ne lui avez pas répondu. Sans doute jugez-vous que c’est inutile. Ce que je comprends parfaitement.


Sur le fond de votre prédiction et de ses conséquences je ne vois aucun lien de cause à effet entre l’éventuel éclatement de la « baudruche nature » et les dégâts collatéraux sur les braves producteurs de vins certifiés bio. Faudra m’expliquer car, en tant que consommateur et dans mon job officiel, je suis l’un de ceux qui s’intéressent et suivent de très près le mouvement bio, dans le vin et en général, depuis les origines (pour le pain Lemaire-Boucher 1968). Dans le vin, bien sûr, jusqu’à  ces derniers temps, seul le raisin était bio. La démarche des vignerons concernait plus le respect de l’environnement que la nature de leur vin. Très honnêtement pendant longtemps beaucoup de vins bios ne cassaient pas trois pattes à un canard. L’irruption des vins dit nature certes capte une clientèle jeune, et en cela concurrence les bios, mais faire une césure nette entre les deux n’a pas de sens. Comme diraient les bordelais, il y a des effets d’osmose dans ce petit monde. L’esprit et la lettre de ma chronique était simple : pourquoi appeler de vos vœux la fin des vins dit nature puisque pour vous ils sont mauvais, donc ils tomberont comme des fruits pourris de l’arbre pour le plus grand bien de ceux qui sont restés dans le droit chemin. Je suis et je resterai un affreux consumériste, peu me chaut les états d’âme de la sphère professionnelle, ce sont ceux qui délient les cordons de leur bourse qui comptent et m’intéressent. Je ne suis qu’un observateur engagé. Que n’a-t-on fait de moi, suite à mon rapport, en Bourgogne comme ailleurs, un partisan des vins industriels et de marques. Je me contente d’observer la réalité et je continue de regretter que sous les grandes ombrelles des appellations se cachent des vins qui ne devraient pas y être bio ou pas. Pour moi, la France du vin doit tout faire à condition de bien le faire.


Mais je reviens à mon quotidien où je cache, du mieux que je le peux, mon immense légèreté. Ce matin, sur le coup de 6 heures, sous une pluie auvergnate pas du tout chiche, j’ai traversé les quelques mètres qui me séparaient de la gare. Après enfilé un café aussi léger que moi je suis allé quérir au kiosque  La Montagne comme si j’effectuais un pèlerinage dans les chroniques d’Alexandre Vialatte.  


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Deux articles : l’un sur le Vin et l’autre sur l’Omble Chevalier


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1-     516 bouteilles au fond du Lac « les membres du club d’œnologie de Clerlande se sont retrouvés, hier matin, au lac de Guéry pour procéder à l’immersion de 516 bouteilles… Selon les membres du club, qui ont procédé à cette expérience l’année dernière, le vin à un goût totalement différent une fois sorti de l’eau. « Le vin immergé est plus brillant, plus expressif. C’est surprenant et difficile à expliquer, mais c’est bluffant à la dégustation » raconte Thierry Imbert. (Voir la vidéo link ) Notre ami Luc pourrait peut-être donner d’une réponse à nos amateurs auvergnats qui ne mettent pas d’eau dans leur vin mais du vin dans l’eau. Ça change tout…


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2- L’Omble Chevalier du lac Pavin l’un des 4 lacs du haut bassin de la Couze avec un petit zoom arrière sur une vieille chronique « Omble chevalier au beurre blanc : recette d’un notaire vigneron » ICI link 

 

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 12:00

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Ce dialogue je ne l’ai pas inventé mais noté dans une de mes lectures. Il eut lieu, le dimanche 8 avril 1973, à « l’Hôtel-Bar du Marché, qui fait le coin des rues de Seine et de Buci. » entre deux ivrognes. « Le ton est assez civil »


-          Je ne vous insulte pas, je dis que vous êtes une tête de con.

-         Au fond qu’est-ce que je vous ai dit moi ?

 

Et bla, et bla…


-         Monsieur je commisère…

-         Tu commissaire Bourrel, oui !

 

Pourquoi appliquer ce dialogue à Twitter ?

 

2 raisons :

 

1-      Le fil de Twitter s’apparente souvent, je n’écris pas toujours, soit à un monologue, soit à une conversation décousue type café du commerce où chacun suit son fil sans trop se préoccuper de ce dit l’autre ou les autres. Ça atteint, au mieux le niveau « brèves de comptoir », au pire le pâteux d’un monologue d’ivrogne… Je laisse de côté les invectives qui, en ce moment, fleurissent si je puis m’exprimer ainsi car ça se hausse au niveau des immondices. Je ne fais pas référence ici au Mondovino qui le plus souvent fait joujou gentiment dans son bac à sable.

 

2-     J’adore le détournement phonétique de la commisération en la traitant comme un verbe : « je commisère ». Je l’avoue, ce n’est pas très charitable, souvent à la lecture de certains échanges « je commisère » et je me dis que si j’étais « chasseur de têtes » je draguerais dans Twitter. Nul besoin de faire passer des tests à la con pour dresser le profil psychologique de jeunes gens et de jeunes filles bien comme il faut, sans doute bardés de diplômes, qui mixent avec ardeur, constance, addiction, leur sphère professionnelle et l’intime. C’est fascinant. C’est étonnant. C’est parfois affligeant de naïveté ou d’impudeur. Qu’importe je ne suis ni chasseur de têtes, ni employeur potentiel car je suis rangé des voitures.   

 

Pour la petite histoire Le Bar du Marché 75 rue de Seine existe toujours. Saisi sur le Net « Véritable bistrot parisien en plein cœur de Saint Germain. Grande terrasse ouverte été comme hiver (grâce aux "champignons chauffage"). Idéale pour profiter du spectacle de la rue. L'ambiance branchouille fait partie du tableau. Prix corrects pour le quartier. Les serveurs en salopette à l'ancienne te proposeront entre autres, Ricard, vin ou cocktails ainsi que de succulentes assiettes « apéritivantes » sic à partager telles que le club, le mini hot-dog, et bien d'autres. Un incontournable à la hauteur de son succès! Et puis la rue de Seine pour faire descendre...le paradis. » En clair, ce n’est pas un truc pour Pousson sauf pour y voir défiler les beautés du  quartier…


Pour les jeunes loups et jeunes louves addict de Twitter, coursant les followers, le commissaire Bourrel c’était le temps de l’ORTF, le noir et blanc, Raymond Souplex, les 5 dernières minutes, « Bon Dieu ! Mais c'est… Bien sûr ! ». Une éternité quoi…


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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 12:00

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Il est très rare dans nos grands médias nationaux : radio et télévision, d’entendre traiter du vin, j’ose l’écrire, d’une manière intelligente, c’est-à-dire intelligible par les auditeurs ou les téléspectateurs. D’ordinaire, nous avons droit aux marronniers ordinaires : foire aux vins, primeurs, vendanges… Mardi dernier 23 avril, à la matinale de Laurent Bazin sur RTL, la plus écoutée de France 3,76 millions d'auditeurs (+279.000 sur un an) avec un pic à 1.979.000 auditeurs lors de la chronique de Laurent Gerra, notre Jacques Dupont du Point a mis les points sur les I à propos du classement de Saint Emilion link allant même jusqu’à évoquer la formule célèbre de Michel Poniatowski « les copains et les coquins ».


Quel plaisir que d’entendre deux bons journalistes, amateurs de vin de surcroît (pas tout à fait les mêmes) échanger sur un sujet, qui certes ne va mettre la France à feu et à sang, mais qui s’inscrit tout à fait dans l’esprit du temps : celui des petits arrangements entre amis. Pour ceux qui l’ignoreraient encore : Laurent Bazin, il y a quelques années, à ouvert sur le Net un blog « Le vin de mes amis », d’abord très actif et enraciné dans le Grand Sud link, aujourd’hui en roue libre car Laurent à d’autres chats à fouetter. Ce blog est devenu l’appellation d’origine contrôlée d’un groupe de vignerons, ses amis justement, qui organisent des dégustations, dont l’une au Paul Bert à Paris.


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Quant à Jacques, le Merveilleux du Vignoble, chef d’orchestre infatigable du numéro spécial VIN du POINT, nul besoin de le présenter. Auteur chez Grasset de « Choses Bues », un très beau livre link  et du Guide des Vins de Bordeaux link  nous gratifie pour le 9 mai d’un nouvel opus, cette fois-ci militant, au titre Hesselien : « Invignez-vous »link. Instruction à charge contre l’hygiénisme à la française symbolisé par l’emblématique loi Evin. Votre Taulier, témoin privilégié de ces 25 dernières années, le lira et vous gratifiera d’une critique en bonne et due forme. Affaire à suivre… Peut-être pourrais-je avant la date fatidique tirer les « verres » du nez de notre JDMDV : « Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » est l’une des maximes favorites de votre Taulier. Laurent est lui aussi le bienvenu sur mon espace de liberté. 

 

NB. Eva c’est Laurent, pas le tien , Laurent Bazin qui m’a fait découvrir Vouette et Sorbéelink

 


Jacques Dupont : "La dégustation compte peu... par rtl-fr

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 12:00

Bonjour Monsieur, Madame,

 

(1)   Bonjour Monsieur ou Madame qui ?

 

Je suis actuellement à la recherche de potentiels partenaires pour le programme de partenariat Lot18


(2)  Disons partenaires potentiels


et de par l´orientation et la qualité de son contenu votre site/blog a attiré mon attention.

 

(3)  De la pommade je veux bien ça ne mange pas de pain mais si tel était le cas vous m’auriez donné du cher Jacques ou du cher Monsieur Berthomeau

 

Nous avons en effet un point commun : notre passion pour le vin et l´envie de la partager avec d´autres.


(4)  Comme c’est étrange pour un gugusse qui pond 2 chroniques par jour sur le vin et pour une boîte qui vend du vin...


C´est pourquoi je suis persuadé que votre site est adapté au programme de partenariat Lot18. Ma question est donc la suivante : Seriez-vous intéressé par une collaboration avec Lot18 ?


(5)  Là il est clair, cher solliciteur, que vous faites la démonstration que vous n’avez jamais lu une ligne de mes chroniques, ce que par ailleurs je comprends parfaitement mais pourquoi venir m’importuner. C’est malpoli.


Avec plus d'1 million de membres, Lot18 France est le N° 1 de la Vente Privée destiné non seulement aux amateurs de vins expérimentés mais aussi aux gourmets occasionnels. Chaque semaine nous proposons à nos membres une nouvelle sélection variée de vins et de champagnes d´exception aux meilleurs prix. L´adhésion à notre plateforme est bien entendu gratuite et sans engagement.


Ce qui nous différencie


De nouvelles offres limitées chaque semaine

100% des vins en stock

Une sélection de vins de qualité à prix direct producteur, jusqu´à –50%

Des domaines et châteaux d´exception disponibles chaque semaine: Pétrus, Cheval Blanc, Yquem, Beychevelle, Lynch Bages

Possibilité de commander à l´unité et de panacher votre panier

Paiement sécurisé

Livraison rapide et fiable, gratuite à partir de 9 bouteilles

Adhésion gratuite, sans obligation d´achat et montant minimum par commande

 

Vos avantages en tant que partenaire


1,30 € de commission (par Lead) + 10€ de commission lors de la première commande.

Durée de vie des cookies: 30 jours

Assistance personnalisée

Valeur marchande du panier d´achat supérieure à la moyenne

Frais de retour à la charge de Lot18 France en cas de rétractation

Taux d´annulation: < 1%

Traitement sous 24 heures des commandes

 

Ai-je suscité votre intérêt ?


(6)  La réponse est NON


Si c´est le cas, il vous suffit d´adhérer au programme de partenariat Lot18 via Zanox et de bénéficier de 1,30 € de commission (par Lead) + 10€ de commission lors de la première commande pour chaque nouveau membre.


(7)  Mais comme je suis bon prince si la proposition intéresse quelqu’un c’est ICI  Pour vous inscrire, cliquez sur notre formulaire d´adhésion Zanox.link


Vous êtes intéressé mais certains points demeurent obscurs. Je suis bien entendu à votre disposition par mail pour répondre à vos questions et faire en sorte que ce partenariat aboutisse.


 Je me réjouis d´avance de vous compter bientôt parmi nous

 

(8) Déçue 

 

Magaye Tochtrop

Affiliate Marketing

t: +49 (0) 30 - 609 841 232

 magaye@lot18.fr

 Lot18 France

4 Place Saint-Germain-des-Prés

75006 | Paris

www.lot18.fr

 

Comme c’est ma semaine de bonté, si vous avez envie d’aller vous balader du côté du Lac d’Annecy : c’est ICI


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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 12:00

Même si les prix, les médailles ou autres colifichets ne sont pas ma tasse de thé, j’avoue avoir un faible pour le Prix Raisin® car il met en avant des valeurs essentielles dans notre monde où la concurrence exacerbe l’individualisme, le chacun pour soi. En effet,  le Prix Raisin® défend la solidarité et le partage des compétences : le lauréat remporte non pas un chèque, mais un accompagnement global par cinq professionnels du vin pendant un an ! Chacun à leur façon, ces « parrains » donnent un coup de main, un coup de pouce à des vignerons qui élaborent des vins remarquables mais vivent dans l'ombre des grands noms de la région de Bordeaux. Faire progresser le domaine, lui donner un accès au marché, et permettre aux consommateurs de découvrir de bons vins proposés à des prix abordables, voilà une bien belle entreprise qui va bien au-delà d’un coup de communication.


Le Prix Raisin® est tout neuf : 2 lauréats seulement.


Le lauréat 2012, était Frédéric Borderie du Château Les Gravières de La Brandille à St Médard de Guizières (Bordeaux Supérieur)

En 2013 le prix a été remis à Amélie Durand, jeune vigneronne de 29 ans qui vient de reprendre la propriété familiale de Château Doms dans les Graves.


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J’en arrive à ma proposition initiale : Et si vous veniez discuter avec les lauréats du Prix Raisin® le 25 avril à 18h au Comptoir de Brice Marché Couvert Saint-Martin 31-33 rue du Château d'Eau, 75010 Paris.


Vous feriez une pierre deux coups puisqu’Olivier Dauga*, le faiseur de vins,  initiateur du Prix Raisin présentera le millésime 2012 en primeurs et millésime 2011 sur une sélection de vins provenant de plusieurs régions de France : Bordeaux, Provence, Corbières, Minervois, Madiran entre autres ainsi que quelques-uns des vins issus du vignoble Ukrainien.


Je vous attends donc le 25 avril au Comptoir de Brice Marché Couvert Saint-Martin pour engager la discussion avec Frédéric, Amélie, Olivier sur tous les sujets qui touchent la vie de jeunes vignerons dans une région prestigieuse mais où les grands noms ne font guère d’efforts pour tendre la main à la nouvelle génération moins bien lotie en notoriété. Ce serait une forme de débat libre, autour d’un verre qui nous permettrait d’échanger, de nous confronter, de mieux comprendre les problèmes auxquels sont confrontés des vignerons et des vigneronnes ordinaires.


  • Les autres parrains du Prix Raisin sont le restaurateur Jean-Pierre Xiradakis, le tonnelier Jean-Christophe Varron de Vinea, le négociant en vins Benoît Ricaud Dussarget Le Monde des Crus et Marie Mascré de l’agence Sowine.

 

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 12:00

Dans l’ancien temps, celui où le Midi Rouge en dépit de son déclin tenait le haut du pavé à coup de grosses manifs, de mèches lentes posées par les cagoulés des CAV, le Midi-Libre s’était fait la spécialité d’être le haut-parleur de damnés de la terre manipulés par des leaders qui se voulaient charismatiques dont le langage et la pratique variaient suivant qu’ils étaient à Paris où chez eux en Occitanie. Temps enfoui, oublié, le vin a heureusement repris de belles couleurs et dans la région phare de notre beau pays assimilée au nom de sa capitale : Bordeaux le journal Sud-Ouest s’est installé en pole position de l’information quotidienne sur le vin. C’est bien mais comme beaucoup de mes lecteurs n’ont pas la possibilité  de le lire je leur propose de feuilleter ma Revue de Presse.

photo (36)

1-      à grand seigneur tout honneur : César Compadre et le mécénat

  

« Ils sont 31 à avoir signé un chèque pour devenir mécène de la future Cité des civilisations du vin (CCV). Soit près de 10 millions. L’objectif étant d’en convaincre une cinquantaine pour en engranger 15. « C’est une proportion considérable et la greffe prend dans le vignoble. À titre de comparaison, le Louvre, à Lens, est un investissement de 150 millions, dont 11 venus du mécénat », rappelle Philippe Massol, directeur du projet »link


2-     ensuite un bel objectif : Viticulture : objectif zéro herbicide link


3-     inévitable la naissance d’un petit rosé (une photo superbe)


« Escale au Cap, dernier-né chez Univitis, léger comme une voile gonflée par les alizés avec une pinasse sur fond de cabane tchanquée, le rosé nouveau est arrivé. Une nouvelle cuvée, dans la tendance des rosés de couleur pâle. La cave Univitis produit environ 100 000 hectolitres de vin par an, dont environ 10 % sont consacrés à l’élaboration de vins rosés, principalement en appellation Bordeaux. » link


4-     enfin une info couleur locale : après le vin de garage le vin de ville link

 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 11:00

Dans « Fleurs de Ruine », du grand Patrick Modiano, le narrateur qui hante Paris en entrelaçant souvenirs, sa vie rêvée, fantasmée, passe devant un hôtel muré de la rue Gay-Lussac, les fenêtres n’ont plus de vitres, « mais l’enseigne demeurait fixée au mur : Hôtel de l'Avenir. Quel avenir ? »


Cette interrogation m’a toujours frappé, elle s’est imprimée dans ma tête. L’Hôtel de l’Avenir existe à Paris, rue Madame, dans le VIe et chaque fois que je passe à vélo devant sa façade je pense à l’interrogation du narrateur de Fleur de Ruines. Si ça vous dit je vous propose de lire, en fin de chronique,  l’extrait de Fleurs de Ruines où se situe cette interrogation.


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Pourquoi me hante-telle ? Tout simplement parce qu’elle n’appelle aucune réponse, ou plus exactement  nul n’est en mesure d’y répondre. C’est quoi l’avenir, la seconde qui suit l’interrogation, demain, le futur, rien de vraiment prévisible à l’échelle individuelle.


Mais pourquoi diable me revient-elle alors que je dis aborder dans le titre de cette chronique la question du débat dans le Mondovino ? Tout bêtement parce que tous ceux qui appellent, souhaitent ou disent le souhaiter, se payent de mots ou se payent tout bêtement notre tête et j’ai envie de faire du Modiano : le débat, quel débat ?


NotreGrand Robert chéri nous dit :


1-      Action de débattre une question, de la discuter, avec un ou plusieurs interlocuteurs qui allèguent leurs raisons… contestation, discussion, explication, polémique. Débat vif, passionné, orageux. Soulever un débat. Entrer dans le vif, dans le cœur du débat : aborder le point le plus important ou le plus délicat du sujet. « Il s’appliquait à ne pas passionner le débat, à lui garder un tour spéculatif. » R. Martin du Gard les Thibault.


Le débat dans le Mondovino n’existe plus, c’est un truc de vieux cons, d’érudits, de mecs ou de gonzesses qui se chatouillent les neurones. Les lieux de vrai débat ont disparu, soit parce qu'ils sont inacessibles comme la télévision où le vin est banni, soit parce que sur la Toile, via Face de Bouc, il s'agit au mieux d'un pugilat, au pire d'une entreprise de destruction. L'important c'est le buzz, le flux, ça ne dure que quelques heures, chacun fait son petit numéro et puis tout le monde rentre sagement chez maman. Reste  tout de même, c'est plus confortable, le débat qui rassemble des convaincus de la même obédience qui déblatèrent tous dans le même sens avec la seule volonté d’imposer leur marque perso dans le marigot. Il faut bien se conforter. Se persuader que le combat continue. C'est plutôt sympatoche mais ça ne fait guère trembler les maîtres du troupeau. 


Dans l’ancien temps que les jeunes gens ne peuvent pas connaître j’adorais débattre et j’aimais aussi assister à des débats, vifs, engagés, rudes. Tout ça c’est de l’histoire ancienne pour nostalgiques, vieux cons dans mon genre, faut s’amuser les cocos, mais entre gens de la même confession, par construction ceux d’en face, d’à côté, parfois même des mecs qui pensent comme eux car sont sont bons pour une bonne exclusion pour déviance – maladie infantile de tous les groupuscules : scission ou exclusion – sont infréquentables.


Donc comme tout ça me fait profondément chier et qu’à mon âge je n’ai pas envie de me cailler le lait je m’abstiens d’aller à ce genre de pseudos-débats. Sans vouloir étendre mes réflexions à l’ensemble des débats, dit de société, bien plus importants que nos petits clapotis du Mondovino, ce que je vois et j’entends en sillonnant sur ma flèche d’argent les rues de Paris m’édifie sur nos capacité à débattre sereinement et démocratiquement. Il règne, ou plus exactement, il flotte un parfum de rue putschiste, comme au temps de la gueuse. C’est le Vendéen qui vous le dit. Quand vous lirez ces lignes je serai sur le chemin des Monts du Forez link  Là-bas, c’est la vraie vie et ça me donne toujours envie d’en découdre, mais pas dans des petits cénacles entre potes, face aux maîtres du troupeau.


Bonne journée et si ça vous dit lisez Modiano :

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« Ce dimanche soir de novembre, j'étais dans la rue de l'Abbé-de-l'Épée. Je longeais le grand mur de l'Institut des sourds-muets. A gauche se dresse le clocher de l'église Saint-Jacques-du-Haut-Pas. J'avais gardé le souvenir d'un café à l'angle de la rue Saint-Jacques où j'allais après avoir assisté à une séance de cinéma, au Studio des Ursulines.


Sur le trottoir, des feuilles mortes. Ou les pages calcinées d'un vieux dictionnaire Gaffiot. C'est le quartier des écoles et des couvents. Quelques noms surannés me revenaient en mémoire : Estrapade, Contrescarpe, Tournefort, Pot-de-Fer... J'éprouvais de l'appréhension à traverser des endroits où je n'avais pas mis les pieds depuis l'âge de dix-huit ans, quand je fréquentais un lycée de la Montagne-Sainte-Geneviève.


J'avais le sentiment que les lieux étaient restés dans l'état où je les avais laissés au début des années soixante et qu'ils avaient été abandonnés à la même époque, voilà plus de vingt-cinq ans. Rue Gay-Lussac - cette rue silencieuse où l'on avait jadis attaché des pavés et dressé des barricades-, la porte d'un hôtel était murée et la plupart des fenêtres n'avaient plus de vitres. Mais l'enseigne demeurait fixée au mur : Hôtel de l'Avenir. Quel avenir ? Celui, déjà révolu, d'un étudiant des années trente, louant une petite chambre de cet hôtel, à sa sortie de l'École normale supérieure, et le samedi soir y invitant ses anciens camarades. Et l'on faisait le tour du pâté d'immeubles pour voir un film au Studio des Ursulines. Je suis passé devant la grille et la maison blanche aux persiennes, dont le cinéma occupe le rez-de-chaussée. Le hall était allumé. J'aurais pu marcher jusqu'au Val-de-Grâce, dans cette zone paisible où nous nous étions cachés, Jacqueline et moi, pour que le marquis n'ait plus aucune chance de la rencontrer. Nous habitions un hôtel au bout de la rue Pierre-Nicole. Nous vivions avec l'argent qu'avait procuré à Jacqueline la vente de son manteau de fourrure. La rue ensoleillée, le dimanche après-midi. Les troènes de la petite maison de brique, en face du collège Sévigné. Le lierre recouvrait les balcons de l'hôtel. Le chien dormait dans le couloir de l'entrée. »

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 12:00

Le pire n’est pas toujours vraiment sûr. Au tout début de l’année 2012, ma mission de médiateur m’amenait à intervenir sur le dossier des 70 producteurs de lait des Monts du Forez livrant à l’entreprise Forez-Fourme 10.5 Ml mise en liquidation judiciaire et qui depuis le 31 décembre 2012 ne collecterait plus le lait des dit producteurs. En rentrant de ma première réunion organisée par l’interprofession régionale, à Lyon, entre les représentants des producteurs et les entreprises de transformation opérant dans la zone j’avais écrit une chronique Afterwork du taulier : modeste contribution au soutien des producteurs de lait de la Fourme de Montbrison (Forez-Fourme) link


La situation des 70 producteurs était dramatique : qu’allaient-ils faire de leur lait ? Le collecter oui mais ensuite à qui le livrer ? Les deux grandes entreprises du bassin de collecte campaient sur leur position. Tout semblait bloqué, sans solutions viables. Et pourtant, avec des bouts de ficelle, une mobilisation de l’administration locale et régionale, de l’interprofession, le lait fut collecté, vendu, certes à un prix peu satisfaisant. Bref, petit à petit, telles les pièces d’un puzzle compliqué, des pistes furent explorées et l’une d’elle vient d’aboutir.

 

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Je ne vais pas vous faire un plus long discours sur le sujet mais simplement vous dire que demain 19 avril 2013, à 17h, à Sauvain, dans le département de la Loire, dans l’exploitation  d’un des éleveurs, Stéphane Joandel, serait officiellement lancé « le lait UHT demi-écrémé Casino des éleveurs des Monts du Forez ». Ce n’est qu’une partie de la solution aux problèmes des éleveurs, mais c’en est une où chaque partie a su composer, discuter, pour aboutir. C’est mieux que les manifestations et les horions. Merci à l'ami Claude Risac pour son engagement, sa constance et sa patience sur ce dossier.

 

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 Si je me rends à l’inauguration j’emporterai dans ma besace de belles quilles de vin des Côtes du Forez ou d’Urfé pour fêter l’évènement : voir ICI www.cavereal.fr  

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Enfin, je profite de cette chronique pour vous annoncer, qu’à compter de juillet de cette année, j’en reprends pour une année de médiateur avec une petite équipe de collègues à qui je passerai, en 2014, le bâton. Premier dossier sur le feu, sur l’autre pente des Monts du Forez, en Auvergne. Je n’ai pas fini de vous casser les pieds avec mes vaches, chers lecteurs. Si un jour nous décrétions qu'il n’y a jamais de petits problèmes, mais des problèmes tout court, et que si on veut bien s’en donner la peine les solutions sont souvent à notre portée encore faut-il s’en préoccuper à temps, cesser de baisser les bras, bonne journée sur mes lignes. 

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