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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 00:09

N’en déplaise aux anarchistes j’ai  toujours détesté l’injure « mort aux vaches » car il n’y  a rien de plus paisible qu’une belle et bonne vache qui rumine dans un pré.


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Alors pourquoi pas « mort aux taons ! »


En effet, comme l’écrit Jules Verne dans Michel Strogoff à propos des marais de Baraba « qui est une funeste région, que l’homme dispute chèrement aux tipules, aux cousins, aux maringouins, aux taons […] Le cheval de Michel Strogoff, talonné par ces venimeux diptères, bondissait comme si les molettes de mille éperons lui fussent entrées dans le flanc. Pris d’une rage folle, il s’emportait, il s’emballait, il franchissait verste sur verste, avec la vitesse d’un express, se battant les flancs de sa queue, cherchant dans la rapidité de sa course un adoucissement à son supplice […]


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L’horreur absolu donc qui va me permettre de digresser sur ces affreuses bestioles pour épingler les gros taons de la Toile.


Pour les petites louves et loups des villes qui n’ont jamais mis les pieds dans un pré, une zone humide comme disent les écolos, les taons sont comme les mouches des Diptères (insectes n’ayant que 2 ailes) appartenant à la famille des Tabanidés. Ce sont les femelles qui sont redoutables, outre qu’elles pondent plusieurs centaines d’œufs elles sont généralement carnivores et s’attaquent aux autres insectes aquatiques, aux vers de vases, aux mollusques ou aux crustacés. D’autres sont plutôt détritiphages (mangeuses de détritus) et consomment des débris organiques. Les femelles de taons doivent sucer du sang afin d’avoir l’énergie nécessaire au développement de leurs œufs. Elles recherchent des vertébrés comme les chevaux, les bovins et, parfois, l’homme. Elles complètent souvent leur repas en butinant ou en buvant. Les mâles butinent également, mais ne piquent pas.


Quand je guidais Nénette, notre brave jument, le redoutais que ces salopes de taons la harcellent. « Mouches et cheval cohabitent, douloureusement, depuis fort longtemps. Parasites internes ou ectoparasites piqueurs-suceurs de sang, de nombreux Diptères profitent d’Equus caballus qui se défend, à coups de crinière et de queue – voire de fuite éperdue –, ses armes naturelles, et de quelques artéfacts mécaniques et chimiques. »  

 

L’Hippobosque du cheval, Hippobosca equina est, à l’état adulte, parasite hématophage obligatoire du cheval, de l’âne… mais aussi des bovins et des camélidés. Les Hippobosques sont bien connus et redoutés des éleveurs (les animaux-hôtes subissent des piqûres et réagissent comme ils peuvent, souvent violemment) sous divers noms expressifs comme « Mouche-araignée », Mouche plate ou Mouche-crabe. Localement, c’est la mouche à vers ou la bouine (ou mouche bouzine).


En France, l’espèce la plus impressionnante (jusqu’à 3 cm de long), sinon la plus courante, est le Taon des bœuf Tabanus bovinus Loew. Ces pestes transmettent de nombreuses maladies : anémie pernicieuse, charbon…


Ce petit rappel d’entomologie paysanne n’avait d’autre but que de me permettre d’ouvrir la chasse aux gros taons de la Toile. Je dois concéder que le gibier se raréfie mais les survivants sont résistants et virulents. Ce sont essentiellement des mâles, des vieux taons, qui se repaissent des écrits des autres pour baver dessus. Ils sont aussi tenaces que « les taons  femelles qui évitent de se poser sur un vêtement clair afin de ne pas se faire repérer et lorsqu’elles sont chassées d’un revers de main, elles ne s’envolent que pour se reposer à quelques centimètres. »

 

Le libre accès aux chroniques sur la Toile leur permet de sévir en toute impunité, de se vautrer, de se repaître essentiellement sur Face de Bouc où n’importe quel crétin peut se prendre pour un génie des Carpates. Comme il n’existe pas de tapettes à gros taons et que je suis allergique au Flytox (un pulvérisateur à main d’insecticide (à base de DDT) utilisé jusqu’aux années 1950) il me reste plus, puisqu’ils veulent que je ferme ma crèmerie, qu’à les harceler, à les éradiquer.


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Je m’y emploie. Dès qu’un de ces gros taons, en règle générale pendant une période donnée le gros taon officie en solitaire avec un goût prononcé pour l’acharnement et les œillères, attendant le bon moment pour fondre sur une de mes chroniques, non pour faire des commentaires, mais pour tenter de s’extraire de sa médiocrité et se mettre en valeur je lui fous un coup de tampon sur la gueule : « Mort aux taons ! »


Nul n’est tenu de lire ce que je mets en ligne chaque jour. Un espace de liberté n’est pas une piste d’atterrissage pour vieux taons en mal de notoriété ou de reconnaissance.

 

Qu’ils aillent sucer leur fiel ailleurs !


Ce pluriel bien singulier m’a permis ce matin de pointer le doigt sur un gros taon qui me conchie et qui devrait être déposé au Pavillon de Sèvres comme le taon étalon, pour être en quelque sorte reconnu  comme « le roi des taons ». D'ailleurs sur Face de bouc l'autre jour il le confessait doctement : Soyons un peu moins taons ! Tout ça pour calmer ses affreuses aigreurs d'estomac « entre Bios pas beaux, acidos-pseudo-minéraux, star de bazar spécial copinage et découvertes dont tout le monde parle... Paris souffre sans soufre et semble boire la daube dont on ne veux pas en Province.»

 

Il nous prend pour des cons ce gros taon mais c'est celui qui dit qu'y est comme on disait dans les cours de récréation...

 

Hors la planète vin, il y a plein de gros taon, l'un d'eux est vraiment le plus gros taon de la Toile sans contestation Pierre Ménès consultant-foot qui porte la débilité à sa plus haut niveau de quintessence.


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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 13:06

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EXCLUSIF Pendant 40 ans, le chef Bernard Vaussion a cuisiné pour six présidents successifs et pour leurs prestigieux invités. Dans ce documentaire rare, suivez les derniers moments en cuisine de ce grand représentant de l'excellence française, dans l'intimité de son travail quotidien. ICI link

 

Bernard Vaussion né le 24 octobre 1953 à Orléans est un grand chef cuisinier français. Il est en charge des cuisines de la Présidence de la République de 2005 à 2013.


Il a débuté sa carrière à 14 ans chez un pâtissier. À 16 ans, il devient commis de cuisine à l'ambassade des Pays-Bas. Puis il rejoint l’ambassade de Grande-Bretagne comme second.


Après avoir fait son service militaire à l'Élysée, il est engagé officiellement le 1er janvier 1975. En 2005, il est promu chef des cuisines par Jacques Chirac.


Il prend sa retraite le 30 octobre 2013

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 11:00

Dans ma jeunesse vendéenne j’ai le souvenir de conversations à la maison où il était question de ceux de nos voisins dont la seule ambition dans la vie était de guetter la mort du père ou de la mère untel pour, profitant des bisbilles entre héritiers, acheter un bout terre qui viendrait arrondir leur patrimoine. La plupart se saignaient aux quatre veines, vivaient chichement, pour accumuler dans leur bas de laine les picaillons nécessaires à leurs acquisitions alors que les grands propriétaires – des nobles – qui tenaient toutes les grosses métairies du canton, les clients de battages de mon père Arsène, données en métayage puis en fermage, pestaient contre la baisse de la rente foncière et ne rêvaient que de vendre leurs terres pour investir dans des activités plus rentables.


Ça m’a beaucoup marqué. Pour moi, la terre agricole, la terre arable, est un outil de travail pour les agriculteurs et non un objet de thésaurisation ou pire de spéculation lorsqu’elle devient terre à bâtir.


Sans être un panier percé j’ai toujours privilégié la vie à l’accumulation financière, ce qui ne m’a pas empêché d’acquérir un appartement à Paris à une époque où les prix d’achat restaient plus que raisonnables. Je ne l’ai pas fait pour transmettre mais pour habiter encore à Paris dans des conditions acceptables. Valeur d’usage plus que valeur de rente. Pour moi la transmission se situe ailleurs, dans les valeurs de vie que dans le capital.


Ceci écrit, arrivé à l’instant de ma vie où, retraité actif : je m’occupe jusque fin 2014 des quotas laitiers de mes vaches pour le compte du locataire du 78 rue de Varenne, se préoccuper de l’avenir de celles et ceux qui vivent sur et de notre terroir profond m’apparaît comme une ardente obligation. Les petits ruisseaux font les grandes rivières et joindre le geste à la parole vaut mieux que de se contenter de maugréer, de pester contre le système car nous sommes aussi le système.


Bref, sur ces fortes considérations voici quelques nouvelles de mes propriétés dans le vignoble profond.  


Du côté de Catherine


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Chers associés,


Quelques nouvelles en bref :


1)   La récolte a été belle et abondante, 99hl, soit presque 13 000 bouteilles. J’espère retrouver dans les vins la saveur des grains de raisin que je goûtais dans les rangs.


2)   Le millésime s’avérant pointu, pointu, je viens de faire l’acquisition d’un foudre de 20hl, une belle pièce vraiment, pour apprivoiser ce pointu-pointu.


3)   Les vins n’étant pas tout à fait finis, les vignes appelant à être labourées et chaussées avant l’hiver, j’y retourne.


Du côté de Solenne


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C’est fait. C’est bouclé. Solenne, grâce au crowdfunding link et link , va pouvoir être équipé d’un collier lui permettant de décavaillonner dans les vignes d’Alexis et Pascal Peyvergès qui ont repris le vignoble de leur père en 1999 et qui en 2008 ont décidé de convertir la conduite de la vigne et la vinification aux méthodes de l'agriculture biologique. Lire ICI link

 

Je suis, bien sûr, prêt pour d'autres aventures dans le vignoble profond... et à tous ceux qui s'étonnent que sur le répondeur de mon téléphone je déclare que je suis dans mes vignes lorsque je ne réponds pas, je déclare qu'ils ne savent pas rêver...

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 10:45

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« Le vin, du terroir libanais, produit au grand jour et consommé librement, devient un indicateur de libertés pour la société libanaise. À consommer avec modération. Le vin, pas la liberté »  telle est la conclusion de l’article de Fadi Assaf dans Libanews le Média citoyen du Liban


En effet que constate-t-il ?


« Après une série d’attentats perpétrés contre les débits d’alcools à travers le Liban, dans l’ensemble des régions sous domination islamique radicale, sunnite soit-elle (Saïda, Majdel Anjar) ou chiite (Tyr, Nabatiyeh), un autre fait divers survenu à Tripoli, avec le plasticage de trois épiceries proposant encore de l’alcool dans la ville, vient rappeler la triste réalité de la société libanaise qui glisse vers une inquiétante radicalisation et vers une intolérance dangereuse.


Les principales villes libanaises, autrefois mixtes et symboles d’une cohabitation nécessaire entre les cultures et les religions, se renferment sur elles-mêmes, et leurs populations tendent à se radicaliser. Rien d’étonnant, si l’on observe l’évolution des sociétés islamiques proches ou éloignées. Sauf qu’il s’agit, dans ce cas, du Liban. »


Lire la Suite link

 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 10:30

Le site Ryot news+action verse dans l’humour pour annoncer l’info « Apparemment le monde est un tas de poivrots, il serait à l'origine d'un problème assez important nous allons être confrontés à une pénurie mondiale de vin.link 


Dans les Échos, Henri Gibier, se fait écho de cette analyse L'écart entre l'offre et la demande atteint actuellement le pire niveau depuis un demi-siècle affirme le bandeau de son article.link


« D’une part, la consommation progresse pratiquement sans interruption depuis la fin des années 1990, du fait notamment des Etats-Unis et maintenant de la Chine. La consommation par tête des Américains a doublé depuis le début du siècle. Quant à la Chine, sa consommation a doublé à deux reprises dans les cinq dernières années (deux cartes donnent une idée de qui boit quoi sur notre planète). Mais d’autre part, la production mondiale piétine : elle est même sur une tendance à la baisse depuis le début des années 2000. Les trois responsables sont justement les trois plus gros producteurs « historiques » : l’Espagne, la France et l’Italie. »


Une telle approche mélange les choux et les navets, le marché du vin n’est pas celui du pétrole, il y a vin et vin, vrac et bouteilles, GCC, vins génériques, vins de marques… bien sûr ces évolutions ne seront pas sans effet sur les prix mais, comme le note Gibier, il y a beaucoup d’autres choses que le vin dans le prix du vin.


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La pénurie de vin  n’est pas pour demain.


Le plus grand risque pour un vignoble comme le nôtre c’est que le déséquilibre offre/demande en faisant flamber les prix sur le marché nous fasse oublier nos faiblesses structurelles et ne nous incite pas à mieux structurer notre offre pour faire face à la demande de vin incluant le plus de valeur ajoutée. La vidange des fonds de cuve ne peut en rien tenir lieu de politique. Créer de la valeur dans les vignes pour investir les parts de marché les plus porteurs est la voie de l’avenir. Allons-nous nous contenter de suivre ?

Les grands esprits de FranceAgriMer vont sans nul doute répondre à cette question lire ICI « Les experts de FranceAgriMer vont-ils mettre le Cap sur 2020 pour le vin ? »link 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 10:15

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C’est une modélisation publiée dans le Medical Journal of Australia, un plaidoyer pour taxer le vin selon sa teneur en alcool.


Le sénateur Verts Richard Di Natale a déclaré que dans le système actuel le vin était moins cher que l'eau en bouteille. « Nous avons un système qui est de la bouillie pour les chats - c'est mauvais pour l'industrie et c'est mauvais pour la santé des populations » at-il dit. Pour lui, le système actuel qui taxe le vin sur la valeur a encouragé une production élevée en volume et des produits de mauvaise qualité, ce qui avait nui à la réputation internationale de l'Australie.


Bien sûr la Fédération des vignerons Australien est contre mais certains vignobles, dont Treasury Wine Estates (qui détient Penfolds et Wolf Blass) et Pernod Ricard (qui détient Jacob Creeek's) sont partisans d’une taxation du vin en fonction de sa teneur en alcool. Cette position est aussi celle de Pernod-Ricard en France.


Taxing Wine by Alcohol Content par Dan Harrison The Sidney Morning Herald link

 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 10:00

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Je suis, contrairement au vin, confronté à un afflux massif d’offre. Afin de ne pas vous saouler en abreuvant votre messagerie de mas écrits j’ai décidé de pratiquer ce matin le groupage. Vous trouverez ci-dessous 3 liens qui vous permettrons, à votre guise, de saines et fructueuses lectures.


Je vous conseille de lire ce qui suit sans aucune modération car c’est bon pour la  santé de nos petits neurones submergés par une actualité bien déprimante. Sacré Borloo il me fera toujours rire avec ses volte-face, son bagout et les portiques italiens de NKM.


1-      En Australie aussi, taxer le vin pour sa teneur en alcool augmenterait les recettes de 1,3 Mds de $, réduirait la consommation d'alcool de 1,3 %, économiserait 820 millions de $ des coûts de santé.link 


2-      Selon un rapport publié lundi par Morgan Stanley Research, le monde souffrira d'une pénurie d'offre de vin.link


3- Liban: Le vin, un indicateur objectif des libertés link

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 11:00

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Pour sûr que Cap 2020 ça sonne mieux que Cap 2010 mais pas sûr que le Conseil spécialisé de FranceAgriMer pour les filières viticole et cidricole, sous la houlette du capitaine-président Jérôme Despey soit le meilleur incubateur pour accoucher du travail de réflexion, visant à définir une stratégie de filière pour les dix prochaines années, demandé par Stéphane Le Foll, le ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt.


Qui vivra verra mais, au vu de l’enterrement de première classe que les professionnels ont réservé à Cap 2010 lorsqu’Hervé Gaymard leur a demandé de mettre en œuvre la stratégie qui y était recommandé le doute m’assaille.


Les dés ont été jeté dans la première décennie du XXIe siècle, ils ont roulés, et comme le disait Mac Arthur « Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard.  »


Nous n’avons pas perdu « la guerre », loin de là, mais sûrement une belle bataille qui nous aurait permis d’anticiper sur le développement des marchés émergeants. Nous suivons mais non régressons en volume et en part de marchés.


Je ne dis pas comme le « regretté » Mao-Tse-Dung « feu sur l’état-major » car il n’y a pas d’état-major mais plutôt une armée mexicaine où chaque région tire à hue et à dia et ça, ça ne fait une stratégie mais un empilement d’actions désordonnées. Vous me direz, c’est la fameuse loi du marché et que le ou les meilleurs gagnent.


Comme me le disait l’autre jour un grand exportateur à propos de cette réflexion stratégique : « qu’irions-nous faire dans cette galère ? » Je n’ai pas osé lui répondre « mettre le Cap sur 2020 »


Moi ce que j’en dis c’est juste pour ramener ma fraise on ne m’a rien demandé !


La stratégie est et reste un art militaire l'art de diriger et de coordonner des actions pour atteindre un objectif. Appliqué à un secteur économique elle doit être définie en fonction de ses forces et de ses faiblesses, compte tenu des menaces et des opportunités.


Définir des priorités, peu sinon ce n’en sont pas, proposer des choix simples et opérationnels, se donner les moyens d’agir et bien sûr agir.


Nul besoin de se noyer dans de longues analyses, tout est sur la table, reste à faire preuve d’un peu d’audace, savoir aussi déplaire, et de beaucoup d’anticipation, pour sûr que c’est plus difficile que de s’entendre sur la prorogation des droits de plantations.


Si certains experts de FranceAgriMer veulent venir s’exprimer sur mon « espace de liberté » ils seront les bienvenus.


Bon vent !


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Alors que les vendanges s'achèvent, les vignerons européens sont plutôt satisfaits du niveau de leur cuve. Selon les chiffres publiés lundi 28 octobre par l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), la production des 28 pays qui composent l'Union européenne (UE) devrait progresser de près de 11 % en 2013, à 163,9 millions d'hectolitres. Après une mauvaise saison 2012, le niveau de 2009 serait retrouvé.


L'Italie garde son titre de premier producteur mondial de vin, devant la France. Avec une progression de la récolte de 2 %, elle s'approche de la barre des 45 millions d'hectolitres.


La France, qui avait souffert d'une vendange historiquement faible en 2012, renoue avec la croissance (+ 7 %), à 44 millions d'hectolitres. Mais elle est encore loin de son record de 2011, année où elle avait détrôné l'Italie.


C'est l'Espagne, sur la troisième marche du podium mondial, qui bénéficie de la plus forte envolée de ses volumes. Sa production vinifiée progresse de 23 % en 2013, pour atteindre 40 millions d'hectolitres.link

 

 

Voir le dossierFranceAgriMer  link 

 

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 11:20

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Plus de 11 ans après son départ brutal de Vivendi Universal, l'ex-PDG du groupe, Jean-Marie Messier comparaît à partir de lundi en appel pour répondre une nouvelle fois de sa communication et de ses conditions de départ.


« Mis en cause pour sa communication lors des derniers mois de son mandat et pour les conditions de son départ, Jean-Marie Messier avait été condamné en janvier 2011 par le tribunal correctionnel de Paris à trois ans de prison avec sursis et 150.000 euros d'amende pour « diffusion d'informations fausses ou trompeuses aux marchés et abus de biens sociaux ». Il avait en revanche été relaxé du chef de « manipulation de cours ». Les juges, qui l'ont qualifié de « prestidigitateur de dettes », ont considéré qu'il avait trompé le public et les actionnaires sur l'état de VU, dont il disait qu'il allait « mieux que bien » alors que les créanciers étaient à ses portes. Ils ont retenu contre lui sa tentative d'obtenir sans l'avis préalable du conseil d'administration un parachute doré de 18,6 millions d'euros qualifié d' »abus de biens social. »link 

 

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« Après Héraclès, la société propriétaire du site 1855.com, c'est au tour de la SA Chateau Online, qui a aussi aussi changée de dénomination sociale. Elle s'appelle désormais Ares d'être placée en redressement judiciaire. Le groupe d’Emeric Sauty de Chalon poursuit une étrange quête de l'Olympe, peut être avec l'espoir que les Dieux les protègeront des difficultés économiques, des poursuites judiciaire et de la colère croissante de clients qui ont payé leur commande sans jamais voir de vin en retour. »link 

 

Reportage - Jacques Attali a donné un banquet jeudi soir sur la Croisette en faveur de sa fondation Planet Finance. C'est Carole Bouquet qui a endossé le costume de "Sharon Stone" pour faire monter les enchères lors de la vente.le 13 mai 2011


Tu t'offres ma chérie, tu ne te vends pas


Mais c'est sur scène, avec la vente aux enchères d'objets prestigieux, que le spectacle se passe avec une Carole Bouquet, marraine de la soirée, très... investie. Et la vente commence avec... une bouteille de vin du vignoble de Carole Bouquet. "Mes petits amis, qu'on se le dise, j'irai dîner avec celui qui achètera cette bouteille. Ce soir, je me vends au plus offrant". "Tu t'offres, ma chérie, tu ne te vends pas", corrige Pierre Cornette de Saint Cyr, commissaire-priseur de la soirée qui ressemble à s'y méprendre à Guy Lux.


Mise à prix : 1000 euros. Une main se lève, 2000, 4000, 5000.... une fois, deux fois.... "Je ne dîne pas pour 5000", interrompt la maîtresse de cérémonie. "Monsieur Messier, un jour, je suis venue dans votre bureau et ça ne vous a rien coûté". Monsieur Messier sourit. "9000, nous avons une offre à 9000". Adjugée, vendue.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 10:25

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Mademoiselle Louise,


Vous faites de la provocation et c’est bon !


Non bien sûr, et vous le savez, et le démontrez, le vin ne rend pas con, le pauvre il n’y est pour rien car il n'est qu'une victime, pris en otage par des…, je n’ose leur appliquer votre qualificatif, qui nous saoulent, nous gonflent, nous prennent la tête, nous font ch… comme le chantait monsieur Béranger.


« À tant aimer le vin, nous en avons dégoûté les autres.


À coup de commentaires aussi ésotériques pour le profane qu’un code des impôts pour un collégien, on a perdu l’essentiel de vue.


Si on aime un vin, c’est pour le partager. »


Vous êtes tout à fait destinée à prendre la tête de l’Amicale du Bien Vivre mademoiselle Louise !


Je vous laisse la plume car vous l’avez trempée dans un juste courroux.


« Les guerres, un pluriel qui donne le vertige autant qu’il déprime.


Quid de savoir quelle tranchée choisir entre pro natures (entendez vins sans sulfites) et pro-traditionnels? Que dire encore des interrogations fumeuses pour savoir si un cubi en forme de sac à main ne devrait être considéré comme une forme de sexisme à l’égard des femmes ou si un jeune ayant le mauvais goût d’apprécier un rosé pamplemousse doit être cloué au pilori du pédantisme bachique de certains? Doit-on voir dans une dégustation pour filles, un show sexiste et réducteur? »


Lire ICI link


Merci mademoiselle Louise de votre contribution à l’extension du domaine du vin.

 


jacques brel - la chansons de jacky par bisonravi1987

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