« Le vin, du terroir libanais, produit au grand jour et consommé librement, devient un indicateur de libertés pour la société libanaise. À consommer avec modération. Le vin, pas la liberté » telle est la conclusion de l’article de Fadi Assaf dans Libanews le Média citoyen du Liban
En effet que constate-t-il ?
« Après une série d’attentats perpétrés contre les débits d’alcools à travers le Liban, dans l’ensemble des régions sous domination islamique radicale, sunnite soit-elle (Saïda, Majdel Anjar) ou chiite (Tyr, Nabatiyeh), un autre fait divers survenu à Tripoli, avec le plasticage de trois épiceries proposant encore de l’alcool dans la ville, vient rappeler la triste réalité de la société libanaise qui glisse vers une inquiétante radicalisation et vers une intolérance dangereuse.
Les principales villes libanaises, autrefois mixtes et symboles d’une cohabitation nécessaire entre les cultures et les religions, se renferment sur elles-mêmes, et leurs populations tendent à se radicaliser. Rien d’étonnant, si l’on observe l’évolution des sociétés islamiques proches ou éloignées. Sauf qu’il s’agit, dans ce cas, du Liban. »
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