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4 janvier 2016 1 04 /01 /janvier /2016 07:20
J’exhume de la naphtaline, 2011, l’interview mystère, d’un homme, grand et sympathique, de l’INAO, par Michaël Steinberger du New York Times…

Cette interview pourrait être sous-titrée par la célèbre réflexion désabusée « Il faut que tout change pour que rien ne change. » que Giuseppe Tomasi di Lampedusa met dans la bouche de Tancredi neveu du prince Salina, Le Guépard.

 

Chronique d’une catastrophe annoncée…

 

« Cet homme, grand et sympathique, choisissant bien ses mots – j’avais affaire à un bureaucrate –, convint que le système était en lambeaux. Accroître si considérablement le nombre des appellations avait été une erreur, reconnut-il, une erreur qui avait sévèrement nuit à la réputation des vins français à l’étranger. « Notre image n’a pas été détruite, mais elle a été affectée par la qualité moindre de ces vins. » Suivait le couplet sur l’agrément, son côté économique et social, les pressions des producteurs et le oui franc et massif dans 99% des cas. Air connu, puis « l’homme grand et sympathique » abordait les réformes en cours d’élaboration « Les problèmes dans la bouteille, me dit-il, ont souvent pour origine des problèmes dans les vignobles ou dans les chais. Nous voudrions éliminer ces problèmes. »

 

- Mais pour résoudre ces difficultés, était-il opportun de créer plus de règles encore ?

 

Et bien sûr de jouer ensuite le provocateur « Soudain, je m’avisai de jouer le rôle de Milton Friedman, le libéral par excellence. Au lieu de multiplier les règles, pourquoi ne pas en réduire plutôt le nombre, et laisser la liberté aux vignerons de faire ce qu’ils ont à faire et aux consommateurs de décider quels sont les vins qui méritent d’être bu ? »

 

Réponse de « l’homme grand et sympathique » :

 

« Au cours des années 1930 et 1940 la régulation était légère. « Les règles n’étaient pas très nombreuses – elles couvraient les limites territoriales et les variétés de cépages. Historiquement, les producteurs d’une même appellation fabriquaient leur vin de la même façon. Ce n’était pas le même vin, mais un vin similaire… « certains d’entre eux s’étaient éloignés de manière inacceptable des pratiques de fabrication traditionnelles »

 

« Lorsqu’on appartient à une tradition collective, me dit « l’homme grand et sympathique » il faut bien établir des règles pour les choses importantes, et vous ne pouvez laisser faire un vin complètement différent. »

 

« Il me paraissait à moi que le problème était que les bons vignerons se trouvaient contraints de transgresser de mauvaises règles. J’invoquai le nom de Jean Thévenet, dont les difficultés avec son appellation dans la région de Mâcon avaient fait l’objet de certains articles de journaux. »

 

« Un excellent producteur – et là « l’homme grand et sympathique » se piégea lui-même, ce qui l’obligea à reformuler –, un producteur qui a une bonne intuition du marché peut faire un vin qui aura beaucoup de succès sans pour autant faire partie d’une AOC. Monsieur Thévenet n’est pas un mauvais homme ; c’est un grand homme, et il fait un grand vin. Mais nous sommes confrontés à ce problème partout ailleurs en France : des gens qui font du vin complètement différent. Et on ne peut laisser faire ça. » Le manque de conviction perceptible dans sa voix laissait penser qu’il ne croyait pas lui-même à son argumentation. »

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4 janvier 2016 1 04 /01 /janvier /2016 06:00
C’est la faute à UBER si votre boîte mail fut encombrée hier matin à 6 heures…

Chers abonnés,

 

Vraiment désolé pour la gêne occasionnée par cette intrusion massive, je vous prie de bien vouloir m’en excuser.

 

Alors que je dormais du sommeil du juste et que j’avais déposé sur ma table nuit ce que l’on n’appelle plus un téléphone je fus réveillé par une suite ininterrompue d’arrivée de message. 6 heures c’est l’heure de la mise en ligne de mes chroniques.

 

Je m’inquiète et je constate les dégâts ma chronique se duplique sans discontinuer.

 

Je me précipite vers mon grand écran. J’ouvre la boîte d’administration et verrouille les envois.

 

36 messages dans ma boîte mail, le mal était fait.

 

Comme nous étions dimanche je m’inquiétais pour la suite car tous bons français mes hébergeurs sont en week-end. Leur demander de réparer leur petit robot c’était pisser dans l’eau.

 

Subir sans pouvoir agir tel est le risque de confier à des robots des tâches autrefois contrôlée par sa main.

 

Au tout début de mon blog tel était le cas.

 

Que faire avec la prolifération de cette sous-traitance aveugle ?

 

Reprendre la main ?

 

Pourquoi pas !

 

Dans le cas présent l’incident est mineur mais lorsque nos vies dans un avion sont en grande partie entre les mains d’ordinateurs de bord, les conséquences d’un dérèglement sont d’une extrême gravité.

 

Bref, la société uberisée  que l’on nous promet ne me dit rien qui vaille.

 

« ... nous nous trouvons apparemment à la croisée des chemins. Soit la technologie servira à consolider l’actuelle société centrée sur le travail, en confinant nos enfants (et leurs enfants) dans une masse grandissante de “personnes jetables” n’ayant aucun rôle social ou économique, soit elle sera mise au service d’une société différente. Une société qui libérera du temps au lieu de le gaspiller en en nous obligeant à patienter dans la salle d’attente d’une agence pour l’emploi ou à gagner péniblement notre vie en menant une “carrière en portefeuille” [portfolio career, plusieurs jobs à la fois].

 

Nous sommes en train de réaliser que le travail n’est plus une question de survie biologique – envoyer des courriels à longueur de journée dans un bureau n’a pas grand-chose à voir avec l’activité d’un chasseur-cueilleur – mais une invention qui n’est pas gravée dans le marbre. »

 

Si l’incident se reproduisait pour le postage de mes chroniques je reprendrai la main.

 

Bonne journée avec mes excuses renouvelées…

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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 08:00
CHAP.15 opération Chartrons, en plein état d’urgence, alors qu’on peut être assigné à résidence pour ses convictions écologistes on ne risque apparemment rien à partir en bande à la chasse à l’Arabe.

« Une nouvelle embellie d'amour semblait s'annoncer. Cyprien avait perdu toute défiance… » Huysmans, la nouvelle idole d’Houellebecq, dans les Sœurs Vatard en 1879.

 

Dans embellie il y a belle, comme ombelle, ombrelle, belle qui ensorcelle… et moi j’en suis encore resté là. Seul et abandonné mon vieux cœur d’artichaut auquel il reste encore quelques feuilles n’en finit pas d’aimer. Aucun remède, aucune thérapie, aucun électrochoc, n’ont pu venir à bout de ma plus grande pente, j’y glisse sans cesse avec plaisir.

 

« C’est curieux. Lorsque nous sommes enfants, et même lorsque nous sommes jeunes, nous ne prévoyons jamais quelles nouvelles choses vont devenir importantes et révolutionner notre propre existence. Il y a tellement de nouveautés et elles surgissent à une telle vitesse qu’on dirait qu’elles ne présentent aucune importance aux yeux de l’adolescent déconcerté qui va devoir les vivre. En revanche, lorsque nous sommes vieux, vraiment vieux, il reste tellement peu de choses nouvelles à aborder que chacune d’elles devient importante. Et je vous assure qu’à mon âge, les choses qui vont arriver ne peuvent être qu’importantes. De fait, il ne faudrait même pas en parler au pluriel. »

 

Le narrateur de Luis Llach met le doigt là où il faut : la seule chose importante qui me soit arrivé c’est que je sois de nouveau tombé amoureux. C’était en août 2014, et j’écrivais depuis la Mouzaïa : « Sans même y réfléchir, face à la situation, je décrétais « l’état d’urgence », je prenais enfin conscience que le temps m’était brutalement compté, il me fallait m’extraire sans délai de ma latence, rompre ma déshérence, l’aimer à me péter le cœur ! »

 

« Je suis un amoureux permanent qui tombe amoureux à la moindre perturbation, au plus petit signe d’une belle, ici ma belle, alors sans transition je fonds, j’atteins le point d’ébullition, je m’enflamme, me consume comme de l’étoupe. Capable de tout et de n’importe quoi, je suis à la fois proie et prédateur… »

 

« Nous quittâmes, à vélo, sans trop de regret les mornes plaines des confins du XIIIe-XIVe pour rejoindre notre nouvelle demeure. Il nous fallut grimper, forcer sur nos pédales, pour atteindre les hauteurs de la Mouzaïa. À destination nous étions nimbés de sueur, fenêtre ouverte, face à elle sous la douche, je m’émerveillais « Y’a toujours des oiseaux à la Mouzaïa ». Affleurement, effleurement, nous fîmes l’amour avec délice sur notre presqu’île et le moka d’Abyssinie qu’elle prépara, avec les mêmes soins que Chouchou, bien mieux qu’un visa, me conférait le statut de résident. Je jetais mon statut d’apatride aux orties, j’abandonnais le no man’s land complaisant où je me vautrais depuis toujours. »

 

«Les amoureux d'aujourd'hui

Savent qu'il reste des bancs dans Paris

… Tant qu’il y aura des bancs reste un pays de sentiments »

 

Le 17 août 2014 je notais :

 

Je ne me lassais pas de relire mes notes écrites comme toujours au crayon :

 

« En survolant la Giraglia, j’ai l’impression de toucher des yeux ce caillou couvert de myrte et de lentisque. Les hublots deviennent autant de masques qui grossissent les contreforts du cap Corse, un index tendu vers le golfe de Gênes… »

 

« Une forte odeur de maquis me gagne à l’aéroport de Bastia-Poretta, quelque chose d’âpre et d’entêtant qui fait battre mon cœur et me confirme que je suis Corse aussi…»

 

La Corse : Jean-François Bazin, fin analyste politique, pose la bonne question : Qu'est-ce que la Nation corse?

 

« Le spectacle corse se déploie sous les yeux éberlués d'une opinion française qui en découvre chaque jour un nouvel épisode. Rien n'y est d'équerre et surtout, les mêmes mots et les mêmes références semblent ne pas avoir le même sens et la même portée selon qu'on les manie sur l'île ou sur le continent. Cela a commencé durant la campagne des régionales quand autonomistes et indépendantistes réunis ont tranquillement repris leur proposition de "corsisation" des emplois sans que ça trouble un seul instant la grande masse de ceux qui ont crié au scandale quand Marine Le Pen a voulu installer "la préférence régionale" au cœur de son projet pour sa nouvelle terre d'élection.

 

Cela s'est poursuivi au lendemain du scrutin quand les promoteurs de "la Nation corse" avec un art consommé de la mise en scène, ont substitué aux vieilles images un brin grotesques de la cagoule et du maquis celles du costard-cravate, sur fond de Salve Regina, sans que les autorités gouvernementales acceptent pour autant de donner l'absolution à ces nouveaux communiants tout juste bénis par le suffrage universel.

 

Cela a pris enfin un tour beaucoup moins farce lorsqu'au lendemain des événements d'Ajaccio, dans le quartier des Jardins de l'Empereur, les mêmes se sont mués en fervents défenseurs de l'ordre républicain en expliquant notamment que la spécificité corse n'était pas telle qu'on puisse distinguer des incivilités et un racisme façon ratonnade qui soient proprement insulaires. »

 

La suite ICI 

 

Dans une Tribune libre, dans Corse-Matin, Jérôme Ferrari, prix Goncourt 2012 avec Le Sermon sur la chute de Rome, paru aux éditions Actes Sud affirme avec justesse : Au-delà de la haine, rien !

 

« Nous sommes obsédés par notre image – et le préfet lui-même déplorait que les événements des jardins de l’Empereur aient donné une image désastreuse de la Corse. S’il n’a que cela à déplorer, je le félicite et je l’envie. Il me semblait que les événements étaient suffisamment déplorables par eux-mêmes, indépendamment de leurs effets fâcheux sur notre sacro-sainte image. Pourtant, au matin du 26 décembre, j’ai ressenti moi aussi une terrible honte collective. Je le regrette. Car la honte, pas plus que la responsabilité, ne saurait être collective et je ne veux pas faire ce cadeau à Monsieur Barbier et à ses semblables, qui ne méritent que notre mépris. Le débat que nous devons mener n’a pas à se dérouler sous les yeux de certains éditorialistes du Continent, personne n’a à jouer le rôle du Corse ou de l’Arabe de service dans les médias, nous n’avons pas à leur offrir des réactions dans lesquelles ils ne trouveront de toutes façons que la confirmation de leurs préjugés invincibles. Si le sujet les intéresse, il leur suffit de venir ici mener une enquête, ce qui leur donnera, pour une fois, l’occasion de faire un travail de journaliste. Leur détestation nous est acquise une fois pour toutes.

 

Qu’elle ne nous interdise donc pas de mesurer la gravité de ce qui s’est passé aux jardins de l’empereur. Les mouvements de foule sont toujours ignobles. Le spectacle de la jubilation grégaire est en soi répugnant. Apparemment, si j’en crois les vidéos, rien n’est plus délectable que de se laisser aller en groupe à une pulsion de lynchage qu’on voudrait faire passer pour une soif de justice. Mais où est la justice ? Que l’intolérable agression des pompiers mérite une punition sévère, voilà qui est évident ; mais par quel miracle aberrant cette punition pourrait-elle consister à s’en prendre à une communauté tout entière en terrorisant des familles innocentes ? Hélas, je crains que les courageux manifestants ne se soucient pas le moins du monde des pompiers. Ils ont simplement saisi l’occasion qui leur était offerte de laisser libre cours à la haine qui, depuis des mois, parcourt les réseaux sociaux et qui demeure, dans toute sa pureté, le fait originel. »

 

L’ensemble de la Tribune Libre ICI 

 

Le débat démesuré sur la déchéance de nationalité me gonfle car il permet à ceux qui prétendent incarner les valeurs du peuple de gauche de prendre des postures bien commodes. Sous chaque signature je mets bien plus qu’un visage, qu’une simple image médiatique bien ripolinée, je les connais. Je les ai vus à l’œuvre. Je les ai vus vivre aux antipodes de ce peuple dont ils se réclament. Intelligentsia parisienne, dernier carré des mitterrandistes tel Pierre Joxe, l’armée des soutiers de la rue de Solférino devenus députés frondeurs, vieilles bourriques d’une gauche qui n’a rien compris, rien anticipé, espèce en voie de disparition. Pour autant je trouve qu’en ces temps durs cultiver des symboles est une pure indignité. Que j’aime l’évocation du grand retour du peuple de gauche, ce peuple élu, peuple qui se croit choisi par une instance supérieure… je n’ose dire à la manière de de Gaulle, déchu de sa nationalité par Pétain : « peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur » ça serait très mal vu par les pharisiens…

 

Ce qui m’importe, me préoccupe, moi vieux briscard né dans une Vendée crottée qui n’aimait guère la République, c’est notre incapacité à exprimer clairement notre anticléricalisme. Je suis vacciné et je ne vois pas au nom de quoi je ne pourrais exprimer mon peu de goût pour les prêches débiles des imans. Devons-nous laisser ce soin à ceux qui sont en première ligne tel Maher Gabra, militant égyptien des droits de l'homme.

 

LE VER DU FANATISME DANS L'ISLAM

 

« Si Cheikh Gomaa, un porte-flambeau de «l'islam modéré», affirme que remettre en cause l'obligation du port du hijab suffit à faire de vous un infidèle, tandis que commettre les crimes de Daesh n'est qu'une "erreur d'interprétation" qui ne suffit pas à vous écarter de l'Islam, nous avons un problème !

 

L'argument du mufti est que El-Shobashy et ses partisans ont nié des axiomes religieux de base, tandis que Daesh ne l'a pas fait. Pour lui, le port du foulard est donc apparemment plus important que le fait de sauver des vies innocentes, ou d'empêcher qu'on réduise des femmes à l'esclavage.

 

Dans le même talk-show, l'ancien Grand Mufti sanglotait en commentant l'initiative de quelques Egyptiens de fonder un nouveau parti politique sous le nom de «parti laïc égyptien". Il a dit: "Ceci est une fête pour l'athéisme. Arrêtez ce péché, assez avec le manque de foi et de morale! " Pour ce "cheikh modéré", créer un parti qui prône l'égalité et les droits des citoyens, ainsi que la séparation entre la mosquée et de l'État, est donc un péché contre l'islam, la morale publique et l'unité nationale. A combattre à tout prix.

 

Lire l’intégralité de la tribune ICI 

 

Reste que l’Opération Chartrons reste d’une surprenante acuité ! Qui l’eut dit lorsque nous l’avons lancé ?

CHAP.15 opération Chartrons, en plein état d’urgence, alors qu’on peut être assigné à résidence pour ses convictions écologistes on ne risque apparemment rien à partir en bande à la chasse à l’Arabe.
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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 06:00
Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

Je m’en tiens là cher Daniele toi qui tout simplement tombé dedans, tu as ça dans le sang, toujours en quête de la transmission.

 

Avec un peu de retard bon anniversaire Daniele, l'âge n'a pas de prise sur ton coeur d'enfant.

 

Reçois ma fidèle amitié en attendant de te revoir chez toi dans les Pouilles où à Paris chez notre amie commune Alessandra.

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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 06:00
Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

Je m’en tiens là cher Daniele toi qui tout simplement tombé dedans, tu as ça dans le sang, toujours en quête de la transmission.

 

Reçois ma fidèle amitié en attendant de te revoir chez toi dans les Pouilles où à Paris chez notre amie commune Alessandra.

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Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

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Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

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« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

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Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

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Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

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« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

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Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

Je m’en tiens là cher Daniele toi qui tout simplement tombé dedans, tu as ça dans le sang, toujours en quête de la transmission.

 

Reçois ma fidèle amitié en attendant de te revoir chez toi dans les Pouilles où à Paris chez notre amie commune Alessandra.

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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 06:00
Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

Cher Daniele,

 

Tu te fais rare en notre vieux pays de France et, comme tu le sais, j’aime cultiver avec soin mes amis et je ne fais pas mien l’adage « loin des yeux loin du cœur ».

 

Pour te rappeler à mon bon souvenir d’Italien de cœur je me suis risqué à titrer dans ta langue maternelle. Évoquer les Pouilles, ton pays, ton terreau, tes racines, est, je le sais un moyen infaillible de raviver ton inépuisable enthousiasme.

 

Aimer les gens de peu, ceux qui tiennent encore entre leurs mains notre héritage commun du vivre ensemble.

 

Deux femmes : une vieille paysanne du Salento, le talon de la botte italienne et Donata une aïeule de quatre-vingt ans et quelques.

 

Deux textes glanés dans un superbe livre : TRANSMISSIONS de Tiziana & Gianni Baldizzone publié aux éditions du Chêne.

 

« La rencontre avec l’autre est au cœur de notre démarche photographique, prendre le temps de la rencontre… » 

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« D’un regard sévère, une vieille paysanne du Salento inspecte l’assiette de sa belle-fille, qui s’apprête à goûter la massa qu’elle vient de sortir du feu. Cette soupe traditionnelle de pâtes aux pois chiches et au chou noir saupoudrée de cannelle constitue aussi un rite médiéval qui remonte à la corporation des menuisiers, dont les statuts prévoyaient des œuvres caritatives comme la distribution de repas le jour de la saint-Joseph. Préparée à domicile par les dévotes dans le silence et la prière, et servie aux pauvres, la massa a gardé son secret : la recette est transmise de femme en femme et perpétue une coutume qui célèbre les valeurs de solidarité. »

Lettera a Daniele de Michele della Puglia : la famosa massa salentina o massa di San Giuseppe e i vermicelli di Donata

« Donata a quatre-vingt ans et quelques. Elle habite dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Elle dit que les pâtes sont un rite sacré. Toute la famille y participe les voisines aussi, car elle n’a plus la force de pétrir la grosse boule de farine de blé dur, pouvant atteindre vingt kilos, avec laquelle on prépare les vermicelli, ces fines pâtes dont était friand le poète latin Horace. On fait sécher les pâtes partout, même sur les lits. Donata dit que personne ne lui a vraiment appris. Tout simplement, elle est née dedans. Elle a ça dans le sang. »

 

Je m’en tiens là cher Daniele toi qui tout simplement tombé dedans, tu as ça dans le sang, toujours en quête de la transmission.

 

Reçois ma fidèle amitié en attendant de te revoir chez toi dans les Pouilles où à Paris chez notre amie commune Alessandra.

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