Qui c’est qui a titré le jour de l’ouverture : « Le restaurant les CLIMATS la plus belle ambassade des vins de Bourgogne dans notre capitale. » ?link
Ma pomme, en dépit des ricanements d’un petit second couteau de la blogosphère du vin !
« Comparaison n’est pas raison mais pour moi « Les Climats » de Bourgogne, chers à Aubert de Villaine, sont la préfiguration de ces mondes complexes qui nous semblent impénétrables et où, comme l’aurait dit monsieur de La Palisse, il suffit d’ouvrir la première porte pour y entrer. C’est elle qu’ont choisi courageusement Carole Colin et Denis Jamet pour vous faire découvrir la merveilleuse complexité d’une Bourgogne chère à leur cœur. C’est un pari un peu fou que de vouloir faire passer le seuil d’un restaurant à des clients en ne privilégiant qu’une seule origine des vins servis en accompagnement des plats. En effet, le vin au restaurant est souvent le parent pauvre – même si son prix ne l’est pas – simple marqueur d’une position sociale cher aux buveurs d’étiquettes. »
Bravo à Carole et Denis, et bien évidemment chapeau bas au chef Julien BOSCUS, à toute son équipe, et à toute la salle des climats. En plus, ils sont sympas, Franck-Emmanuel le souriant et compétent sommelier, en tête… Il connaît mes goûts mieux que quiconque.
Moi qui fait un peu partie des meubles, j’adore ça, je suis heureux pour eux tous !
Combien de fois ai-je seriné aux Bourguignons qu’ils tenaient avec Les Climats la plus belle ambassade de leurs vins à Paris ?link
J’ai croisé aux Climats François Rebsamen et Michel Houellebecq, ça n’a rien à voir avec le film mais j’attends François Patriat le boss de la Région.
«Être étoilé pour un chef, c’est accéder à un statut royal» par JACKY DURAND de Libé
INTERVIEW : à l'occasion de la parution du palmarès 2015 du guide Michelin, le géographe Gilles Fumey analyse les raisons d'un succès ancré dans le territoire et dans le terroir.
Internet n’a pas tué le Michelin. Pourquoi ?
La messe n’est pas encore dite, rien n’assure que le guide résistera avec la génération Y. Alors qu’ils sont très à l’aise avec les GPS, quel intérêt les geeks auraient-ils à avoir un guide alphanumérique en papier ? Michelin a dû anticiper ce déclin en lançant chaque édition avec la complicité des blogueurs qui tombent dans le panneau du buzz. En faisant de l’entrée de certains chefs dans le guide un honneur équivalent aux mots acceptés à l’Académie. En diffusant un peu d’adrénaline avant chaque sortie, la firme clermontoise se révèle très roublarde avec le Web.
La totalité de l'interwiew ICI link
Carole embrasse Lolo de ma part : link
Pour finir 2 autres chroniques du Taulier sur les Climats :
1 - Je me sens des fourmis dans les idées : j’en ai rêvé et dimanche « Les Climats » l’on fait, paroles et musiques du Taulier link
2 - Voici venu le temps de la grouse d’Écosse à la carte restaurant Les Climats, et si nous parlions chasse ! link