« Dominique Techer le vigneron-paysan de Pomerol cette année, les viticulteurs vont crever, mais les vendeurs de peur vont se faire des couilles en or… » link lorsque j’ai commis cette chronique le 20 février 2014, suite à la lecture de ce qui allait devenir le brûlot de l’été : VinoBusiness d’Isabelle Saporta, elle a fait un score de lectorat très modeste et j’étais vénère du peu d’intérêt de mon lectorat pour un homme droit, sincère qui, contrairement à beaucoup, ose aborder des sujets qui fâchent sur le plateau de Pomerol.
Hier au soir, au Lapin Blanc, nous avons visionné sur France3 le reportage d’Isabelle Saporta, puis le débat, qui prit au départ des allures du Droit de Réponse du regretté Michel Polac, puis nous avons bu et mangé en nous disant mais pourquoi donc le Norbert avait-il autant harcelé la réalisatrice ?
Mais l’objet de cette chronique n’est pas là. En effet, je suis rentré dans mon XIVe à vélo, je me suis couché et je me suis levé tard comme Marcel Proust. Après avoir petit-déjeuner j’ai ouvert mon écran comme chaque jour. En bon Taulier je suis allé jeter un œil embrumé sur les résultats de la veille.
Là j’ai cru tomber par terre le thermomètre du lectorat montait au ciel : 5503 visiteurs uniques !
Score jamais atteint.
Alors je me dis chez Overblog ils se sont pris dans le tapis et je vais voir le détail de ce chiffre.
Que vois-je alors ?
Qu’au millier de lecteurs habituels la chronique sur Dominique Tescher avait vue par 4515 lecteurs.
Incroyable mais vrai, sitôt le docu vu les internautes se sont précipités sur leur clavier et « Dominique Techer le vigneron-paysan de Pomerol cette année, les viticulteurs vont crever, mais les vendeurs de peur vont se faire des couilles en or… » s’est affiché.
Le score s’est réalisé entre 22 heures et minuit.
Viralité du Net, rien ne se perd, à tout moment une chronique qui avait fait un bide peut revivre.
Complémentarité entre deux médias qui devrait faire réfléchir les grands esprits des organisations professionnelles qui pompent des CVO (pas vrai Dominique !)
Je suis heureux pour Claire, Olivier et Dominique car je suis persuadé que leur visibilité en sera améliorée car leur vin il leur faut bien le vendre.
Belle journée à eux et à vous…