Si vous m’avez suivi dans ma balade en territoire mêlé du Nord de la ville capitale et engrangé ainsi des saveurs et des flaveurs nouvelles vous ne pouvez que poursuivre votre chemin en ma compagnie pour emplir cette fois-ci votre cabas de petites bouteilles de notre melting-pot terroiriste. Découvreur je suis, découvreur je reste, adepte aussi du contre-pied je vais commencer par la fin en vous proposant d’emblée ma surprise.
Mon énigme n’est trop difficile à élucider mais comme dans celles de notre enfance – vous savez les trucs du genre trouvez la petite bête qui se cache dans le dessin – vous pourrez trouver la réponse en bas de page.
Pour les nectars de nos terroirs, tous ici d’origine autrefois contrôlée et aujourd’hui protégée, j’ai choisi 3 rouges pour un blanc tout en sachant que les rouges sont plutôt noirs et que les blancs sont plutôt jaunes. En route, allons-y ensemble sur ces chemins qui mènent jusqu’aux vignes de nos terroiristes. Mes achats suivent le fil de mes pensées folâtres et ne comptez pas sur moi pour les justifier. Aux plus perspicaces d’entre vous de trouver dans l’entrelac de mes instincts ce qu’ils cachent. Bref, en voici la liste dans l’ordre du titre :
1- le premier des Coteaux est du Giennois : Les Têtes de chat 2004 AB 12€ Mathieu Coste Villemoison 58200 St Père 06 45 26 10 61
2- le second des Coteaux est du Loir Pineau d’Aunis 10,80€ Domaine de la Charrière 2009 Vins Gigou 72340 La Chartre-sur-Loir
3- le Côte est une Côte Roannaise 7,60€ Domaine des Pothiers 2008 Denise&Georges Paire 42155 Villemontais
4- le dernier est un Viré-Clessé Cuvée la Goutte d’Or 2007 AB 12€ Domaine de la Verpaille Baptiste&Estelle Philippe 71260 Viré
Je rappelle que j’ai acquis ces breuvages d’extraction fort modeste mais de haute authenticité à la Cave de Don Doudine Marchand de vins sise au 16 rue Myrha. Mon souhait le plus cher est que dans un avenir proche, avec l’appui des résidents, nous puissions sortir un « Château Rouge » embouteillé à la propriété. Sur ce sujet j’ai ma petite idée sur l’origine du vin, son élevage, son lieu précis d’embouteillage, mais ne comptez pas sur moi pour dévoiler mes batteries. Un détail tout de même le graphisme de l’étiquette : je lance auprès du Collectif des Xérographes http://xerographes.free.fr un appel à création en leur indiquant qu’il existe déjà un précédent avec la Cuvée Château Gonflable link
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3 février 1948 | |
Dates clés | 1990, rachat par le groupe Castel |
Personnages clés | Michel Palu (DG), André Siaka (DGA) |
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Brasserie | |
Agence de Koumassi (Douala) | |
Brasserie, embouteillage, distribution, commercialisation | |
Bière, Soda, Eau minérale, Boissons gazeuses, Sirop | |
SEMC, SOCAVER, CAVINEX, CDC | |
Effectif | env. 2000 |
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237,4 M€[2] | |
98,8 M€ (1998) | |
6,39 M€ (1998) |
« La SABC fut fondée le 3 février 1948 par la société française BGI et commença ses activité dès 1950 avec la fabrication et la vente de bière et de sodas au Cameroun. En 1963, la société obtient une licence pour fabriquer la marque Coca-Cola puis, en 1980, celle de la marque Schweppes.
En 1982, le premier concurrent de la SABC est créé, les Nouvelles Brasseries Africaines (NOBRA) et d'autres sociétés viendront s'ajouter sur le marché des boissons. En 1990, la BGI est rachetée par le groupe français Castel. L'année suivante, en 1991, la SABC rachète son concurrent International Brasseries au groupe Fotso et le fusionne en 1993. En 2008, elle répète la même action en achetant son concurrent SIAC Isenbeck. » in Wikipédia