Dans ses ouvrages baptisés Monseigneur le Vin la maison Nicolas en 1927 consacrait aux 2 B du vin français : Bordeaux et Bourgogne, deux opus :
- Le Vin de Bordeaux
- Le Vin de Bourgogne
Dans le premier, il n’est question que de commerce et de châteaux, pas la moindre trace de ceux qui cultivent la vigne et de ceux qui font le vin.
Dans le second, 4 pages et demi sont consacrées au vigneron « robuste et jovial, le regard clair et droit, la face épanouie, le teint vif… »
« Le vigneron bourguignon est l’enseigne de sa vigne…
Elle exerce sur lui son influence bénigne et favorable. Elle lui donne cette rondeur, cette cordialité, cette gaieté expansive des gens que le bon vin gouverne. »
Qu’écrirait-on aujourd’hui ?
Si des plumes vives, pertinentes et impertinentes veulent s’y coller, je suis preneur…