Journal d’1 confiné puissance 3 (6) « Mon client n’est pas coupable/pourquoi ?/il n’a pas la tête d’un assassin » Michel Serrault l’avocat, Jean Poiret le juge, Paul Préboist le criminel qui a la gueule de l’emploi

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26 mars 2021 5 26 /03 /mars /2021 08:00

Journal d’1 confiné puissance 3 (6) « Mon client n’est pas coupable/pourquoi ?/il n’a pas la tête d’un assassin » Michel Serrault l’avocat, Jean Poiret le juge, Paul Préboist le criminel qui a la gueule de l’emploi

Je cherchais une vidéo sur la Toile et je suis tombé sur celle-ci.

janvier | 2015 | ilpiccionelibero- Le Pigeon Libre

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pierre

26/03/2021 17:33

« L’opinion publique est parmi vous ? Chassez-là cette intruse ! C’est elle qui au pied de la croix tendait des clous au bourreau et criait «crucifie-le» ; c’est elle qui, d’un geste de la main renversée, immolait le gladiateur agonisant dans l’arène ; c’est elle qui applaudissait aux autodafés d’Espagne comme au supplice de Calas ; c’est elle enfin qui a déshonoré la Révolution française par les massacres de Septembre lorsque la farandole ignoble accompagnait la reine au pied de l’échafaud, et un siècle plus tard crevait du bout de son ombrelle les yeux des communards blessés Moro Gaffiéri

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JACQUES BERTHOMEAU

26/03/2021 21:32

Vincent de Moro-Giafferri

pax

26/03/2021 09:20

Les films sur les procès ne manquent pas car, s’ils sont bien faits, se sera la timbale pour le producteur tant les spectateurs sont amateurs du genre. Les film tournent bien sur, autour du verdict mais d’autre thèmes peuvent constituer le sujet essentiel comme la relation entre l’avocat et son client, l’avocat et le président ou l’avocat et le procureur. Merci Taulier pour ces dessins de Woutch avec des légendes aussi drôles que l’image. Les techniques et/ou arguments des avocats certains se retournent parfois contre eux. Ainsi au procès Landru M°Vincent de Moro Giafferi, un des plus grand avocat de la place de Paris, dans une scène désormais célèbre, en argue qu'une des victimes prétendument morte a été retrouvée. Elle est même prête à apparaître. Toute la salle, y compris les jurés, se sont alors tournés vers la porte....Par cette démonstration l’avocat de la défense entendait prouver que nul ne pouvait être certain de la culpabilité de Landru. Mais immédiatement, l'avocat général rétorque que seul Landru n'a pas détourné le regard.

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