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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 11:04

Nul n’est tenu de lire ce qui est écrit ci-dessous ça ne tient pas vraiment debout, car c’est une histoire de garde-boue, mais si vous prenez le bon bout, même en n’y comprenant goutte, y’aura pas photo.


Plutôt que de fuir le pays je préfère écrire des conneries. Comprenne qui pourra !


Si, lisez donc cela pour remettre à sa juste place qui vous savez ou ne savez pas, lui se reconnaîtra

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« Le Président Coty invite De Gaulle à reprendre la barre du navire « France ». Bientôt installé à l'Élysée, le couple De Gaulle se met en quête d'un nouveau « chef » aux cuisines. Sachant d'expérience que l'on mange bien sur les bâtiments de la Royale, le nouveau Président charge son aide de camp, l'amiral Le Flohic, de lui dénicher la perle rare. Ce fut Marcel Le Servot. La République est en déshérence. La cave de l'Élysée aussi, que le nouveau « chef » se met en devoir de regarnir. Oh, pas avec des « Petrus » et autres « Yquem ». Madame de Gaulle, la parcimonieuse « Tante Yvonne », ne l'aurait pas admis. Des Bordeaux à des prix abordables, il en est, n'est-ce pas ? Entre autres, un « Château Poujeaux », un rouge de Moulis de bonne extraction. »


Ni queue ni tête


Samedi matin il faisait beau je suis donc allé à Ivry chez Paco à vélo.


Au retour de la rue Marat j’ai escaladé avec entrain la rue Maurice Thorez. Séquences de pluie l’après-midi mais entre deux éclaircies petite tournée sur le plat de Paris, un homme assis, « des desserts pas très catholiques » (1) et « mozart est là » (2). Fin du jour, rude assaut de la rue des Martyrs, ça tire mais je m’y hisse. Trois clichés puis un bon dîner. Beau Cul de Poule et très belle compagnie (ça rime en i). Retour dans la nuit à fond les manettes dans un Paris endormi. Jouissif.


Dimanche matin soleil à nouveau mais prise d’auto pour filer du côté de la Croix des Chavaux et de la place Jacques Duclos pour faire le trottoir sans boire.


Fait toujours beau, déjeuner sur l’herbe en pleine Bourgogne (3) Reprise du vélo, Bastille, Nation, Belleville, comprends en grimpant très très difficilement pourquoi la rue se nomme Ménilmontant. Chaud devant les pavés sont surchauffés j’ai très envie d’aller me baigner. Fais des clichés. Mais où est passé Jaurès ? Bof y’a que Nossiter.


Au soir, autre butte, Montmartre, grimpe sans souci, la fleur au fusil la rue Lamarck. Silence radio et Coq Rico (ça rime en o). Mets en boîte Edouard Baer. Fin du jour, fin de parcours et retour toujours à fond les manettes dans un Paris endormi. Jouissif.


(1)    « des desserts pas très catholiques » chronique en vue

(2)    « mozart est là » explication viendra

(3)    Bourgogne : suivez le bœuf dans quelques jours

(4)    Sous les rimes se cachent la plage

(5)  ni queue ni tête est la forme post-moderne  de ni Dieu ni maître

 

Un cul de poule, un homme assis, 13 tronches de vin


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commentaires

M
<br /> Vous n'avez donc rien à faire d'autre dans vos occupations à faire les élucubrations d'un Paris de petit bourgeois bien pensant mais sans intérêt autre que leur fion.. Et vous osez citer le grand<br /> Jaurès qui lui s'occupait de la paix du monde en son temps !<br />
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