Que voulez-vous il est des jours où je me dis « Berthomeau, prends ton sac et laisse tomber... vis ta vie loin de toute cette insignifiance...» Rassurez-vous ma lassitude n’a rien à voir avec vous chers et fidèles lecteurs mais à des que j’éviterais de nommer. Gésir n’est pas dans ma nature alors lorsque le cours de ma vie professionnelle me revient à la gueule sans mobile apparent, par simple fait du prince, pour me recadrer, je donne le change, je fais comme si, je rentre dans ma coquille et je pense que tout cela est bien vain.
Abandonner ?
Non, sourire, relativiser, prendre du champ, se redresser et repartir comme si de rien n’était.
Dans cette forme de retraite involontaire vous m’êtes d’un grand secours car pour conjurer mes démons, face à mon écran, je m’adresse à vous, je commets comme hier une chronique sous le masque de Clint Eastwood qui me protège, brouille les pistes, me donne de l’air.
Merci.
Tout ça pour dire à celles et ceux qui ont répondus aux 20 questions de mon Grand Concours de l’été que je n’avais pas vraiment le cœur ces temps derniers à monter sur un tonneau pour tirer au sort les 3 heureux qui graviront les plus hautes marches du podium. J’en suis un peu désolé mais qu’ils se rassurent, qu’ils prennent patience, je vais dès que possible sortir de mon grand sac à malices de quoi satisfaire leur légitime impatience.
Si certains d’entre vous ont des propositions pour l’organisation du tirage au sort je suis bien sûr preneur...
Bonne journée à vous tous et encore merci d’être là...