Qu’apprends-je par le Pousson des Corbières réfugié à Barcelone qui ne fait que manger de la tête de veau pour ce faire celle des parigots ?
Je le cite dans son intégralité nue « j'ai appris, pour avoir reçu une invitation que je ne pourrai honorer, que La Revue du Vin de France allait, le 9 janvier, décerner ses récompenses pour 2014. Et mon petit doigt (collant de tête de veau) m'a dit qu'en plus du vigneron, du négociant, du caviste de l'année serait honoré pour la première fois le blogueur (ou la blogueuse) de l'année. Camarades de la RVF, vous qui êtes à l'affut du move, je suis persuadé que vous allez montrer l'exemple en décentralisant. En ouvrant les fenêtres, en créant des courants d'air, en osant franchir le Périphérique, et pourquoi pas les frontières (la francophonie est vaste), en filant au Québec, en Suisse (vous lisez Jacques Perrin?), ou pourquoi pas en Belgique? Ça aura de la gueule, ça, au Bristol: « la blogueuse de l'Année nous vient d'Outre-Quiévrain, et elle s'appelle… » Oui, ce sera moins parigot. »
Draguer Pousson et pourquoi pas N de R pendant qu’ils y sont !
Blogueur ou blogueuse de l’année, ben y z’ont mis le temps pour monter dans le char-à-bancs de la Toile tentaculaire les gars de la RVF. Alors à quand le Twitter de l’année ? Moi je verrais bien l’Antonin le Vindicateur qui va chercher des poux sur les têtes des amateurs éclairés. Bien sûr l’Antoine Gerbelle est hors concours sinon il serait promu illico avec les oreilles et la queue.
Pour les lauriers du blogueur ou de la blogueuse de l’année j’ai ma petite idée mais je me garderai bien de vous la donner vu que personne ne me l’a demandé.
Moi ce que j’en dis c’est pour chroniquer un peu sur cet important sujet vu que depuis que j’ai froissé le Taulier de la RVF, son président un certain vendéen nommé Lubot d’Antigny – et pourtant il s’était fendu d’un communiqué officiel de plates excuses car il m’a été dit que ses petites fredaines avaient fort déplu chez Marie-Claire – je suis blacklisté à tous les pinces-fesses de la RVF.
C’est beau comme la hauteur d’un petit marquis.
Je préfère les Grands Seigneurs et bien sûr plus encore « Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie. »
La RTT prolongée de mon hébergeur Overblog m’a donné le goût du farniente. J’en ai profité pour faire mon « dîner de filles » dimanche soir et, ce soir, à l’heure où je mets cette chronique un peu fluette en boîte, je reçois 12 Tronches de Vin à dîner. Ça va décoiffer !