Lorsqu’une chronique bien sentie est publiée par un éminent confrère François Simon, chroniqueur gastronomique reconnu et respecté, pourquoi chercher midi à quatorze heures, tenter de prendre sa roue pour raconter plus ou moins bien la même chose alors qu’il vous suffit de passer les plats.
C’est ce que votre Taulier fait : ça commence ainsi « Oh diable, que c'est assourdissant ! On entend encore l'écho retentir dans les vallées de nos terroirs enchantés. La pénible histoire des plats cuisinés faisant passer du cheval pour du bœuf a dû faire relever quelques sourcils ici et là, mais disons que les chefs sur cette affaire ont un silence admirable, une sorte de merveilleuse neutralité, une indifférence de très haute élégance, digne du patrimoine immatériel de l'humanité… »
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