L’ami Olivier de Moor qui a certes parfois la tête dans les étoiles – c’est un compliment – ne reste pas les deux pieds dans le même sabot – ça c’est pour les écolos de salon – il les a dans ses vignes et pas que, il cherche, avec d’autres comment « sauver la vigne » face aux dangers qui la menace.
Il m’alerte :
Bonsoir Jacques,
Voilà donc mis bout à bout: Si on remets l'agronomie et un peu de réflexion face aux nouveaux enjeux, et ben mon petit doigt me dit que y'a du turf dans nos belles appellations. Les moines défricheurs ce qu'on a oublié, c'est que la vigne ils ne la piochaient pas mais la laissaient pousser dans les arbres en lisière de forêt ... Donc tout est à revoir et il va falloir changer le pitch !
Ça me motive, c’est tout de même mieux que l’appel de Jean-Marie Fabre le patron des VIF pour un plan Marshall de l’irrigation. ICI
Faire monter la vigne dans les arbres ça me fait rêver d’un vin nu ayant flirté avec les étoiles
"La biodiversité peut sauver la vigne" ICI
Mauvaise nouvelle : le vignoble français est en danger.
Bonne nouvelle : il a la capacité intrinsèque de se sauver. Pour les premiers Assises de l’agroécologie en beaujolais, quatre agronomes « spécialistes du vivant » ont exhorté les vignerons à remettre en question leurs pratiques pour miser sur la vie du sol.
Par Bérengère Lafeuille Le 26 juillet 2022