« Étonnant ch'nin sur le fromage. Toutes les qualités d'un mauvais cidre. Le mec s'appelle Pire. Oui. »
Ce qui est encore plus étonnant c’est que sur Twitter un pauvre mec bien connu puisse railler un vigneron, ou quiconque, sur son nom.
Quand s’attaquera-t-il par exemple au chef Alexandre Couillon du restaurant La Marine à Noirmoutier ?
Trop risqué, l’homme frappe bas, comme tout bon mercenaire, au-dessous de la ceinture, de préférence les gens d’en-bas.
Dans le cas précis c’est à Adrien et Guillaume Pire du Château de fosse-sèche qu’il s’attaque
Guillaume est vraiment touché: il vient de perdre son père, agronome passionné en Afrique, et je crois qu’il a été encore plus meurtri par l’attaque sur le nom de son père, que sur son vin.
Pourquoi une telle violence, un tel mépris pour quelques gorgées de vin ?
Un seul qualificatif pour le petit récidiviste : Goujat !
Au fig. Homme grossier dont les propos ou les manières sont volontairement ou involontairement offensantes.
« Ils savaient que j'étais là et ils sont repartis comme ça? Quels goujats! (Queneau, Enf. du limon, 1938, p. 75).
« Vraiment? Eh bien, moi, je vous tiens pour un mufle et un goujat! » (Aymé, Clérambard, 1950, II, 6, p. 107).
Ce petite bonhomme n’est même pas capable de présenter des excuses à Guillaume Pire, qu’il ne connait pas dit-il, c’est au-dessus de ses capacités.
Comme me l’écrit un ami à son propos « l'indifférence est la meilleure stratégie à mon avis. Il peut faire ses phrases, cracher tout ce qu'il veut, ça ne va pas plus loin que le bout de ses mocassins ; et le vent lui remet tout dans la figure aussitôt. »
Le bon vivant est une personne qui a du savoir-vivre : attention aux contre-façons!
Mon soutien et mes amitiés à Guillaume Pire...