Parfois je me dis en mettant le point final à une chronique : « tu les saoules mon coco... trop de mots, Berthomeau... » et, comme je ne suis pas Mozart, à qui son commanditaire Joseph II aurait dit, au sortir de L’enlèvement au sérail : « Trop de notes, Mozart », je vais me livrer à un double jeu de Rien.
1ière Donne : Qui est la star ci-dessous ? Merci, afin que chacun puisse répondre, de ne pas donner votre réponse en commentaire mais par le biais de CONTACT tout au bas du blog (cliquez) ou par mon e-mail berthomeau@gmail.com
2ième Donne : Où trouve-t-on (ville et lieu précis) la 1ière édition de L’Eloge du Rien 1730 chez Antoine de Heuqueville ? Même procédure pour la réponse.
«Le pouvoir de Rien est extraordinaire : un Rien nous fait pleurer, un Rien nous fait rire, un Rien nous afflige, un Rien nous console, un Rien nous embarrasse, un Rien nous fait plaisir ; il ne faut qu’un Rien pour remonter un pauvre homme il ne faut qu’un Rien pour le renverser. Un Rien brouille un ami avec son ami, un amant avec sa maîtresse, une femme avec son mari, et l’homme souvent avec lui-même. »
« J’ajouterai à tout ce que j’ai déjà dit sur Rien, Messieurs, que le meilleur pays de la terre serait celui où l’on vivrait de Rien, où l’on mangerait pour rien de fines perdrix et de bonnes fricassées de poulets, où l’on boirait pour Rien des vins meilleurs que les vins les plus délicats de Bourgogne et de Champagne ; et que nous regarderions comme un homme divin celui qui nous donnerait une belle maison et une bonne terre pour Rien. »
3ième Donne : Vous me connaissez, je ne fais Rien pour Rien, ce double jeu n’est Rien qu’une manière de me moquer Rien qu’un peu de moi-même tout en, l’air de Rien, vous entraîner en Champagne. En effet, mes 2 Questions vous ramènent en Champagne.
Comprenne qui pourra !
4ième et Dernière Donne : Si mes amis lecteurs sis du côté de la Champagne estiment que j’ai bien mérité du Champagne, s’ils sont vignerons, grandes ou petites maisons, ils peuvent doter ce double jeu d’un beau flacon plein de bulles que je m’empresserai d’expédier au gagnant. S’il en y en a plusieurs, dans ma grande sagesse, j’aviserai.
Soyez Joueurs !