David Cobbold, mon « bulleur » d’aujourd’hui, est un d’abord pour moi un ami dont j’aime le parler clair, net, sans fioritures. C’est aussi un lecteur assidu de mes chroniques. Je sais, vous allez me dire qu’il est un peu anglais sur les bords mais comme il vit à Paris, plus exactement dans la petite ceinture comme on dit, du côté d’Issy, nous l’absolvons sans recours à une quelconque contrition. Arpenteur discret des sentiers de la dégustation David fait le métier avec professionnalisme, sans concessions www.eccevino.com alors il s’imposait pour entrer dans mes Bulles ses bulles aimées. Son choix s’est porté, n’en déplaise à notre Charlier, sur des champagnes dégusté au salon Brittle, là où j’ai croisé notre ami Pauchon. http://www.berthomeau.com/article-le-champagne-explique-au-grand-pauchon-de-france-inter-le-vin-rouge-de-champagne-ne-vaudra-jamais-le-bon-bourgogne-62445621.html
Bien évidemment ce matin les bulles de David ne seront pas des Bulles du Pape, mais en attendant une dégustation par lui des Bulles du Kent agréées par sa très Gracieuse Majesté et bénie par l’archevêque de Canterbury je dois confesser que je goûte le charme des femmes assises bien plus que le vin... et c’est David Cobbold qui en est la cause... http://www.berthomeau.com/article-je-goute-le-charme-des-femmes-assises-bien-plus-que-le-vin-et-c-est-david-cobbold-qui-en-est-la-cause--40638363.html Enfin, pour clore ma glose afin de remercier mon hôte je lui offre la vision d’un objet-culte de la fière Angleterre.