Sous la lumineuse verrière des Subsistances, en observant de mon œil acéré de journaliste d’investigation : face à moi le petit Edwy peut aller se rhabiller vite fait bien fait, la joie et la bonne humeur des visiteurs du premier salon « Sous les pavés la vigne » je repensais à l’inimitable, l’incomparable, l’inoxydable, l’indéboulonnable Norbert le Forestier avec son carillon mondialisé, ses bottes de caoutchouc non crottée, son habit de pingouin d’un kitch achevé, sa nacelle sponsorisé par l’évêché dissipant les brumes de son marais…
Je riais sous cape : VinoBusiness vous avez dit Vino gros tiroir-caisse !
Le vin est fait pour être bu et non pour être thésaurisé en des caves aux portes blindées, ignoré par des amateurs d’étiquettes, gâché et méprisé en des lieux de paraître.
Fixer de la valeur au plus près de la terre nourricière c’est magnifier ce fameux terroir, insuffler de la vie, redonner du sens à la vie, reconnaître l’intelligence de ce que fait la main. Foin des polémiques stériles, loin des chroniques fumeuses d’anciennes gloires sur le reculoir, des lazzis des bien-assis, de la cohorte de ceux qui ne comprennent rien au film, des arcqueboutés sur leurs certitudes je me souvenais de ce Vin de France espace de liberté couché dans notre petit rapport stratégique : les défis des vins français…
Avoir une vision ce n’est pas être visionnaire mais simplement ouvrir les yeux sur les évolutions, même celles qui déplaisent, et tenter de mettre les tendances en perspective. Les comprendre en les analysant, les intégrer à sa réflexion, s’en nourrir pour prendre ses décisions.
La diversité est aussi une richesse dans l’univers économique, vouloir la réduire, la détruire, revient à s’amputer, à rejoindre la masse uniformisée laminée par la toute-puissance de la GD.
Ces hautes pensées défilaient dans ma tête embrumée alors que j’étais le préposé au gardiennage du stand d’un certain Dominique Derain, vigneron bourguignon de son état, parti courir la peurtantaine.
C’est alors qu’une fulgurance jaillit du dit esprit soudain éveillé : femmes je vous aime !
Une forme de Pentecôte païenne sorte de bras de d’honneur aux esprits chagrins qui ne peuvent pas souffrir les naturistes…
Ma réponse pleine de grâce et de beauté les laissera sans doute pantois : un peu de douceur dans ce monde de brutes ne saurait nuire ni à la santé, ni à l’extension du domaine du vin…
Femmes je vous aime Sophie Bauchet& Severine Dubois vigneronnes
Femmes je vous aime Cristelle Champier vigneronne Raphaël Champier Wines
Femmes je vous aime Emeline Calvez vigneronne domaine Bobinet
Femmes je vous aime la comtesse aux pieds nus dans ses vignes Catherine Leconte des Floris
Femmes je vous aime Julie Brosselin vigneronne le Petit Domaine
Femmes je vous aime Gentiane Large David Large
Femmes je vous aime Ingrid Boucher Clos des Moures
Claire Deville aimante 2 beaux vignerons Frédéric Palacios et Ludovic Engelvin
Femmes je vous aime Valérie Frison vigneronne Champagne Val Frison
Isabelle et Catherine duo de charme vu par moi
Vu par Isabelle
Dominique&Claire l'osmose
En bonus
Dalya rue 89 Lyon et Mathieu Rostaing le Café Sillon
Hichem salon des Débouchées
Pause ou pose selffie
Apéro post salon Rue89 Lyon ! à En Mets Fais ce qu'il te Plaît.