« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde », disait Albert Camus.
Donnons-leur un NOM : des LÂCHES
MAIS NE RIEN CHANGER... MARCHER DANS LA RUE... NE RIEN LEUR CÉDER... PLEURONS… RIONS… RÉSISTONS…
« Ils voulaient mettre la France à genoux, ils l’ont mise debout »
« Cet après-midi, la réponse apparaît dans son évidence : ce qui nous rassemble, c’est notre commune humanité, elle à qui les assassins ont déclaré une guerre impitoyable. Elle est riche et puissante, cette commune humanité, elle nous donne le courage nécessaire pour défendre la liberté. » Axel Kahn
« Ils ont pris la foudre pour nous » a dit Borloo, adieu à tous, les inconnus, les connus, le doux Cabu, le paillard Wolinski, le brillant Bernard Maris, les jeunes Charb et Tignous…
On ne tue ni l’irrévérence, ni l’impertinence, ni l’intelligence…
Silence pour ceux qui sont morts…