C’était un temps que les jeunes naturistes lichant des vins à poils aux noms provocateurs ne peuvent pas connaître ; un temps qu’ont oublié ceux qui pleurent sur la chute, non de l’empire romain, ni de la loi Evin, mais celle qui marque le déclin inexorable de la consommation du vin dit de consommation courante. Celui que l’on livrait en casiers rouge emplis de 6 litres étoilés consignés chez les épiciers. Le populo consommait du rouge principalement, au degré : du 10 au 13°.
Bercy règnait sur Paris.
Mais, l’empereur du rouge, qui n’était pas Pierre Castel, lui, voyait grand, très grand, il s’expatriait aux lisères de Paris : port pour les péniches, embranchement ferré pour les trains-citernes complet. C’était la plus grande usine à vin du monde, même les chinois de Mao viennent la visiter. Il y avait un monstre pour constituer les casiers mixtes : rouge-blanc-rosé.
Bref, il est au sommet. Ce n’est pas lui qui trône sur la montagne de casiers mais celui par qui l’usine s’est édifiée.
Simple question du Taulier : où se situait cette usine à vin ?
Les anciens de la maison ne peuvent participer ?
Elle n’existe plus, qui l’a remplacé ?
2 bonnes réponses et vous aurez gagné 1 magnum de vin nu…