Comme je ne suis qu’un pauvre petit blogueur insolent dépourvu de surface médiatique, au contraire du rédacteur-en-chef d’En Magnum, je n’ai pas eu le privilège de recevoir le N°1 de ce nouveau-né de la presse du vin en service de presse.
Face à mes intenses regrets, ma grande affliction, un vigneron compatissant, m’a expédié par la Poste l’exemplaire qu’il avait acheté, pour un usage dont je tairai la destination, merci à lui.
Je l’ai reçu le jour où je partais me balader en Suisse j’ai donc déposé EN MAGNUM dans mon sac de voyage. Seule critique que j’oserai formuler : pas pratique le format qui me semble plutôt destiné aux salles d’attente des professions libérales qu’aux lecteurs nomades.
Après examen et lecture, sans problème vu le nombre de pages à lire, j’ai estimé qu’il y avait si peu ou pas de grains nouveaux à moudre et que ça ne valait pas le coup de chroniquer.
Si par hasard, l’un ou l’une de vous, ayant acquis honnêtement le N°1 d’EN MAGNUM, et qui ne s’est pas contenté de visionner les images, veut se fendre d’un point de vue je suis preneur.
Merci par avance.
Moi je me contente de vous communiquer la FICHE ANTHROPOMÉTRIQUE d’EN MAGUM
POIDS : 445 g
HAUTEUR : 34 cm
LARGEUR : 23,5 cm
130 pages officielles
38 pages de publicité dont la 4e de couverture (dont 12 Bordeaux, 8 champagnes, 6 Provence…
26,5 pages de textes signés plus l’édito de Thierry Dessauve.
Le reste photos, 7 pages de notes de B&D sur les Primeurs de Bordeaux 2014 (rien au-dessous de 15,5/20, 4 pages champagnes d’été, 4 pages 60 nuances de plaisir pas cher) et 1 page pour 1BD…
Prix : 5,90€