Nous vivons dans un beau pays de naufrages judiciaires à répétition, dernier en date celui des 3 juges d’Instruction du procès, dit du Carlton, où le tendre et câlin DSK faisait tandem avec l’élégant et malin Dodo la Saumure.
Comprenne qui pourra ?
Et moi pendant ce temps-là, loin du stupre et de la fornication, je subis les assauts du Docteur Rigaud le président d’une association, au nom long comme le bras : l’Association Nationale de Prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA) creuset de tous mes vices sauf celui-là. La chair est faible… « Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l'esprit est bien disposé, mais la chair est faible » Matthieu 26:41
En effet, dans un courrier du 1er juin le dit président, qui me donne même du cher ami, me dit que je suis adhérent de l’ANPAA depuis des années et me remercie de mon engagement, de mon soutien et de ma fidélité.
Sauf que, depuis 2009, pour des raisons obscures, mon matricule 17004 m’a été retiré. Sans doute que je déplaisais dans ce club restreint et fermé.
Alors je m’interroge, comme le défunt Mgr Marty :
- Dois-je de nouveau cotiser et faire de l’entrisme comme un vulgaire trotskyste ?
- Dois-je ainsi gonfler la maigre pelote d’adhérents de cette association qui passe son temps à chercher des poux sur la tête du Président Farge et de l’auguste Jacques Dupont ?
- N’y aurait-il pas chez nos « amis » de l’ANPAA un certain sauve-qui peut, comme une impression de perdre pied ?
Débat cornélien que je remets entre vos mains : que dois-je faire ?
Merci de m’aider à dénouer ce nœud gordien.