La tradition est bien établie : les vignerons d’UVA Corse, en fin d’année, montent à Paris pour nous faire apprécier leurs vins. L’organisation de François BRICLOT est toujours impeccable et, d’année en année les vins présentés démontrent, à ceux qui n’en seraient pas encore persuadé, que les vignerons jouent dans la division la plus élevée. J’en reparlerai dans les semaines qui viennent.
L’an dernier j’étais tombé sous le charme de la voie de Battista Acquaviva ICI link
Ce lundi, mon programme de fin de journée était serré mais, par bonheur le ciel me permettait de circuler à vélo. François Briclot nous avait convoqués chez « Mémère Paulette » près de la Bourse. C’était le début de mon périple et je me devais de ne pas prendre du retard. Hormis un grincheux barbichu, genre dégustateur qui en impose, qui m’a fait chier, tout s’est bien passé. Elles sont arrivées toutes ensembles : Battista d’abord, alors que je descendais l’escalier pour rejoindre mon fier destrier, à mon plus grand plaisir elle m’a claqué deux bises, puis il y eut la grande Fleur super sapée comme une Amazone et enfin notre Sonia : ça fait un sacré paquet de bises. Mais je ne suis pas ici pour faire des comptes mais pour inaugurer un nouvel épisode de l’accord des vins corses avec la voix soprano colorato de Battista Acquaviva.
Comme je devais partir vers d’autres aventures je n’ai pu cette fois-ci entendre Battista mais j’ai fait l’acquisition de son premier single qu’elle m’a gentiment dédicacé.
Comme l’écrit Frédéric Deval directeur de l’abbaye de Royaumont « Plus rien n'existe jusqu'à ce que son chant finisse » écoutez-là et si vous désirez acquérir son single écrivez-lui battistaacquaviva@hotmail.fr