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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 14:00

Comme je ne peux vous cacher je suis encore en Corse et en déjà en 2010  j’écrivais :


« Dimanche, « Puces d’Ajaccio » sur le front de mer, un peu de chine, des livres pour titiller mes neurones chroniqueurs, mon œil attrape un titre alléchant « Cuisine Inspirée », l’audace française. Belle jaquette, inspirée : citron soleil, je suis piégé. Si je l’ouvre je cours deux risques, être déçu et je n’achète pas ; être emballé et j’achète quel que soit le prix. Paradoxe du chineur qui, dans la même minute, peut se sentir soulagé de ne point trouver chaussure à son pied pour sitôt claquer tout son liquide. Là je feuillette. Séduit. Superbe iconographie, belle mise en pages, textes de qualité même si la typographie est un peu touffue. Question habituelle : un de plus, que vas-tu faire de ce bel ouvrage ? Le glisser entre beaucoup d’autres, l’oublier... Oui, mais un jour, je ne sais pourquoi, à la surface il remontera. Dilemme classique du chineur soudain tranché par la découverte de Pierre-Henry Gagey soumis à la question. Je lis toutes ses réponses. J’achète : 15 euros pour un prix unique affiché de 49 euros »

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Pour la 17-  Un mets érotique ? Sa réponse : Le baba au rhum. Pourquoi ?

 

Mais votre Taulier ne lâche jamais un bon thème et, en une autre chronique, où il mettait de nouveau en avant PH Gagey et son attirance pour le Baba au rhum, il donnait, entre autres, la réponse de Pierre Richard à la question : Un plat qui a de l’humour. Normal pour le Grand Blond à la chaussure noire, vigneron de surcroît. Quelle est donc ce plat ?

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 14:00

« Pour les bobos et les bobottes pousseurs de gnards calés dans des poussettes Mac Laren je signale que les Maisons Familiales Rurales ne sont pas des haltes garderies situées à la campagne mais des établissements d’enseignements dépendants du Ministère de l’Agriculture. Pour faire court, ce sont dans le paysage éducatif français des établissements qui ont gardé leur spécificité originelle : dans les 1935/1937 elles sont nées de la volonté des familles, qui se sont groupées pour agir, ensemble, au sein établissements de petites tailles, proches, permettant à leurs enfants de rester au «pays» tout en continuant à se former, à réfléchir à leurs projets professionnels, à participer à la modernisation de leur exploitation agricole, à s’engager dans le métier d’agriculteur. Très inspirées du catholicisme social du début du XXe siècle et pris en mains par les organisations militantes type JAC puis MRJC, elles ne situent pas totalement dans le clivage enseignement privé/enseignement public »


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Bref, nous voilà en Bourgogne, plus précisément la Maison Familiale de Beaune-Grandchamp 5 rue de la Corvée de Mailly 21200 Ruffey-lès-Beaune Tél. : 03.80.26.61.44 / Fax : 03.80.26.52.21 / E-mail : mfr.grandchamp@mfr.asso.fr


Cette maison produit un Melon : à quel Vin de Pays se rattache-t-il ?

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 14:00

De retour d’une réunion interprofessionnelle laitière à Lyon je confiais à mes chers lecteurs « J’avoue humblement que, jusqu’à il y a quelques jours, j’ignorais qu’il existât une AOP fromagère : Fourme de Montbrison. Celle d’Ambert, oui je connaissais, mais sa cousine germaine nichée dans le Forez n’avait jamais eu l’honneur de mes plateaux de fromage. Je n’ai pas coutume de mélanger mes activités professionnelles avec ma seconde vie de chroniqueur mais, sans vraiment faire une réelle exception, je vais ce soir faire la promotion de la Fourme de Montbrison. Pourquoi ce soudain intérêt me direz-vous ? La réponse tient en une forme de communiqué « l’Entreprise Forez-Fourme (10.5 Ml et 70 producteurs va être mis en liquidation judiciaire et depuis le 31 décembre leur lait n’est plus collecté. » Je n’entrerai pas dans le détail du dossier car ce n’est pas ici le lieu d’en parler mais sachez que cette entreprise produisait 150 tonnes de Fourme de Montbrison sur les  500 tonnes de cette AOP. »

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C’étaitle 5 janvier 2012 et les choses suivent leur cours, comme aurait dit ma mémé Marie c’est du rapetassage, nous faisons avec les moyens du bord.

 

Donc, lorsque tout récemment je suis allé du côté de Marx Dormoy j’ai acquis une bouteille de Côtes du Forez rouge 2011 AB O. Verdier J. Logel Marcilly-le-Chatel 42130 8,20€ : Quel le nom de la cuvée ?

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 14:00

« La Corse, vue du ciel, à la Yann Artus-Bertrand, apparaît comme un massif montagneux arraché au continent et jeté à la mer. En 1986 lorsque, pour la découvrir, je l’ai survolée en hélicoptère, cette insularité rude et sauvage m’a fasciné. Comme chacun sait, en parodiant une boutade célèbre, la Corse est une île qui entend le rester. Ici, plus qu’ailleurs, la géographie physique a, profondément et durablement, marqué ce que nos professeurs qualifiaient, avec pertinence, la géographie humaine. Lorsque, chaque été, je pose mon sac, face à la mer, les flancs de la montagne, où règne le maquis tout juste échancré par quelques villages haut perchés, encerclent mon horizon, m’isolent. En une petite heure d’avion j’ai quitté la ville, ma ville capitale, son macadam et ses fureurs pour me retrouver, dans tous les sens du mot, en un lieu où se colleter à la nature, celle trop souvent idéalisée par les adeptes du tout naturel, est un défi chaque jour renouvelé.


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Alors ce samedi matin, en enfilant les boucles de la route qui grimpe jusqu’au Clos d’Alzeto, le plus haut vignoble de l’Île de Beauté (400 à 500 mètres d’altitude), alors que le soleil attisait déjà les senteurs fortes du maquis, je repensais à ce que je venais de lire sur le terroir dans le livre de Jacques Dupont Choses Bues : « J’ai plutôt tendance à trouver ringards tous ceux qui n’ont du mot terroir qu’une définition naturaliste, comme si c’était le fruit d’une sorte de génération spontanée. Le terroir béni des dieux, créé de toute pièce par Dame Nature qui en aurait fait don aux hommes, me donne envie d’aller me coucher. C’est de la philosophie de syndicat d’initiative. ». À Sari d’Orcino, dans la Cinarca, l’une des régions les plus enclavées et historiquement les moins perméables de Corse (le dernier « bandit corse » de renommée internationale André Spada fit régner la terreur sur la Cinarca jusqu’en 1935, date de son exécution à Bastia), même si le paysage de carte postale enjôle, on sent physiquement qu’ici, comme à Banyuls, le terroir ne peut exister que par la volonté têtue des hommes. C’est la nécessité, celle de vivre au pays, d’y vivre vraiment, qui a donné à la famille Albertini l’énergie et la ténacité nécessaires pour que ces arpents de maquis se transforment en un vignoble d’exception. »


Lors du Grand Concours de l’été 2010 quelle était le nom de la cuvée offerte par le Clos d’Alzeto ?

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 14:00

Le privilège du Taulier c’est de se mouvoir sur la Toile et de se géolocaliser à sa guise.


« Tout est parti d’une improbable rencontre un samedi sous les auvents du marché Saint-Germain. Je baguenaudais le nez au vent lorsque je suis tombé nez à nez avec le Pape Noir. Pour être clair ce n’était, ni le supérieur général de la Compagnie de Jésus, ni le Pape du tableau  « Figure with Meat » de Francis Bacon (1954) où la silhouette isolée du Pape, dominée par les deux pièces d’une carcasse de bœuf, traduit bien l’angoisse du temps.  Le mien, solitaire, juché, presqu’oublié, nimbé d’une fine couche de poussière, semblait admettre qu’il était là pour l’éternité. Je le prenais entre mes mains puis l’asseyais en pleine lumière pour tirer de lui un cliché.*   


Bacon.jpg   

En rester là eut été sacrilège je menai dans les jours qui suivirent mon enquête pour savoir qui se cachait sous la soutane immaculée. La vérité ne se cachait pas au fond d’un verre mais plutôt du côté du Verre Volé (1). Là vous allez me dire que je vous embrouille en vous menant dans le fin fond des Caves du Vatican comme l’aurait dit André Gide. Que nenni, mon enquête menait mes pas du côté du Palais des Papes avant de sauter le Rhône sur le Pont d’Avignon pour m’enfiler une flopée de routes départementales chères à feu Jean Yanne, faire le tour d’une tripotée de rond-point et échouer dans la cour de la coopé… »


Quelle coopé ?

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 14:00

Retour en France et retour en arrière : en mars 2010 je lisais « Dix ans. Le Beaujolais vit sa dixième année de crise d’affilée. Durant cette décennie 1500 viticulteurs ont mis la clé sous la porte » écrit le magazine Lyon Capitale dans son numéro de février sous le titre choc « Un vin à l’agonie » avant d’ajouter « sans doute pas en danger de mort, mais plus probablement en voie de paupérisation. Clochardisation, diront certaines langues vipérines ».


Et pourtant !

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« Les vignerons décidés à faire du primeur, ou ceux qui n’avaient pas de meilleure alternative – je pense surtout aux miens, ceux du Sud – se sont appliqués. Ils ont démontrés, nonobstant les tentatives ultérieurs d’autres vignobles attirés par la poule aux œufs d’or, que l’association terroir beaujolais/gamay noir à jus blanc, donnait par vocation et quand on le voulait bien, le meilleur primeur rouge du monde, souvent imité, rarement égalé, jamais dépassé et croyez-moi, c’est pas de la réclame mensongère...


On fit tant et si bien que le primeur est, en quelque sorte, devenu une appellation officieuse dans l’appellation beaujolaise. Conséquence plaisante, Chiroubles, Brouilly, tous les crus ont pu dans l’esprit du consommateur, se démarquer du simple label beaujolais puisqu’ils ne font pas le vin en primeur, prendre leur essor, s’imposer comme beaujolais haut de gamme porte-drapeaux de l’appellation. Conséquence plus préoccupante pour les beaujolais et beaujolais-villages classiques, coincés entre la notoriété universelle des primeurs et des crus. Sans image de marque précise, pour eux la partie se compliquait, elle l’est toujours hélas, et de plus en plus au fur et à mesure que le primeur gagne des parts de marché. » [...]


Papa Bréchard, l’homme de la conquête, l’artisan le plus populaire du Beaujolais primeur dresse un tableau impressionnant : « En 1960, nous faisions 40 000hl de primeur, à peine 10% de la récolte (…) En 1968, année de grands lancements, si vous vous souvenez. Du côté négoce, Duboeuf et quelques autres ont aussi foncé. A partir de 1968, le primeur a commencé de submerger le monde.

100 700 hl soit 17% des 607 000hl de la récolte 1970.


Combien d’hecto de Bojolo  Nouveau en  1986 selon papa Bréchard ?

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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 14:00

 « Ce que je peux vous restituer, parce que c’est ce que je sais le mieux faire, c’est la pâte humaine de Paul. Homme curieux, homme qui cherche, homme qui lit, homme qui se confronte. Dans les années 60 il s’imprègne de la culture italienne en roulant à moto dans la campagne italienne sur une moto, apprentissage de la culture, la cuisine locale et du vin. Après sa libération par l'armée, il passe du côté de la Sorbonne, étudie la cuisine française et la nutrition. Diplômé  de philosophie à Stanford, Paul n’est pas œnologue, il s’est construit autour de l’expérience des hommes et de leur pratique : en 1968, il est à Bordeaux et c’est dans les chais du Château Latour qu’il puise son savoir-faire. »


« Lorsque j’arrive au Macéo, Paul Draper est assis, tranquille, l’œil pétillant, il converse avec un journaliste, sa poignée de mains est ferme, directe et je me dis que cet homme va me faire passer une belle paire d’heures de qualité. Je vais écouter, l’écouter. M’instruire. Voyez-vous, paradoxalement, c’est tout à la fois reposant et excitant. J’aime beaucoup le temps de la table lorsqu’il s’ordonnance autour d’une conversation entre hommes de bonne volonté, car alors tout coule de source, sans effort, on se nourrit l’âme et le corps en harmonie. Par surcroît lorsque les vins sont d’authentiques merveilles le temps s’écoule en une forme de douce volupté. »

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Paul Draper cultive un cépage « aussi décrié en Californie que le carignan dans le Midi, il en a senti tout le potentiel si les vignobles étaient implantés dans les bons terroirs et cultivés avec des petits rendements. Paul, fort de son expérience européenne a su dénicher de «vieilles vignes » du début du XXe siècle qui répondaient à ses recherches de petits rendements pour tirer la quintessence de ce cépage dont vous aller me donner le nom !

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 14:00

Steve Mc Queen 002

 

Notre vigneron d’hier à écrit en commentaire « La poursuite de Bullitt est un monument: on attache la ceinture, et pas une goutte de sueur avec le col roulé. La classe jusqu'au bout, il évite le motard et  j'ai l'impression que SM Queen semble vérifier qu'il peut repartir.  

Et les rapports de vitesse sont beaux comme des doubles débrayages...

Et ce qui m'a toujours impressionné c'est qu'il y a autant de coccinelles vertes dans les rues de San-Francisco que d'enjambeurs bleus ici. »


Le Taulier l’avait mis en appétit avec « le feulement du V8 de la Ford Mustang Fastback 1968 4,6 litres de 315 chevaux verte (Dark Highland Green) de Bullitt, ses reprises grondantes, ces ahanements de vieille caisse sportive, le crissement de ses pneus à jantes larges, sa boîte manuelle 5 vitesses bien étagées, un cheval de feu que rien n’arrête.  Une voiture cultissime qui a fait rêver toute une génération de soixante-huitard avide de sensations fortes mais à l’époque sans un rond.


Il ne vous reste plus qu’à visionner la vidéo ci-dessous pour vous imprégner de la musique de Lalo Schifrin puis des seuls halètements du V8 et de sa course folle. Reste que pour personnifier Steve Mac Queen, tel que Claxton le décrit je ne vois qu’un seul flacon LES RACHAIS car il traduit l’élégance naturelle de ce grand acteur. »


Nous y voilà chez l’ami Francis Boulard en Champagne

.

Quel est la marque et la couleur de l’enjambeur de Francis ?

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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 14:00

Ce matin je quitte Patrick Baudouin et grâce à la musique je vole « Associer le vin et la musique est un geste sans fondement, un parcours guidé par aucune étoile polaire... » voilà une fraîche honnêteté qui laisse bien augurer du projet de ces « dégustateurs de vinyles » et « écouteurs de bulles», ces iconoclastes, ces provocateurs : un DJ gastrophile musical et « un buveur qui écrit pour se payer le vice et se bat pour un développement buvable » deux italiens Donpasta né dans le talon de la botte le Salento dans les Pouilles, adepte du farniente « les montagnes il les contemple de loin, et ça le fatigue déjà... » Candide, « napolitain dans l’âme et gitan par choix, raconte être né sur la terrasse d’un café, où se trouvent ses seules racines et où il veut mourir. » Des phrases appelées à devenir culte telle que « Et surtout, le verre doit être troué, il se vide tout seul ! » Je partage avec eux la même philosophie sur le vin « il faut le boire. Rien ne sert d’en parler, et encore moins d’écrire dessus. » et la « même envie d’extraire le vin de la mise en scène théâtrale dans laquelle il est souvent enfermé. »


Dans Wine Sound System les couples se forment :Léonard Cohen & Patrick Baudouin, Francis Boulard & Nina Simone, Amy Winehouse & …


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Dans ma chronique « Je déteste voir mourir des grandes filles de 27 ans : Amy Winehouse un diamant brut redevient poussière. » j’écrivais « Sale coïncidence, dans ma chronique de lundi sur le livre Wine Sound System, l’un des auteurs évoquait Amy Winehouse (1). C’était une reine ! Elle a brûlé sa vie par tous les bouts diront les cons. Et alors, même brève sa vie en vaut bien d’autres et Back to Black est et restera une œuvre magnifique. Il n’empêche que je déteste voir mourir des grandes filles de 27 ans alors je vous l’écris tout simplement. »


(1)             « Mais pour une fois, je vais t’épargner le plaisir mélancolique de l’association vin rouge et chanson triste existentielle que j’aime tant, et je vais laisser la reine, Amy Winehouse, accompagner mon chablis. D’ailleurs, avec un nom pareil, elle doit s’y connaître »


Les artistes sont éternels et l’alliance du Chablis Bel Air et Chardy 2006 et Amy Winehouse l’est aussi.  

 

Quel est le nom du vigneron produisant ce Chablis ?  

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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 14:00

Comme je ne suis pas allé à l’île de Behuard avec lui et que ça fait une éternité que je lui ai promis que nous irions déjeuner un de ces 4 à l’Abélia chez mon filleul Vincent Berthomeau www.restaurantlabelia.com  il ne me restait plus qu’à mettre le cap sur CHAUDEFONDS-SUR-LAYON où sur le frontispice de son domaine il est écrit :


« La Moselle, le Rhin, l’Anjou, Bordeaux et bien d’autres lieux fameux par leurs vins attestent que la viticulture peut donner sur les roches cristallines, les schistes primaires ou les alluvions siliceuses d’aussi nobles produits que sur les calcaires. Aussi le rôle du terrain, dans l’élaboration d’un grand cru, ne va-t-il guère au-delà de celui de la matière dans l’élaboration d’une œuvre d’art. » Roger Dion


Patrick-B.jpg

Votre Taulier dans une chronique dont le titre était le même que celui d’aujourd’hui j’écrivais « Patrick Baudouin mon vigneron amoureux... de son coin de Loire... où il est né... de ses cieux, de ses pierres, de ses coteaux, de ses petits chênes... de ses vignes... en avait à revendre. Trop peut-être et je me souviens d’un article de Véronique Maurus dans le journal le Monde du 21 mars 2005  sur les francs-tireurs de la Vigne où notre René Renou, qualifié de puissant président de l’INAO par la journaliste, soupirait… « Patrick, c’est…

 

C’était qui d’après René Renou ?

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