Comme je ne peux vous cacher je suis encore en Corse et en déjà en 2010 j’écrivais :
« Dimanche, « Puces d’Ajaccio » sur le front de mer, un peu de chine, des livres pour titiller mes neurones chroniqueurs, mon œil attrape un titre alléchant « Cuisine Inspirée », l’audace française. Belle jaquette, inspirée : citron soleil, je suis piégé. Si je l’ouvre je cours deux risques, être déçu et je n’achète pas ; être emballé et j’achète quel que soit le prix. Paradoxe du chineur qui, dans la même minute, peut se sentir soulagé de ne point trouver chaussure à son pied pour sitôt claquer tout son liquide. Là je feuillette. Séduit. Superbe iconographie, belle mise en pages, textes de qualité même si la typographie est un peu touffue. Question habituelle : un de plus, que vas-tu faire de ce bel ouvrage ? Le glisser entre beaucoup d’autres, l’oublier... Oui, mais un jour, je ne sais pourquoi, à la surface il remontera. Dilemme classique du chineur soudain tranché par la découverte de Pierre-Henry Gagey soumis à la question. Je lis toutes ses réponses. J’achète : 15 euros pour un prix unique affiché de 49 euros »
Pour la 17- Un mets érotique ? Sa réponse : Le baba au rhum. Pourquoi ?
Mais votre Taulier ne lâche jamais un bon thème et, en une autre chronique, où il mettait de nouveau en avant PH Gagey et son attirance pour le Baba au rhum, il donnait, entre autres, la réponse de Pierre Richard à la question : Un plat qui a de l’humour. Normal pour le Grand Blond à la chaussure noire, vigneron de surcroît. Quelle est donc ce plat ?