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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 15:09

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J’ai un adage : moins j’en fais mieux je me porte et ce n’est pas en ce mois de juillet enfin chaud que je vais y déroger. Quand je moissonne une bonne chronique sur la Toile je me dis de suite il faut que tu en fasses profiter tes lecteurs Taulier. Ce n’est pas un emprunt mais un lien avec l’espace « Vins Libres » de l’ami Patrick Böttcher.


Ça commence ainsi :


« Les vins naturels d’Italie, Vini Naturali d’Italia, comme ils les appellent dans la botte, voilà un terme un peu simplet pour parler d’un monde vinique à dimension galactique, sans pour autant atteindre les côtés « nébuleuse » à la française. En tous cas, en ce qui me concerne et plus je m’y attarde, si concepts, il y a, ces deux mondes ont assez peu en commun in vino et in vitro, même si humainement, ils aspirent littéralement aux même directions et aux mêmes espoirs… la faute avant tout à la table et à quelques autres facteurs à prédominance historique et administrative que je voudrais dégager ici.


Historiquement, même si le vin est au moins aussi ancien qu’en France et qu’il est présent dans toutes les régions d’Italie,  même si logiquement le vigneron italien est fier de ses vins et aime tout autant à vanter ceux de ses amis, il sait bien que LE vin italien, dans l’esprit de beaucoup traine une casserole monumentale, modèle cantine de la légion, tellement l’histoire de l’après-guerre des vins de la botte n’est guère reluisante aux yeux du public… Et cela qu’on le veuille ou non, a développé une forme de complexe historique qui fait que les vignerons italiens, sont avant tout des admirateurs inconditionnels des vins français, comme si en France, les intrants, la bureaucratie et les lois débiles n’existaient pas. Cette bureaucratie et ces lois qui ont favorisé tous les excès, beaucoup en Italie, font tout pour en tourner la page, prendre leurs distances, particulièrement les mouvements naturels.


Dès lors, alors que de nombreux de mes amis vignerons français sourcillent aujourd’hui de se voir refuser un agrément par des gens qui ne comprennent quand même rien à leurs vins, la vision naturelle des vins italiens a tendance a littéralement prendre ses distances avec les appellations et souvent, les plus médiatisés d’entre eux sont des IGP ou des vins de table, et heureusement pas que « supertoscans ». Faites comme vous le désirez, mais laissez-nous faire bon avec ce que nous voulons, comme nos ancêtres nous l’ont transmis et peu importe la sacrosainte « appellation » sur l’étiquette, voilà clairement le message. »


La suite ICI link 

 

Bonne fin de lecture et d’après-midi.

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 00:09

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Votre Taulier est pour la paix dans les belles boucheries de Paris link  hier kebab chic d’Hugo Desnoyer, aujourd’hui long-horn maturé d’Yves-Marie Le Bourdonnec.(la photo est d'Isabelle Spiri).


Je n’ai pas osé le titre « côte à côte saignant de la côte de long-horn d’YMLB et du côte de nuits villages de Miss G » mais qu’importe cette chronique est dans le droit fil de la grande et mémorable dégustation des 6 sans soufre par le quatuor de charme : Gabrielle, Isabelle, Marie et Sonia link 


Après l’effort le réconfort et, comme nous étions dans la tanière chic et choc de mon ogresse préférée nous avions décrété, de concert, que nous allions nous offrir la Rolls de la bidoche, la long-horn maturée d’Yves-Marie Le Bourdonnec. En fin de journée, flanquée de miss G link venue de sa banlieue chic et choc du 92. Mademoiselle G était à l’heure munie de son charme naturel qui fit que toute la boucherie, dont elle est une habituée, se mit à bruir autour d’elle. Votre Taulier hésitait sur le choix des morceaux mais elle, en trois coups de cuillers à pot, décidait on prend ça et ça, en ajoutant qu’en penses-tu ? Moi, comme moins j’en fais mieux je me porte, je m’empressais d’entériner le choix de mademoiselle G.


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Isa, très cordon bleu de chez cordon bleu nous faxait de veiller que la viande soit bien à la température ambiante et ce qui nous faisait répondre que nous la mettions illico sous la selle de nos chevaux. Livraison à bon port, conseil de cuisson et c’était parti pour un I love bidoche d’anthologie accompagné du nectar de mademoiselle Gabrielle qui nous a ravi, transporté, fait pousser des oh et des hé… Vraiment une très belle soirée !


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Mais pourquoi de la bidoche anglaise me direz-vous ?

 

Réponse du maître-boucher : « Les Anglais ont raison ! Comme presque toujours, m’amuserai-je à dire. Je ne suis pas là pour user de l’art de la provocation, mais pour vous avouer que ce sont eux qui font la meilleure viande dans le monde.


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Depuis le XVIe siècle, leur cheptel à viande – pour être plus clair, leur troupeau allaitant –, aussi étrange que cela puisse paraître, a toujours servi à produire de la viande. Pas  comme en France, où il avait une fonction surprenante. En effet, contrairement à nous, les Britanniques n’ont jamais utilisé au XXe siècle leurs bovins pour travailler les champs. Ils ont préféré envoyer leurs chevaux au labeur. Voilà ce qui a d’abord fait la différence avec nous. La suite de l’histoire on la connaît ! (si vous voulez la connaître lisez le livre de YMLB « L’effet bœuf » chez Michel Lafon ndlr)


L’Angleterre est une immense prairie qui contribue au bonheur des vaches. Là-bas, 20 à 30 jours de finition aux céréales suffisent contre 6 à 8 mois en France, contre 4 tonnes de céréales. Là-bas, elles consomment de l’herbe à foison ! Les veaux mâles subissent le même traitement que les veaux femelles. À vingt-quatre mois, ils sont vendus au marché de la viande, pas à l’engraissement en Italie, au Maghreb et en Turquie, comme le procède la France. »


Empire colonial oblige comme ils devaient transporter leurs animaux par bateaux les Anglais « ont produit des animaux dociles, petits et sans cornes, comme l’angus* et la galloway. Ils ont surtout pris le soin de sélectionner des animaux précoces parce qu’il fallait pouvoir manger rapidement leur viande. Un modèle ultra-performant. Ça a donné des vaches prêtes au bout de vingt-quatre mois en moyenne, contre quarante en France, avec une carcasse de 350 kilos contre 450 kilos chez nous. Surtout, l’herbe leur faisait faire du gras. Pourquoi du gras ? Parce qu’à la fin du XVIIe il n’y avait pas de frigo, et pour pouvoir conserver la viande, la seule solution  c’était qu’elle soit grasse.


Cela fait plus de trois cents ans que les Anglais font des bovins tendres et goûteux. Dès l’origine, ils se sont montrés visionnaires. Ils rôtissaient la  viande pendant que nous, nous faisions bouillir. Nous nous sommes inspirés de Britanniques lorsque nous avons choisi de faire griller la bidoche ! »


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Pour les partisans de la viande Made in France Yves-Marie Le Bourdonnec répond : l’Aubrac le bonheur est dans le pré. « En France, il y a des coins perdus où le paysage prend le pas sur tout. C’est le cas de l’Aubrac, au sud du Massif Central. C’est là, accroché aux contreforts de ce plateau désertique, qu’une poignée de nos meilleurs vaches ont trouvé refuge. Le paradis a des allures de montagne, des conditions optimales pour le pâturage. Pour le reste, il n’y a que des prairies ancestrales permanentes – elles ne sont pas mises en culture – qui emprisonnent parfaitement le carbone. Pour moi, c’est la flore la plus riche d’Europe, remplie d’oméga 3, tout ce qu’il y a de mieux pour l’alimentation et le confort des bovins. Pas de céréales pour la nourriture des vaches. Un modèle qui rappelle celui de l’Angleterre. »


  •  La black Angus venu tout droit des USA n’a rien à voir avec l’Angus d’Ecosse. C’est une forme de métissage pour produire un animal précoce, « élevé à la vitesse grand V dans des feedlots. Ces parcs d’engraissement intensifs situés au Texas, au Kansas, en Oklahoma, au Colorado… sont des usines à viande qui accueillent  des dizaines de milliers de têtes entassées. Elles sont bourrées de céréales toute leur vie, une nourriture extrêmement énergétique à base de soja, de tourteau de soja et de résidu végétaux. Elles ne verront jamais de leur existence à quoi ressemble un brin d’herbe »

De la viande grasse et molle que de plus en plus de grands chefs mettent à leur carte, ça fait chic mais c’est de l’arnaque….

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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 10:57

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La question est posée au sujet de la forteresse bordelaise du CIVB – contestée mais pas ébranlée par les anti-CVO du CAVB – par un brillant jeune homme, bien sous tous les rapports, excellent connaisseur de l’écosystème des 2 rives plus génériquement nommée Place, sur son site IntotheWine : « Jusqu’à plus ample informé, je croyais que le C.I.V.B. fonctionnait sous la houlette d’un président (élu) et d’un comité directeur (également élu) et que le destin de l’interprofession restait entre les mains de ceux qui maîtrisent le produit en partenariat avec ceux qui le vendent.


Il est clair que les choses ont changé depuis 1948* : le pouvoir a changé de mains. Amis viticulteurs, courtiers, négociants, vous ne le saviez pas mais vous n’êtes plus dans une démocratie et par l’intermédiaire de vos représentants élus vous ne contrôlez plus rien. Vous avez maintenant un «PATRON ». Lire l’intégralité ICI link


Mais Bordeaux, comme toujours dans notre gentil monde de bisounours du vin n’est-il pas une brillante exception qui confirme la règle ? J’ai le souvenir en effet du précédent directeur du CIVB, Roland Feredj, m’expédiant un e-mail d’invitation, suite à la publication de mon rapport, « mon président me demande de vous inviter… » sous-entendu s’il n’en tenait qu’à moi tel ne serait pas le cas. » Mais alors me direz-vous le vrai patron c’était le président qui imposait la présence à un colloque du CIVB d’un « haut-fonctionnaire parisien » (sic) qui avait écrit des horreurs sur « les grandes ombrelles des appellations qui abritaient des vins indignes » ? Simple velléité d’un jeune président remis très vite au pas. Les présidents passent le directeur reste est une règle générale dans les grands zinzins sous perfusion de CVO.


Reste que partout ailleurs les directeurs d’Interpro, s’ils tiennent l’intendance de la maison, ne sont pas les patrons. Sans leur faire injure qui peut me donner, sans aller farfouiller sur le Net, le nom des directeurs des Interpros du vin, les grandes comme les petites ?


Le problème ne situe pas à ce niveau mais à celui de se poser la vraie question, celle qui devrait mobiliser ceux qui sont le socle des Interpros : vignerons et négociants avec ceux qui ont le cul entre deux chaises : les coopératives : y-a-t-il un patron dans une Interprofession ?


Question un peu réductrice certes qui en sous-tend une autre, bien plus fondamentale, qui définit les grandes orientations de l’Interprofession, qui fixe le cap ?


Et c’est à ce niveau que tout se complexifie de par la nature même d’une Interpro qui réunit des représentants de familles professionnelles aux intérêts parfois antagonistes, de poids économique souvent différent. Sans être totalement des auberges espagnoles les interpros, plus précisément ceux qui la composent et qui élisent les organes dirigeants, dont le président, en sont souvent réduits à se mettre d’accord sur le plus petit dénominateur commun. La lisibilité de leur action, à la fois pour les cotisants et ceux à qui elles s’adressent, n’est pas toujours évidente. Le poids spécifique du Président joue alors un rôle très important dans la stratégie et l’image des interpros.


Bien évidemment, même si j’ai la réputation d’être impertinent, je ne vais pas dresser ici un tableau comparatif du poids spécifique des présidents d’Interpros car ce serait outrecuidant et sans grand intérêt. Ce que je note simplement c’est que deux présidents  de grandes Interprofessions détiennent des mandats qui peuvent poser question :


-          Le président d’InterRhône Christian Paly est aussi Président du Comité National Vins et Eaux-de-vie de l’INAO, nommé par le Ministre de l’Agriculture ;


-          Le nouveau président du CIVB, Bernard Farges, est aussi président de la CNAOC, organe syndical de défense des producteurs de vins AOC.


Enfin, je me permets de poser la question à mes amis alsaciens : pourriez-vous nous expliquer ce qui se passe chez vous au CIVA ? Franchement ça prend des allures de règlement de comptes à OK Corral et ça trouble l’image de votre belle région link . Bon, j’évite de causer d’InterBeaujolais et d’InterLoire, ça me demanderait trop de travail… 

 

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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 00:09

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La semaine passée je me suis dit, pas de souci, c’est François Simon qui l’écrit le 26 juin, GRILLÉ, « ÇA Y EST C'EST OUVERT: J'AI TESTÉ … » link alors j’ai pédalé jusqu’au 15 de le rue Saint-Augustin qu’est une rue qui coupe la Japanese rue Saint-Anne qu’est sur ce tronçon percluse de travaux baptisés par notre maire « j’améliore votre environnement ». Donc, grand détour et quand je pointe mon nez au 15, c’est fermé. Caramba me dis-je le Simon m’aurait-il enfariné ? Non, face à mon désarroi, un homme surgi de l’intérieur pour m’indiquer que le four à pain est en rade, qu’il attend la pièce, qu’il est désolé. « Pas de souci ! » je fais cul sur pointe, ventre vide et je repars sur les chapeaux des belles roues de ma flèche d’argent jusque chez Simone, que François Simon n’a pas encore honoré de sa visite.


Hier, juste avant midi j’ai bigophoné chez Grillé link pour m’enquérir de l’état de la maison. Il me fut répondu gentiment que c’était ouvert depuis ce jour. Nouveau départ, toujours les travaux municipaux mais avec pause odorante de goudron bitumineux sur le trottoir. Chez Grillé y’a une queue de type soviétique composé essentiellement de jeunes gens type bureaucrate du  quartier qui paye en ticket-resto. Fais chaud, fais des photos du menu et j’attends pénardement. Derrière le comptoir ça s’active : le préposé à l'emblématique rôtissoire à la verticale qui avec un engin électrique pèle la viande du kebab, à l’autre bout l’homme du pain qui roule des galettes de pain à la farine bio de petit épeautre, entre les deux le fabricant du kebab, la femme des frites et l’homme de la caisse. Le rythme est bon mais j’attends tout de même 20 mn. Vais pas me plaindre car j’en profite pour faire des photos.


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C’est mon tour, je commande 1 grillé sauce tomates vertes-piments-raifort, unefrite et un nectar de pêche de vigne 15,70€(pas de boissons alcoolisées). Quand je pars la maison est au bord de la rupture de viande.


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Reste que, n’ayant pas de bureau où poser mes fesses et que les cafetiers du coin m’auraient viré avec mon kebab vu qu’ils tortorent tous du réchauffé, il ne me restait plus qu’à faire cul sur pointe et revenir à domicile. Comme il fait très chaud mon kebab et mes frites ne vont pas se transir dans le sac en papier. Je pédale avec précaution car à l’aller un gros connard de livreur a essayé de me transformer en viande hachée. J’arrive sur les coups de deux heures, je branche mon four normal pour donner un coup de chaud, surtout aux frites qui, comme le note Simon, ont le coude mou. Quelques petites photos et l’heure est au kebab bien mérité. Je n’en avais jusqu’à ce jour jamais mangé vu l’état des débiteurs de kebabs parisiens.


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Je mange donc sur mon balcon, c’est bon, même très bon. Le seul problème c’est tout à la fin où la galette roulée se déboudine et que l’on a bien du mal à retenir les lamelles de viande. Dans les bureaux ça risque de faire un peu tache sur les futals mais c’est sans doute le destin de tous les kebabs et ce ne sont pas les petites serviettes en papier qui pourront faire office. Bref, très bonne note au kebab, pour les frites peu beaucoup mieux faire et je suggère que nos 3 associés  Marie Carcassonne, Hugo Desnoyer et Frédéric Peneau se mettent en cheville avec un limonadier du quartier pour qu’on puisse poser ses fesses et manger son kebab en paix et, qui plus est, s’offrir un verre.


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En effet, ce kebab vaut mieux qu’un gentil jus de fruit, même artisanal, même bien frais avec ce temps enfin resplendissant, une si belle viande, bien rôtie, gouteuse, mérite un beau rosé de Tavel d’ Eric Pfifferling  domaine de l’ANGLORE.

 

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 11:00

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Hervé Lalau a un côté Lucky Lucke, il tire plus vite que son ombre et hier, bien sûr, il a dégainé le premier pour répondre à ma petite énigme de l’été link. À propos du héros de Morris, en rapport avec le sujet de ma chronique matinale, « en 1984, toutes les affiches du film Les Dalton en cavale ont dû être enlevées à cause de la campagne anti-tabac (on pouvait y voir le cow-boy allumer une cigarette). Sa silhouette s'en trouva considérablement modifiée, lui qui fumait depuis son deuxième album. Il arrêta donc le tabac et troqua son mégot contre un brin d'herbe, bien plus sain. Et à partir de ce moment-là, il commença à tirer DEUX fois plus vite que son ombre. Morris sera récompensé pour cette initiative par l'O.M.S. (l'Organisation Mondiale de la Santé) dans le cadre de la Journée Mondiale sans Cigarette, le 7avril 1988. »


Dernier détail, j’adore les liens, Lucky Lucke fut une collaboration franco-belge puisque Goscinny en fut le scénariste  (à partir de l'album no 9 Des rails sur la prairie jusqu'à l'album no 46 Le Fil qui chante (sauf l'album no 10), et notre Hervé est un français émigré en Belgique pour la bonne cause vineuse. Voici sa réponse :


Je ne peux pas jouer, il y aurait délit d'initié.


C'est Jean-Luc, bien sûr; notre Dehaene, le Flamand qui collectionne les coqs (haan = coq). Il paraît qu'il avait oublié le rendez-vous.


On racontait une blague à son sujet du temps où qu'il était Premier, comme on dit en Belgique.


C'est l'été. Le Roi Baudouin, qui est un type très simple, dans l'intimité, va acheter des côtelettes, pour faire un barbecue au Palais de Laeken, juste à deux, avec Fabiola.


Chez le boucher, face au Palais, il rencontre Jean-Luc, tout nouveau premier ministre. Pour faire mieux connaissance, et pour lui présenter la Reine, il lui propose de venir partager leur barbecue.

Le gros Jean-Luc accepte, rouge de confusion.


Alors qu'ils arrivent au Palais, la Reine prend Baudouin à part: « Je t'avais dit de me ramener des côtelettes, pas le boucher! »

.

Bonne journée chez toi!


Et puis, ô surprise, ce fut une collègue de travail qui suivit de près Hervé :


Profitant de l'heure de l'apéritif pour me régaler de tes chroniques, je découvre celle-ci et réponds sans hésitation: Jean-Luc Dehaene.

Serais ravie de découvrir la cave Miroir d'autant que j'ai repéré sur la chronique de ton anniversaire un Domaine des ardoisières qui attise ma curiosité!

Bel été

Amicalement


La suite vit se pointer : Franck Boisset, Bruno Creugny, Joachim, Alexandre, Gérard Poirot, Jean-Yves, Alexixc, Jean…


Mention spéciale à Alexandre qui nous donne une info « Jean-Luc Joseph Marie Dehaene... Ancien premier ministre belge, né à....... Montpellier... C'est la BBQ attitude »


Enfin, je signale au sieur Régis Tomassian qui ironise sur la taille des verres que la taille de la quille n’a pas été mentionnée par le Taulier. Nous serions 12, Sonia et moi buvons aussi, au Miroir, si par un hasard heureux tout ce petit monde s’y rassemblait le même jour à la même heure, un jéroboam, soit 3 litres permettrait d’étancher la soif de ce petit monde ou mieux, chacun paye sa bouteille, mais alors la descente de la très pentue rue des Martyrs se ferait en roulé-boulé…

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 00:00

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Depuis hier le paquet de cigarettes coûte 20 centimes de plus après une hausse de 40 centimes au mois de novembre. J’ai fumé d’abord des P4 puis des Gauloises, puis des Gitanes et des Boyards maïs link avant de terminer en roulant mes cigarettes avec une petite machine et en grillant des Puros Mes Vices cachéslink. Je n’ai jamais été addict, fumant peu, par période, lorsque j’écrivais car le tabac est un excellent excitant intellectuel. Jamais en réunion, dans la rue ou au restaurant. Je ne sais plus très bien lorsque j’ai cessé de fumer, sans effort ni manque, presque dix ans sans doute.  Les buralistes sont en grève contre la cette nouvelle hausse des prix du tabac. Bref, nous sommes en France, Philippe Muray, gros fumeur soulignait en 2003 « les mille et une contradictions de la croisade menée » contre les fumeurs, « à commencer par l’Etat qui préfère de loin poursuivre une juteuse politique d’augmentation des prix du tabac que d’interdire celui-ci à la culture comme à la vente, et se priver ainsi des formidables recettes fiscales qu’elle génère. »


Mais, contrairement à Muray je ne crois pas que les fumeurs soient une « espèce en voie d’extinction et honteuse de l’être. » Même si les emballages de leur « poison légal », c’est toujours du Muray, affichent « en grands caractères noirs sur fond blanc « on n’arrête pas de leur répéter qu’ils vont mourir prématurément, qu’ils nuisent à leur entourage et même qu’ils torturent leurs propres spermatozoïdes puisque fumer « provoque l’impuissance » Ils fument, et j’ajoute elles fument et elles sont jeunes et jolies. 10 ans après, « le désarroi ne règne pas dans le camp du fumeur, cet ennemi du genre humain », et « la débandade n’est pas imminente. » loin s’en faut Philippe Muray dont le décès doit avoir été classé dans la statistique des fumeurs. Oui on fumera encore au nez des dieux...


Muray qui pense que son combat est d’arrière-garde, « qu’on ne fumera plus au nez des dieux »  c’est de Jules Laforgue. (Citation du titre) s’interroge : « où se réincarneront l’hostilité profonde, le malaise, la crise psychologique tenace et générale que conduisent les conduites tabagiques ? »


Pour lui « le simple geste de fumer, surtout dans un monde qui désapprouve si hautement ce geste, est une manière radicale, y compris chez ceux qui n’en ont pas conscience, de désapprouver ce monde, et même sans doute de l’exécrer discrètement à coups de légers tourbillons bleus et ondulants. »


Il s’interroge « Où passera cette répulsion essentielle et quotidienne lorsqu’elle ne pourra plus s’exprimer par le tabac ? Où, dans la convivialité aseptisée de l’avenir, se reformera cette passion négative extrême et presque secrète (mais qui fait aussi partie des instruments de la régulation sociale), lorsque toutes les entreprises de dissuasion et de prohibition auront porté leurs fruits et que la critique radicale du monde sera obligée de trouver d’autres débouchés ? »


« Les vertueux spécialistes de la santé publique n’ont aucune réponse à cette interrogation. Ils sont même incapables de l’entendre puisqu’ils ne cherchent que le bonheur diaphane de l’humanité et ne veulent pas savoir que l’humanité, comme le disait Dostoïevski, aime aussi « passionnément la destruction et le chaos » que le bonheur »

 

Matière à réfléchir…

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 12:09

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Ce n’est pas Robert Hue, ex-boss du PCF, sénateur du Val d’Oise, qui n’a jamais été Premier Ministre mais qui espérait bien être au moins Ministre de François Hollande vu qu’il est le leader du Mouvement unitaire progressiste (MUP), proche des socialos non communistes. Lire la chronique culte « Pour le rock mou, il y eut Robert Hue et les Rapaces, et pour le rock dur les Scorpions de No One Like You »link 


Qui c’est donc alors ?


Un ancien chef du gouvernement d’un pays voisin en bermuda, chemisette couleur corail et sandales de marcheur… qui ayant oublié qu’il devait passer à la télé a préféré quitter en catastrophe le barbecue auquel il participait sans repasser chez lui pour se changer.


Imaginez, chez nous, par exemple deux anciens Ministres des Affaires Étrangères, l’actuel et son prédécesseur, Laurent et Alain, se présentant dans une telle tenue sur le plateau de TF1 ou d’I Télé ?  Bonjour les Tweet ?


Pour vous aiguiller je vous offre, avec la complicité de mes amies les vaches, un indice ci-dessous.


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Le gagnant aura droit à venir licher une quille avec la Taulier à la cave Miroir rue des Martyrs où officie Sonia. Petit échantillon du boire ICI link 


Bonne journée en tongs et bermudas pour ceux qui sont en congepés !

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 00:09

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1-      Ma copine Isabelle la cathodique, qu’est du genre ogresse aux yeux bleus, écrit dans le HuffPost link qu’il faut manger à tout prix manger de la cochonnerie avec les apéros estivaux made in Bordeaux et, connaissant mon goût immodéré pour le Bordeaux Clairet, la mâtine affirme que « ce vin à la structure tannique modérée convient à merveille pour ce genre d'apéritif. Son nez intense exprime des arômes de fraises, avec des nuances de groseille ou de grenadine et, parfois, des touches florales telles que rose ou pivoine. Autrement dit, ce vin sent bon l'été et il ira de pair avec votre assiette de charcuterie française! »  (très belle photo d'un plateau  de cochonnailles)


2-      Et pendant ce temps-là dans le Figaro madame link , Marie-Catherine de La Roche, rang de perles sur chemisier blanc, dans L’apéro sans accros ni kilos, prescrit afin que les « enivrants plaisirs ne pèsent pas sur la balance et la conscience, nos astuces de chef à picorer le cœur léger  « Le saucisson (400 kcal*). On remplace par de la viande des Grisons ou de la bresaola (132 kcal). »


L’apéro à l’eau pure ou au pur jus de fruits pressés ce serait vraiment tristounet alors la madame concède Avec modération : vin et champagne. « La plupart des vins ne contiennent que 1 g à 3 g de sucre (1 g = 4 kcal) pour 100 ml. L’addition calorique vient de l’alcool, qui apporte 7 kcal par gramme. Dès lors, plus le degré d’une bouteille est faible, plus elle sera « calories light ». La majorité des vins tourne autour de 12° d’alcool, soit environ 90 à 100 kcal pour un verre. Au final, c’est tout de même moins qu’un demi de bière (130 kcal en moyenne) ou qu’une canette de soda (130 kcal). Quant au champagne, s’il contient un peu moins d’alcool, il peut apporter plus de sucre que le vin. De brut à sec, une flûte peut donc varier de 90 à 150 kcals. »


3-      Et pendant ce temps-là, sous le cagnard du bord des routes de la Grande Boucle, y’a une  « population hystérique » (sic) qui attend les chars publicitaires que des « jeunes filles (et quelques garçons) souvent court vêtues balancent (…) des milliards de babioles plus ou moins utiles (porte-clés, stylo Bic, sachet de lessive, bonbons). Élodie, sympathique kiné lyonnaise de 26 ans établie à Paris, dispute son 7e Tour de France au sein de la caravane Cochonou. « En tout, pendant le Tour, on distribue 5 000 cabas, 115 000 bobs et 460 000 mini-saucissons secs. Ça fait neuf tonnes de saucisson. » Un témoignage édifiant sur le blog de d'Henri Seckel et Rémi Dupré journalistes du Monde.link

 

Vous avez dit sauvageons des cités ? Lisez !


« Le public. Parfois, surtout en montagne, les gens ont tellement envie d’avoir les « goodies » qu’ils peuvent se jeter sur la voiture, essayer de nous attraper, d’agripper les sachets de bobs, etc. Il faut faire très attention, se mettre bien au milieu de la deudeuche. Et puis s’ils n’ont pas leur saucisson, on peut se prendre des jets de diverses choses. Le plus sympa, c’est l’eau. Parfois on a de la bière, parfois des cailloux, etc. En montagne, il faut vraiment faire attention.

[Un autre membre de la caravane Cochonou nous a déclaré : « Si tu t’arrêtes dans la montagne, t’es mort. Les mecs te piquent tout, ton bob, tes lunettes. Une année dans les Pyrénées, des Basques attendaient au-dessus de l’entrée d’un tunnel et ils se mettaient à pisser quand arrivait la caravane. On était accueillis par un rideau de pisse. Il fallait passer en fermant les yeux et la bouche. »]

Sans commentaire mais vous pouvez en faire sans modération…

 

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 07:00

L’équipage du Falcon EX, le commandant de bord, le copilote et une hôtesse nous attendaient au pied de l’appareil, souriants. Ils nous saluèrent au fur et mesure de notre passage. Gabrielle, tout de cuir rouge vêtue, fut bien sûr la première à gravir l’échelle de coupée intégrée à la porte de l’avion, suivie de très près par ce cher Antoine qui n’en finissait pas de la couvrir d’attentions. L’ex-moine, si tant est que cette histoire de monastère reposa sur une quelconque réalité, se comportait comme un godelureau découvrant les feux de l’amour. Avant qu’elle n’entame son ascension, je le chuchotai à l’oreille d’Adeline, ma jeune coéquipière, qui ne put s’empêcher de pouffer discrètement de rire. Première paille dans le bel acier de sa carapace, elle le comprit, je profitai de mon avantage pour lui saisir, un instant, le gras du bras, que du muscle, elle ne broncha pas. Un guépard cette fille, il y avait du défi dans son regard, elle me testait. Je fronçai les sourcils et, à ma grande surprise, elle éclata d’un grand rire chevalin avant de monter les marches quatre à quatre. « Putain, quel cul ! » pensée commune aux trois mâles qui suivirent sa progression du regard. L’hôtesse, sourire commercial scotché à ses lèvres carminées, fit  celle qui n’avait rien vu. Elle aussi était fort bien gaulée. L’aménagement intérieur de l’avion, sobre, fonctionnel, très à l’image d’Antoine, se divisait en deux espaces, l’un de travail à l’avant avec des tablettes en loupe de noyer et l’autre où les profonds fauteuils de cuir permettaient de s’isoler mais aussi de se transformer en couchette. Le Falcon EX est un triréacteur dernier né de la lignée des Falcon 50 construit par Dassault Aviation. Un petit bijou  dont la vitesse de croisière de 840 km/h et le rayon d’action maximum de 6000 km. Nous nous installâmes à l’avant. L’équipage s’installa. L’hôtesse referma la porte. Les réacteurs feulèrent. L’avion entama son roulage jusqu’en bout de piste. Nous décollâmes à 17h35. Le 50 EX a la particularité de se contenter de très courtes pistes, 1200 mètres, ce qui est bien utile pour se poser dans certains pays exotiques. Antoine nous en fit la remarque en souriant.


Nous atteignîmes notre altitude de croisière très rapidement. L’hôtesse nous proposa des rafraichissements. Gabrielle et moi optâmes pour le Cristal 2004 de Roederer, alors qu’Adeline et Antoine s’en tinrent sagement au jus d’orange. Étrangement Gabrielle restait silencieuse. J’en profitai pour faire l’intéressant en évoquant ma fascination pour les voyages au long court avec une préférence marquée pour les paquebots transatlantique. Je pérorais « j’adore l’ambiance des ports. Sur un petit carnet datant de mon séjour dans l’estuaire j’avais même inscrit une phrase de Giraudoux tiré de Suzanne et le Pacifique « Des voyageurs retour de Damas, qui partaient pour l’Océanie, regardaient avec émoi, symbole de la vie errante, des mouettes qui n’avaient jamais quitté Saint-Nazaire. » Antoine, bon élève, m’écoutait poliment alors que Gabrielle semblait rêvasser. Ma coéquipière s’en tenait à sa position hiérarchique et ne pipait mot. Même si je sentais que je m’enfonçais inexorablement dans un long tunnel sans issue je persistais. J’embrayais même sur la splendeur des sleepings, le Trans-Orient-Express… lorsque la voix flutée de Gabrielle, sortie de nulle part, stoppait net mon envolée « ça tombe super bien mon grand, nous passons la nuit à Venise. Antoine, qui est choux tout plein, nous a réservé deux suites au Danieli. J’adore ! » À mon côté, Adeline, étouffait son pouffement de rire sous une serviette. Un ange passait et Antoine, toujours grand seigneur, pour me sauver la mise, embrayait sur le tacle que « collaborateur » Fillon venait d’administrer à son insupportable « ancien maître ».


L’hôtesse compatissante me resservait du champagne. « Même si ça m’étonne moi aussi, il a été pour une fois à la hauteur ton cocker triste. Tout le monde attendait qu’il se couche, aille ronchonner à la niche. Non, avec panache, il a été au rendez-vous, il ne s'est pas défilé, il a assumé, et sa colère contre l’agité arrogant et son ambition. Il a tapé juste «L’UMP ne peut vivre congelée, au garde à vous, dans l’attente d’un homme providentiel» et a rompu avec Sarkozy. Il a canardé « Chacun a le droit de vouloir servir son pays et chacun aura le droit d'être candidat aux primaires, mais personne ne peut dire : Circulez ! Il n'y a rien à voir, le recours, c'est moi ! » Toi qui adore les gracieusetés et le coup de pied de l’âne, tu es servi. «Nous avons agi dans l’urgence, trop souvent au coup par coup, sans aller toujours au bout des changement nécessaires et attendus » ce n’est pas de langue de bois aseptisée. Comme tous les gus comprimés, l’ombrageux François, s’est lâché en parlant de la multiplication des affaires qui pourrit l’atmosphère. C’est un bon angle car le cas Guéant dans le dossier Tapie va plomber Sarkozy. » J’écoutais Antoine d’un air poli, les guéguerres de l’UMP je m’en tamponnais la coquillette mais il m’était difficile de dire ça comme ça. Pour faire diversion je lui lançais « Te souviens-tu Antoine de Marie-Amélie ? 

-         Celle qui te disait en pleine traversée des Andes « Rassurez-vous, vos cojones ne risquent rien ! Venez, je vous les réchaufferai en sortant ! »

-         Oui c’est bien elle.

-         Pourquoi tu me parles d’elle à cet instant précis ?

-         Tout bêtement parce je crois me souvenir qu’après avoir quitté son cher ambassadeur d’époux elle s’est installée à Venise.

-         Tu tiens à jour le fichier de toutes tes anciennes maîtresses Casanova ?

-         Marie-Amélie n’a jamais été ma maîtresse !

-         Une simple passade…

-         Si tu veux…

-         Gabrielle sache que la comtesse confiait à notre ami, en affichant un air réellement contrit « qu’à son âge ignorer tout des charmes de la fellation, des douceurs du cunnilingus et des rudes transports de la sodomie relevait de la mutilation... »

-         Et alors, j’ai fait œuvre utile.

-         Bien sûr cette sainte femme revendiquait le droit à l’orgasme et tu t’es dévoué.

-         Oui, c’est tout à fait cela.

-         Tu veux que nous l’invitions à dîner ?

-         Excellente idée… Je pourrai ainsi radoter tout mon saoul avec elle…

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 00:09

Que voulez-vous, même si j’ai pris un coup de vieux, ce 12 juillet fut beau, très beau, très riche, avec toute la chaleur de mes amis tout autour, les lointains qui ne pouvaient pas venir mais qui ont pris le temps de m’écrire un petit mot ou de me poster de la zik : pour Gabrielle qui se dore au soleil ce fut du hot The Coasters - Down in Mexico, du côté du sieur Pousson de Barcelone Pigalle - Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs, de Michelle Didio, fidèle et attentive lectrice « Quel meilleur cadeau que Mozart pour votre anniversaire surtout si c'est joué par Anne Queffelec née en 1948. Belle journée d'anniversaire ! », les proches à midi autour de la surprise avec 1 bougie de Carole du Restaurant les Climats, le soir à la cave Miroir rue des Martyrs avec notre Sonia à la baguette : Aurélie, Eva, Marie, Samia, Antonin, Laurent, Guillaume et que du bon en liquide et en solide.


Merci, merci, merci, bisous à tous et à l’année prochaine, du moins je l’espère…


Florilège des mots des absents (pas tous mais merci aussi à Carole, Sophie, à Patrick, aux 2 Olivier, aux 2 François, aux 2 Hervé, Jean-Baptiste, Xavier, aux 2 Jean-Michel... et tous ceux de Face de Bouc... et Magalie retenue à Bruxelles. 


-          Miroir, ô mon miroir… Jacques, grand merci d'avoir songé à moi pour cet événement parisien. Las, je suis coincé dans mon Sud pour un moment sans pouvoir trouver le temps de monter en la Capitale.

Je penserai fort à toi et aux copains présents ou non en débouchant une belle bouteille !

Que la vie te soit douce !

Michel Smith


-          Que du beau monde pour lever haut le verre et honorer l’ami taulier. Mon verre est en Bretagne il me suit pour un petit séjour iodé. Mazaltov le taulier

Pierre Guigui

 

-          Je brillerais par mon absence, exilée pour le week-end à Prague où je penserais bien à toi, face à mon assiette généreusement garnie de goulasch, une bière fortement alcoolisée à portée de main pour faire glisser.

Isabelle Spiri


-          Quelle tristesse !! Suis sur mes terres avec défilés digne de Babel : russes, brésiliens, anglais, bretons, suisses… la semaine est chaude

Miren de Lorgeril


-          C’est pour torturer ta muse que tu sais absente J ! Je le regrette beaucoup! Prends des photos dans tes habits de lumière! Et bois un verre à ma santé je ferai de même, un verre de med!

Gros bisous taulier vareuse

Gabrielle Vizzavona


-          Ah, quelle tristesse

Je suis coincée a Siaurac avec des vikings qui font un tournage sur Siaurac...

J'avais bien noté tes 50 printemps... Et quelques hivers...

Je te les souhaiterai autrement  et penserai à toi !

La baronne

Tante Aline


-          Bonjour Jacques! 

Joyeux anniversaire, j'étais avec vous par la pensée hier, je me suis cassé la figure en scooter, plus de peur que de mal, mais je n'étais vraiment pas en état de boire des coups…

Fleur Godart


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