Ce dont je suis certain c’est que la réponse à cette question ne me vaudra pas un VIN/VIN de la part de notre irremplaçable Fabrice Le Glatin.
Le très beau sourire en couvertrure de cette chronique est celui de Lauranie Choco ICI link j'adore le chocolat alors comment ne pas craquer...
Donc, comme vous l’avez lu ce matin, le sieur Guigui nous avait entraînés lundi matin sur ses Terres du curé pour nous faire déguster ses amphores bio. Fabrice n’y était point donc ce n’est pas lui le lien.
Le soir, sur le coup de 7h et demi, j’ai fait un saut au Tupperwine choco Pineau Cognac de Fabrice au Wine by One de Stéphane Girard rue de Marignan. Pierre Guigui qui était plongé dans ses chiffres n’y était point, ce n’est donc pas lui le lien.
Revenons enfin à l’information initiale brute telle que je l’ai lu dans l’organe de référence des catholiques Français : la CROIX. « Pénurie de vin de messe et d’hosties au Venezuela » link
« Les pénuries alimentaires récurrentes au Venezuela ont atteint l’Église catholique qui envisage de réduire le nombre de messes en raison du manque de vin et de farine pour confectionner des hosties, a affirmé lundi à l’AFP l’évêque de Mérida (ouest du pays).
« La réserve de vin que nous avons à Mérida est de deux ou trois mois », alors que celle d’hosties « est très réduite (…) parce que les religieuses qui les confectionnent ont d’énormes difficultés à trouver de la farine de blé », a expliqué Mgr Baltazar Porras.
Le Venezuela est habitué aux pénuries de produits alimentaires et de consommation courante, comme le papier toilette, en raison d’une économie fortement importatrice mais où il est difficile d’obtenir des dollars à cause d’un contrôle des changes drastique imposé par l’État. Beaucoup de prêtres des régions andines du pays se fournissent en vin et en hosties à Cucuta, une province colombienne frontalière.
LE VIN DE MESSE À 16 DOLLARS LA BOUTEILLE
« Si nous n’avions plus les éléments pour officier, nous devrions réduire les célébrations de l’eucharistie, ce qui serait regrettable », a ajouté Mgr Porras.
Les difficultés de production de vin consacré proviendraient de la suspension d’une exemption d’impôts dont bénéficiait la production locale par l’entreprise Bodegas Pomar, filiale des Entreprises Polar – plus gros industriel agroalimentaire du pays. Le gouvernement a accusé à plusieurs reprises les Entreprises Polar d’accaparer les produits alimentaires de base. La fin de cette subvention a fait grimper le prix de la bouteille de vin de messe à 16 dollars (12 €). »
AFP
Certes je pourrais proposer :
1- à Pierre Guigui d’inclure à l’avenir le vin de messe bio dans son grand concours mais ma suggestion n’apporte aucune réponse à la question posée.
2- à Fabrice Le Glatin d’organiser son prochain Tupperwine sur le thème pain&vin de messe mais là encore je tirerais à côté de la plaque.
Alors mais où est donc caché ce fameux lien ?
Réfléchissez !
Vous donnez votre langue au chat ?
C’était pourtant simple : c’est MOI
Je vous sens un peu piégé, vous vous dites pourquoi le Taulier nous a-t-il entraînés dans un tel rébus ?
La réponse est aussi simple que la précédente : pour faire la courte-échelle à l’ami Fabrice Le Glatin, un gars qui travaille bien pour le service du vin. Sérieux, consciencieux, jovial, le Fabrice est dans le petit notre petit univers un type que j’aime bien et je n’ai pas trouvé d’autre moyen de le lui dire et de vous le dire. Continue Fabrice ! Toi t’as toujours VIN/VIN car tu les vaut bien...