À ce qui suit…
Annoncer que le « Château Dauzac, qui appartient à la Maif, va lancer un second vin élaboré par une jeune chef médiatique. »
J’étions invité par le Château Dauzac, à partir de 19 heures au Princes de Galles mais, comme j’avions décidé depuis le début de cette année de ne plus honorer de mon irremplaçable présence les pinces-fesses parisiens, poliment j’avions décliné l’invitation lorsque l’agence de communication m’avions relancé.
Comme vous pouvez le constater, eu égard à mon absence de maîtrise de la conjugaison, j’aurais un peu déparé dans les salons.
Mais, comme y’avait de vrais journalistes à cet évènement, qui n’était pas un déjeuner de presse mais un grignotage de presse, je me permet de vous faire bénéficier de la relation qu’en a fait Clotilde Briard le 18/03 à 06:00 dans les Échos sous le titre Dauzac, un margaux qui pousse sa marque
« Pour élaborer son second vin, Château Dauzac a choisi d'innover. Le domaine du Bordelais a demandé à une jeune chef, Stéphanie Le Quellec, qui officie au Prince de Galles à Paris, vient tout juste de recevoir sa première étoile au guide Michelin et a été lauréate de l'émission « Top Chef », d'y apporter sa touche personnelle. Une manière de muscler de manière visible sa stratégie de marque.
En février a donc eu lieu au château une rencontre entre Stéphanie Le Quellec, le directeur technique et l'oenologue conseil pour définir l'expression d'un margaux dont il a été décidé qu'il serait plutôt sur le fruit et pourrait se boire jeune. « Nous voulions aller chercher une sensibilité féminine en lien avec la gastronomie », remarque Laurent Fortin, le directeur général. Ou comment mêler le principe de l'égérie et du parrainage pour donner naissance à Aurore de Dauzac, qui commencera à être commercialisé en 2015. En niveau de prix grand public, cette nouvelle griffe se situera aux alentours de 18 euros, contre une quarantaine d'euros pour le premier vin. »
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Vous conviendrez aisément que le Taulier n’aurait guère ajouté de la valeur ajoutée en allant se pavaner du côté du Prince de Galles.
Il se peut que le château Dauzac se taillât ces jours-ci une belle place dans les feuilles vineuses de mes chers confrères patentés, ou non, et chez certains blogueurs des deux sexes…
Voilà une chronique qui ne m'a pas demandé beaucoup d'effort, moins j'en fait mieux je me porte et comme dit sa publicité la MAIF assureur-militant sera contente de ma contribution à l'érection de sa marque château Dauzac...
J'adore les zinzins !