À mon âge, tout au long du fil de ma vie, j’avoue avoir connu des temps forts, des hauts et des bas, plus de hauts que de bas d’ailleurs, mais pour me préserver j’ai toujours veillé à ne pas donner trop de prise aux autres. Depuis que je m’expose un peu sur la Toile j’ai petit à petit ouvert mes fenêtres et je suis très heureux d’avoir tissé des liens avec vous tous qui me lisez peut-être. Je suis un peu confus de ne pas être aussi attentif à vous tous mais, comme le temps n’est pas extensible, je ne puis à la fois chroniquer tous les jours, exercer mon activité professionnelle et engager des échanges avec vous.
Merci de m’avoir témoigné, au travers de vos messages, une attention à laquelle je suis sensible. Ce 12 juillet 2012, je vous l’assure, fut une belle journée en dépit d’un temps exécrable. Tous ceux que j’aime, via tous ces petits canaux modernes : sms, appels, Facebook, m’ont chaleureusement claqué des bises. Oui touché mais pas coulé : ça fait du bien au cœur, au corps et à l’âme en dépit de ces années qui s’accumulent et qui un jour sans doute, du moins je l’espère, me porteront sur les rives d’une sagesse vive.
C’est déjà demain alors je vous embrasse toutes et tous. Que du bonheur à vous, à nous, pourvu que ça dure…
Votre chroniqueur dévoué… et parfois un peu déjanté…
Jacques Berthomeau