Dans les bars branchés on voit ça tous les soirs : l’abomination de la désolation, le sommet de l’horreur pour grand amateur certifié par Ecocert, le déferlement d’une horde bruyante de glaçons dans le verre de sa boisson vénérée, le vin.
Bon quand c’est du rosé le péché est véniel.
Je plaisante bien sûr, mais boire un vin à bonne température, ni chaud bouillant comme un supporter de l'OM, ni glacé comme une volleyeuse de Cannes (voir plus bas), fait partie de la nomenclature agréée par le syndicat des sommeliers.
Y’a pas de quoi en faire un plat, un seau à glaces et le tour est joué. Sauf qu’il ne faut pas être pressé et comme les petites louves et les petits loups ont souvent le feu au cul la solution c’est ICEBAR rafraîchisseur pour bouteille ou pour verre.
Je ne sais pas ce que ça vaut, je n’ai pas essayé, et je ne sais encore moins si les grands maîtres du nectar ne vont pas pousser des cris d’orfraies, parler de nouveau sacrilège.
De quoi s’agit-il ?
D’un moule à glaçons qui permet de réaliser des bâtonnets qu’il faut insérer ensuite dans un tube en acier inoxydable.
Ce tube on le plonge dans la bouteille de vin ou le verre. Voir les crobars.
Bloqué au niveau du goulot par son bouchon en silicone, le rafraichisseur ne perd pas pied dans la bouteille.
J’attends votre verdict.
Ça coûte 28 €
Peut-être une idée de cadeau ?
Moi ce que j’en dis c’est pour chroniquer. Je ne touche aucune royalties sur les ventes.
Bonne dégustation !
Quand j’entends ça : je bois !
Pour les lecteurs qui aiment le volley-ball et les calendriers (pas ceux de la Poste, des éboueurs et des pompiers) un petit cadeau avant la Noël.