Alors que la majorité des travailleurs rentrent de congepés votre Taulier lui, part. Vous savez tous où, alors je ne vous fais pas ce matin de dessin mais je vous offre une belle ritournelle pour m’accompagner dans une Ile dites, à juste titre de beauté. Comme je suis démago je commence par la version de Tino Rossi qui n’est pas vraiment ma tasse de thé. Ensuite, pour respecter les paroles originales : la version roucoulante de Julio Iglesias puis celle plus celle de facture plus classique de Placido Domingo. Mais cerise sur le gâteau, celle que je préfère est celle totalement déjantée d’Arno. J’adore… elle est jubilatoire… elle donne envie de boire et de danser… Comme je suis bon je vous ai épargné la version de Mireille Matthieu le rossignol d'Avignon.
Nina, lorsque pour ma vie je suis parti
Quittant des belles Antilles le ciel bénit
Tandis que sur le rivage toi tu pleurais
Nina, belle fleur sauvage que j’adorais
Ta colombe si chère ta Paloma
Vint se poser légère sur le gravât
Puis me quittant bien vite vers toi revint
J’accompagnais sa fuite de ce refrain
Con ta Paloma
Vers toi belle Nina
Toujours s'envole
D’une aile fidèle vers toi mon cœur s’en va
Con ta Paloma
Vers toi belle Nina
Toujours s'envole
D’une aile fidèle vers toi mon cœur s’en va
(Changez !)
Longtemps sur la mer si belle j’ai voyagé
Pourtant mon amour fidèle n’a pas changé