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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 09:21

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« Ma poule ! » telle fut l’appellation dont me gratifia, sitôt notre première rencontre au Plazza-Athénée, un fils de pub bronzé à la lampe qui a réussi sa vie puisque, bien avant ses 50 ans, il exhibait une Rolex à son poignet. Je ne suis pas bégueule puisque c’était pour le boulot je n’ai pas bronché sans pour autant lui retourner le compliment.


Avant la Noël, pour mon dîner des Tronches de Vin, une douzaine, j’ai inscrit un « risotto de poule » au menu. Top ma poule ! Que du bon !


JP Gené de son côté, dans le Monde, proclame « Voici venu le temps des vieilles poules. Depuis novembre, elles pondent de moins en moins à mesure que la température baisse. » link 


Enfin, Guillaume Lapaque, nous convie du côté de Bourgueil le mardi 21 janvier à partir de 11 h 00 au restaurant « Vincent Cuisinier de Campagne »  19, rue de la Galottière, 37140 Ingrandes-de-Touraine a un lâché de poules dans les vignes (250 poules seront lâchées dans 1 ha de vignes entièrement clôturé, à terme ce seront des «gélines d'Ingrandes-de-Touraine») link


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Du côté du 53 de la rue des Martyrs, tout en haut dur dur à vélo,  j’ai mes aises « au cul de poule » où règne la belle et grande Camille. Pour sûr que l'ami Feuilly vous dira en détail ce qu'est un cul de poule...


Des poules, des poules oui mais avec toutes ces poules que boiriez-vous camarades ?

 

À vos plumes !

 

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commentaires

P
<br /> dans votre papier sur les lieux de convialité, vous omettez de parler d'un sujet qui fache, je veux parler des prix pratiqué par la plupart des bars qui sont dissuasifs au point qu'effectivement<br /> je n'y met plus les pieds, le demi à 4 euros et le café a 2 à bientot 2 euros, non merci c'est pas pour la bourse des smicards......<br />
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L
<br /> Alors là, Denis, si tu « zappes » le Jura – moi, j’en raffole mais il y a du Arbois-bashing dans l’air, sais pas pq – je te rejoins sur un chenin bien mûr. Mon<br /> « anjou » à moi est un Saumur : chez Philippe Vatan au Château du Hureau. Et en moelleux – « Coteau » donc – tout aussi fameux. L’ironie veut que si tu prépares avec cela<br /> une duxelle de champignons de ... Paris, ils viendront vraisemblablement de là aussi ! J’aime également un riesling qui peut garder un peu de résiduel (Fränkisch trocken, vers 4<br /> gr/l) : Julius-Echterberg « S » du domaine Wirsching à Iphofen, p.e. Et pour finir, un « encruzado » du Dão, comme la Quinta dos Roques, près de Mangualde.<br />
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F
<br /> Sur des mets à base de poule risotto et autres, moi je bois du Jurançon de chez Jean-Joseph Aurisset Château Lapuyade route de Lucq 64360 Cardesse, vin en label biodynamie sa cuvée Marie Louise<br /> (petit manseng) une palette fruitée grillée, s'épanouit dans une bouche impressionnante par son gras son ampleur généreuse son équilibre et sa persistance une pure merveille avec une poule au<br /> pot, sur un brebis et pour finir le repas un Russe de chez Artigarréde d'Oloron-Sainte Marie.<br /> <br /> <br />  <br />
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C
<br /> autre sujet:<br /> <br /> <br /> Je viens de découvrir que le nouvel homme peut être ? "sauveur" de Libération est un François Moulias, qui a été parfois proche des milieux viticoles audois .Jacques, tu dois savoir ? Est-il<br /> apparenté a Jean Moulias bien connu au MINI AGRI et ex DG de l'INAO ?<br />
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J
<br /> <br />  <br /> <br /> <br />  Je pense Jean que c'est le fils de mon ancien collègue<br /> Jean Moulias en effet :<br /> <br /> <br /> Nous sommes deux atypiques », explique M. Moulias, qui répond tout de même un peu quand on l'interroge. Les deux hommes se<br /> seraient rencontrés il y a sept ou huit ans, raconte M. Moulias, qui cherchait alors des investisseurs pour un projet mêlant « vin et immobilier », La Compagnie des terroirs. Le « deal » ne sera pas conclu, mais M. Ledoux et lui mènent depuis<br /> des « opérations » dans l'immobilier avec leurs sociétés respectives.<br /> <br /> <br /> Pour parvenir à redresser le titre, M. Moulias mise sur son profil<br /> d'« entrepreneur ». Il assure avoir fait « dix métiers », sans préciser lesquels. Parmi les sociétés que ce Parisien a gérées, on trouve une entreprise<br /> de formation et une de vin, créées dans l'Aude, où il a vécu « de 2003 à 2008 ».<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> Pour une simple poule au riz, j'ouvrirai bien un Anjou blanc; celui de Vincent Ogereau par exemple.<br /> <br /> <br /> Si la poule est a la creme et aux morilles, j'opte pour le Macon-Fuisse du Domaine de la Verpaille.<br />
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