La RVF a remis les Trophées du vin aux onze professionnels qui incarnent le rayonnement du vin en France. La soirée a eu lieu au Bristol le 10 janvier 2013.
L’an dernier, l’avait rien demandé, le Taulier comptait parmi les invités du Président de la RVF, un certain Jean-Paul LUBOT. Comme c’est étrange cette année j’avions point eu de carton : exit le vilain petit canard noir qui a osé rappeler à une huile que les règles de la bienséance veulent que l’on ne sollicite jamais une invitation, et que celles de la déontologie professionnelle exigent que l’on paie ses additions.
Pourtant au Bristol j’avions aussi des amis comme Jean-François Préau de la coopérative de Mailly mais aussi certains qui auraient aimé me sonner les cloches. Pas très élégant tout ça, pas très fair-play, l’important c’est de plaire, surtout de surtout ne pas déplaire, « petit blogueur de merde » à la niche. La presse est sous la férule de ceux qui tiennent les cordons de la bourse alors mieux écarter les emmerdeurs de mon espèce.
Ce qui me fait beaucoup sourire c’est que, même invité, je n’y serais pas allé. La raison en est toute simple : bien loin des petits fours et des nectars parfois surfaits bien mieux m’attendait. Avant de tirer ma révérence, je salue tout de même tous ceux des journalistes de la RVF que j’aime bien, dont j’apprécie le travail. Pour le reste quoi dire ? Tout simplement : Rien, c’est si petit et si mesquin… si humain…