Mes lecteurs ont du talent je n’en ai jamais douté, alors lorsque j’ai reçu un petit mot de Denis Boireau :
Bonjour Jacques,
Suite à ton appel pour des chroniques à publier sur ton blog, voici un petit mot qui j’espère t’amusera.
Bien entendu je te laisse décider si c’est publiable… ; n’hésites pas à modifier si nécessaire.
Amicalement
Denis
Je lui ai de suite répondu : EXCELLENT et je n’ai pas changé un mot du petit mot.
Excellent son titre : LA TRIBU DES CHEVEUX SALES ou « une segmentation naturelle du marché du vin » link
Excellent son texte, plein d’humour, d’empathie pour la tribu, avec une belle saillie, même que les premiers lecteurs ont cru que j’en étais l’auteur, c’est dire. Bonjour l’ego Berthomeau.
Excellente la chute :
« Qui sommes-nous donc pour critiquer ?
Longue vie à la tribu des cheveux sales et à leurs vins ! »
Du boulot comme je l’aime. Restait à programmer la chronique du père Denis.
Quel jour ?
Mon tarin de vieux routier de la blogosphère, humant la bonne affaire, m’a incité à la mettre en ligne hier dimanche.
Le dimanche, surtout avec ce temps, beaucoup d’entre vous baguenaudent sur la Toile et se la joue un chouïa sur Face de Bouc.
Bon plan, ce fut la ruée vers l’Ouest, le triomphe de la tribu des cheveux sales, aucun scalp, la caravane est passée sans encombre dans le canyon de la mort où officient les zélateurs des vins nus qui manifestement ont plus d'humour que leurs détracteurs.
Résultats : plus d'un millier de lecteurs et 130 j'aime sur Face de Bouc...
Cette chronique n’était qu’un petit Warm Up du père Denis, en effet lorsque notre amateur modeste, comme les cépages qu’il aime tant, aura à nouveau du temps à consacrer à l’écriture, il reviendra vous régaler sur mon espace de liberté.
La morale de cette histoire c’est que l’avenir appartient aux audacieux et que je ne vois pas au nom de quoi certains d’entre vous ne chausseraient pas les bottes du père Denis.
À vos claviers chers lecteurs, lancez-vous dans l’aventure de l’écriture, libérez-vous de vos inhibitions, passez à l’acte pour le plus grand bien de l’extension du domaine du vin.
À bientôt donc sur mes lignes, les vôtres bien sûr car vous le savez tous moins j’en fais mieux je me porte…
Oh Denis doo-be-do
I'm in love with you, Denis doo-be-do
I'm in love with you, Denis doo-be-do
I'm in love with you
Denis Denis, oh with your eyes so blue
Denis Denis, I've got a crush on you
Denis Denis, I'm so in love with you