L’univers du vin est vraiment impitoyable, tous les coups sont permis. Hier dans une lettre à mon père link j’évoquais les ingrats qui faisaient tout pour chercher des poux dans la tête aux dévoués. Mais pourquoi disais-je cela. Tout bêtement parce que je venais de lire ça dans Challenges :
« Je le vis comme un couteau que l’on me plante dans le dos. Au moment où nos efforts collectifs sont récompensés, quelques mécontents veulent tout saborder. »
Qui c’est qui qui a dit ça ?