Puisqu’hier nous étions dans une ville, dont on dit qu’elle est la plus sportive de France, continuons notre jeu grand jeu de piste normal de l’été en poussant plus avant.
« En 1953, notre Replongeard, Raymond Dumay « arrive à Carcassonne à six heures trente-deux. Il a troqué sa Terrot « 100 » pour une « 125 » et il va entamer son périple dans le plus grand vignoble du monde afin d’y rencontrer, non des vignerons, mais des gens de plumes. »
Dans ma chronique : « Ma route de Languedoc : le Replongeard ne s’égare point dans les vins du coin » je note que « même si un vieux Languedocien lui fait cette remarque « Notre pays est sec, mais il est heureusement irrigué par trois fleuves : le Vin, la politique et l’Opéra.» sur les 208 pages de Ma route de Languedoc, jamais Dumay ou presque n’évoque le fait qu’il ait bu un verre de vin. »
À une exception près : « Seul Limoux sauve l’honneur « Nous devons à Limoux deux produits connus : la blanquette, vin blanc délicat, un peu sucré et les romans de Magali »
En lisant la suite de cette chronique vous saurez avec quel auteur Dumay déguste de la blanquette : quel est le lieu de naissance de cet auteur ?