À peine arrivé sur le territoire du confetti royal des Corbières, notre grand jeu de piste normal de l’été donne la parole à Raphaël Sorin, l’inventeur d’Houellebecq qui rappelle que celui-ci était un fan des « chaînes d’hôtels un peu cheap genre Campanile ou les Citadine (...) je l’ai toujours imaginé ainsi. Ce type, « En fait, ne sait pas vivre, ne connaît rien à la bouffe, rien aux vins. Vous pouvez lui servir n’importe quoi à table, il sera content. Quand il venait dîner chez moi, j’avais beau faire le maximum, il bouffait comme s’il était chez MC Do. »
Tout ça pour rappeler que j’ai commis une chronique dont je ne vous révèlerai pas complètement le titre car ce serait douter de votre sagacité « La carte et le territoire, Houellebecq m’a offert une bouteille de … » où je besognais un texte à la manière de… en me mettant dans la peau du pingre Houellebecq qui venait de se voir octroyer le Goncourt.
Tout ça pour faire une pub éhontée à une cuvée élue meilleur vin du Languedoc : laquelle ?