Mon pépé Louis chantait j’ai deux grands bœufs dans mon étable et pendant ce temps-là Marguerite Donnadieu écrivait, au château de Duras son premier roman « Les Impudents » où elle exaltait la beauté des paysages de son adolescence et elle devint célèbre sous le pseudonyme de Duras. Bien plus tard votre Taulier acculturé écoutait Zazie chanter « Un point c’est tout… un point c’est elle… » avant de rendre visite aux Rebelles de Duras qui, retranchés à Paris, lui offraient des canons de beaux calibres pour qu’il en fasse bon usage pour faire feu sur le quartier général !
Ben oui c’est cela un jeu de piste normal : il faut faire bien des détours pour atteindre un but qui en fait était juste sous votre nez. Si j’ai un conseil à vous donner : inscrivez DURAS dans la case du moteur de recherche et lisez ce que vous y trouverez et dans l’une des chroniques vous découvrirez que le Taulier accorde une mention spéciale « à un petit bijou, une rareté (6500 b), un vin éclatant, rond sans artifice, du velours à fines côtes, c’est vigoureux, vif, du fruit plein la bouche sur un bar de ligne à la croûte de sel : à se sucer les doigts et à finir son verre… »
Le nom de ce petit bijou m’agréerait chers compétiteurs ?