« Le vin circule donc facilement à pleins tonneaux mais aussi en muids, en setiers, en lots, en queues, en poinçons, en pipes en ce plat pays où le charroi est facile. « La navigation, axée sur l’Escaut » contribue à un important trafic de transit et de répartition locale.
Mais comme souvent les « séductions se multiplient, et le progrès façonnant les mœurs, les habitudes de consommation changent » et de nouveaux fournisseurs de terroirs plus favorisés par la nature apparaissent jouant de « leurs arômes, attractifs sans doute puisque le client goûte et suit bien. » Les nouveaux venus sont « les crus de Bourgogne, Volnay, Pommard, Beaune » mais aussi les Arbois, les Auxerre et bientôt les marchands embarquent bientôt au passage à ..... des vins qui « profitent de la nouvelle vague, de la nouvelle vogue. » Le catalogue se gonfle donc et « à la fin du 15ième siècle apparaissent les vins de .......... Ils ne s’appellent pas encore ainsi, mais bien « vins de la Montagne » ou « vins de la Rivière » Ce sont alors des vins rouges .’.. « en attendant la prise de pouvoir par les bulles blanches, au moment où l’on constatera que le nom de « .......... », terre ingrate, sèche et pauvre, est réellement porteur... »
10ième Question : Les ... remplacent deux villes et une région, indiquez les noms de ces 2 villes et de la région alors province qui deviendra une appellation.
Nous sommes à mi-parcours de ce Grand Concours de l’été et, comme le Tour de France, nous faisons étape pour cette 10ième Question chez nos amis belges, grands amateurs de vin et de cyclisme. Alors pour les allécher, vous allécher, je leur mets sous le nez de belles bouteilles de deux beaux vignerons d’Alsace Jean-Michel Deiss et Etienne Sipp avec l’Alsace 2009 du Domaine Marcel Deiss et le Grand Cru Kirchberg 1999 de la maison Louis Sipp.