Aujourd’hui c’est, comme on dit, « comme un lundi » qui, comme chacun sait, est le lendemain du dimanche, jour qu’on ne passe plus à Orly mais sur la zone commerciale d’Evry à tromper l’ennui.
Même si le dimanche on peut toujours lire au lit mes petites chroniques je me suis dit, pour être bien compris, qu’il me fallait tout de même opérer une petite piqure de rappel ce lundi.
Alors, même si je n’ai jamais vraiment compris le succès de Richard Anthony, son goût prononcé, non pas pour le vin mais pour le train, qu’il entend siffler, m’a incité, à lui emprunter l’un de ses titres très entraînant : et je m’en vais.
Bien sûr je ne mets pas la clé sous la porte, je ne me tire pas à la cloche de bois, mais tout simplement je décroche.
Je vais le faire à mon rythme, tel un plongeur remontant par palier à la surface, décélérer sans pour autant arrêter de pédaler car, tout cycliste le sait, le risque est grand alors de tomber sauf si on est doué pour faire du sur-place comme savent si bien le faire certains de mes collègues éminents dégustateurs.
Ce ne sont pas des adieux, je reste fidèle à mon espace de liberté mais il faut savoir se ressourcer, se donner de nouveaux horizons, ne pas tomber dans la répétition.
Je vais donc continuer de chroniquer mais sans calendrier, sur tout et rien, et bien sûr le vin. Ainsi je ne me croirai plus obligé de participer à des trucs et des machins sans intérêt. J’ai déjà commencé. Ça m’évitera d’y croiser certaines gueules de raie qui s’y pavanent.
Si vous souhaitez connaître mes raisons allez donc lire ma chronique du dimanche : « Du vin, non merci, un soupçon, une larme… link
Sinon vaquez à vos occupations et bonne journée à tous…
jpglorieux 13/01/2014 14:04
JACQUES BERTHOMEAU 13/01/2014 14:05
eric baldo 13/01/2014 11:54
Bernard Burtschy 13/01/2014 09:54
Roger Feuilly 13/01/2014 00:43