<br /> La très respectueuse RDF dans une livraison de début d'année indique une estimation par les champenois du nombre de col de Dom Pérignon soit entre 4 et 5million . Les garnements nous font croire<br /> qu'il s'agit la d'une information quasi secrête qu'il nous font partager, en prenant des risques ( hihihi ) très confidentiellement : le risque en effet de s'attirer les foudres de LVMH et de son<br /> très chatouileux PDG Bernard ARNAULT ( OK Taulier ?) Mais c'est aussitôt pour vanter le produit et la<br /> performance qui consiste à élaborer un produit         ( sisisi, un produit) dune telle régularité pour une telle quantité ! Ce qui est le critère d'une<br /> production industrielle qui ne laisse plus aucune place à la nature. ( Sans compter les achats de raisins ou de vins du coté de Bar sur Aube.) Pour LVMH dont les journanux financiers ne cessent<br /> de nous rapporter les performances cela pose à terme un problème d'approvisionnement tant il est évident que la surface de production en propre ou en location, tout comme l'aire de production AOC<br /> n'est pas extansible. Par ailleurs la notion de luxe à cette échelle reste plus que subjective et sujette à caution. Nous n' en voulons pour preuve que la baisse des CA, en valeur et en quantité<br /> de LVMH et KERING alors que HERMES s'en sort plus qu'honorablement. Ce que c'est que produire "du luxe" et non poursuivre des traditions ancestrales. Parvenus va !<br />

<br /> Partout, les vignerons paient les vendangeurs pour le travail qu'ils fournissent. Le salaire n'est pas élevé en soi, mais les frais annexes sont devenus exorbitants, au point même que des<br /> domaines de renom ont ... renoncé à leur troupe et se servent de l'infâme machine à vendanger. Je connais au moins une propriété qui ne récolte pas ses Echezeaux à la main (le décret ne l'exige<br /> d'ailleurs pas), pour ne prendre qu'un exemple. En Champagne, il faut payer pour aller couper le raisin! <br /> <br /> <br /> J'ai vu les guillemets à "adoreur", mais on pourrait signaler au petit génie de l'agence de com que le mot adorateur, sans guillements, existe en français. C'est le substantif dérivé du verbe<br /> adorer. Est-ce que ce n'est pas cela qu'il voulait dire? En plus, la connotation mystique, excessive, renforcerait son message. Et si cela ne lui plaît pas, je lui suggère "aimeur". Ah bon, on<br /> dit amateur ? <br />

<br /> Je ne suis pas "adoreur" de DP, mais si on pouvait rajouter une louche pleine de caviar, une chaîne souvenir en or, un jolie pépée genre Zaia, un Cohiba de taille raisonnable et une virée en<br /> Bugati dans les vignes, je pourrais peut-être me prononcer...<br />