Mademoiselle Louise,
Vous faites de la provocation et c’est bon !
Non bien sûr, et vous le savez, et le démontrez, le vin ne rend pas con, le pauvre il n’y est pour rien car il n'est qu'une victime, pris en otage par des…, je n’ose leur appliquer votre qualificatif, qui nous saoulent, nous gonflent, nous prennent la tête, nous font ch… comme le chantait monsieur Béranger.
« À tant aimer le vin, nous en avons dégoûté les autres.
À coup de commentaires aussi ésotériques pour le profane qu’un code des impôts pour un collégien, on a perdu l’essentiel de vue.
Si on aime un vin, c’est pour le partager. »
Vous êtes tout à fait destinée à prendre la tête de l’Amicale du Bien Vivre mademoiselle Louise !
Je vous laisse la plume car vous l’avez trempée dans un juste courroux.
« Les guerres, un pluriel qui donne le vertige autant qu’il déprime.
Quid de savoir quelle tranchée choisir entre pro natures (entendez vins sans sulfites) et pro-traditionnels? Que dire encore des interrogations fumeuses pour savoir si un cubi en forme de sac à main ne devrait être considéré comme une forme de sexisme à l’égard des femmes ou si un jeune ayant le mauvais goût d’apprécier un rosé pamplemousse doit être cloué au pilori du pédantisme bachique de certains? Doit-on voir dans une dégustation pour filles, un show sexiste et réducteur? »
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Merci mademoiselle Louise de votre contribution à l’extension du domaine du vin.