Samedi dernier, à l’heure du déjeuner, je suis allé du côté de la Bourse de Paris qui, depuis le « soulèvement des machines »*, a un petit côté Gois de Noirmoutier, inoccupé comme échoué à tout jamais. Alors, de temps à autre, l’ex-temple du capitalisme accueille, non plus des aboyeurs, mais des grands amateurs venus spéculer sur les Grands Vins. C’est, dit-on, le Salon de la RVF. Bon, sans vouloir être mauvaise langue, le plan d’occupation des sols est plus qu’optimisé et faut jouer des coudes pour circuler. Normal, le boss Jean-Paul Lubot c’est un gars qui sait compter, il a une calculette à la place de son double cœur (pour ceux qui ne comprendraient pas prière de s’adresser au Cercle Vendéen)
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J’y suis allé deux fois, la première vendredi pour licher le vin de mes copains, la seconde samedi pour tirer le portrait de belles tronches de vin. Lors de ces deux passages j’ai croisé le considérable Jean-Paul Lubot qui, lors de ma sortie le samedi, m’a fusillé du regard. Franchement je me demande bien pourquoi : que lui ai-je fait pour qu’il me toise ainsi ? Comprenne qui pourra ! link
Le Taulier s’est donc offert une séance de shooting express dans les travées de Brongniart. Voici le résultat. Comme votre Taulier est aussi doué pour faire des clichés que pour déguster y’a eu beaucoup de photos ratés et je suis désolé de ne pouvoir mettre dans ma galerie de Tronches de Vie tous ceux que j’ai tenté de photographier. Ce n’est que partie remise.
* le soulèvement des machines fera l'objet d'une chronique un de ces 4 chez le Taulier