Gardiens de la langue française, talibans de l’orthographe, ayatollahs de la conjugaison : « De grâce ne me fusillez pas ! »
Au hasard d’un rendez-vous la semaine passée à l’angle des rues du Sentier et de Cléry j’attachais ma flèche d’argent, en avance je baguenaudais et tombais nez à nez avec une étrange affiche que je mettais en boîte.
Elle tombait à pic.
Je bichais !
Cette fois-ci on ne m’y reprendrait pas je laissais à ma consœur la concierge, qui tient un HUB du côté de Saint-Émilion, le soin de tailler des bavettes sur mon devenir…
Quel avenir pour cet espace de liberté où l’on croise maintenant n’importe qui ?
Je le sais moi et ce n’est pas un poisson d’avril…