Ce dont parle le Taulier s'écrit laid motion. Rien de plus vile que ce besoin des journaleux et politicards à la petite semaine que de parler sur ce ton au lieu d'aller aux fonds des choses et de s'informer aux bonnes sources.<br /> Et que je t'y vas du grand remplacement par ci au grand remplacement par là.<br /> Marine Le Pen grande tricheuse devant l’éternelle commence par balayer d’un revers de langue les chiffres de l’Insee. Elle annonce le chiffre d’un solde migratoire de +/- 300 000 émigrés par ans amis sans le justifier pour autant.<br /> Hervé Le Bras *grand spécialiste honoraire de l’Insee, département démographique avance des chiffres moindres tout en les justifiant. Il se montre d’accord sur solde migratoire positif chaque année mais fait il malicieusement remarquer a ce rythme, faite le calcul du nombre d’année qu’il faudra pour remplacer une population de 60 000 000 d’habitants.<br /> <br /> Autre exemple de dégueulasserie putassière d’une presse voulant absolument faire la bouse. Actuellement se tient à Marseille le procès du sinistre du passage à niveau de Millas dans les P.O.<br /> Les comptes rendus dans la presse ne cessent de faire larmoyer les lecteurs sur le sort des familles en deuil, de l’avenir compromis des grand blessés à présent handicapés etc. **<br /> Rien sur la réalité des faits. On s’appuie sur les rapports laconiques de la gendarmerie sur des témoignages pas toujours vérifiés ou contredit par d’autres.<br /> Pour tous la conductrice est responsable et surtout seule responsable.<br /> La pauvre n’en démord pas, la barrière était ouverte. <br /> Inadmissible à entendre. Il nous faut un bouc émissaire. Nous avons quand même le droit de faire notre deuil !<br /> Une « Expert judiciaire » psychiatre déclare avec impudence : « Elle ne peut pas avouer. Dans le cas contraire elle s’effondre totalement. » Qu’en sait elle cette péronnelle ? Comment sait elle si la barrière était fermée ?<br /> J’ai à Collioure un très bon ami ingénieur expert international en automatisme qui m’a montré le dossier qu’il a constitué avec trois autres ingénieurs de la même trempe. Édifiant tout point avancé par eux est illustré et démontré, sans conteste possible, alors que le dossier du procureur ne comporte que des hypothèse à charge.<br /> Pour faire court on trouve dans leur dossier de très nombreuses photos illustrant le passage d’un train barrières levées.<br /> Ils ont été voir l’assureur de la société de transport qui s’avère être le même que celui de la SNCF. Il est évident que la clientèle du transporteur pèse peu au regard de celle de la SNCF.<br /> Pourquoi en est on là aujourd’hui, alors que les accidents sur passage à niveau ne sont pas rares en France, chaque année.<br /> La différence tient au fait que les accidents « ordinaires » ne font l’objet que d’articles en page régionale ou locale voir d’un simple entrefilet. L’importance de l’accident de Millas, si la responsabilité de la SNCF devait être établie ferait que les pouvoirs publics lui imposeraient de prendre en urgence, toutes dispositions utiles pour éviter le renouvellement d’un tel drame. Or la SNCF n’en a nullement les moyens.<br /> Voilà dans quel maelström est entrainée cette pauvre conductrice dont la vie, quelle soit innocentée ou pas est dors et déjà foutue.<br /> Le minimum voudrait quelle soit disculpée au bénéfice du doute.<br /> Mon ami et ses compères étudient tous les moyens pour porter leurs travaux sur la place publique de la manière la plus utile possible.<br /> Pour la petite histoire, ils se sont rapprochés de l’avocat de la défense. Le grand con a décliné leur offre.<br /> A suivre…<br /> <br /> So long’<br /> <br /> <br /> * « Il n’y a pas de grand remplacement » Herve Le Bras – Grasset éditeur<br /> <br /> ** Quand va ton arrêter de faire pleurer dans les chaumières avec la mort d’un enfant. Cela, par décence élémentaire devrait être réservé à la sphère privée.<br /> Quand comprendra t’on qu’un enfant, tout comme un adulte, est mortel. <br /> Certes l’histoire veut que les adultes meurent avant les enfants. Quand ce n’est pas le cas, cela s’appel la guerre.<br /> La mort est la mort. Il y a t’il une manière de mourir pour un enfant qui soit moins pénible pour ses parents.<br /> Faut il toujours chercher un responsable ? En quoi le décès d’un enfant du à une maladie grave est il plus grave que celui de l’enfant tué par la chute d’une souche de cheminée lors d’une tempête.<br /> Quel responsable va t’on rechercher ? Les laboratoires pharmaceutiques qui n’ont pas assez avancé dans leurs recherches ? L’ouvrier qui a mal maçonné la souche de la cheminée ? Le propriétaire de la maison qui a mal entretenu son bien ?<br /> Il faut un responsable « afin que cela ne se reproduise pas » aime à citer le journaleux en encadré qui donne la parole aux proches de la victime.<br /> Brisons là et, pour ne pas aggraver mon cas, je vais me contenter de renvoyer les petits curieux à Matthieu 8 – 22<br /> On peut cependant se demander jusqu’ou va ce besoin d’identifier un responsable ? Avez vous remarqué, lors de la dernière tempête comme s’est esquissée l’idée que, peut être, Météo France, n’a pas fait le nécessaire, en temps et en heure et en couleur pour avertir effectivement les populations ?<br /> <br /> Mais là, pour ce que j’en dis…