Chers fidèles lecteurs,
Privés depuis plusieurs matins de mes incomparables, inoubliables, chroniques, vous vous inquiétez de ma santé.
Je me porte comme un charme mais je ne puis vous abreuver, étancher votre inextinguible soif, car mon ordinateur refuse de se connecter sur Overblog.
J’en suis désolé.
Alors ce matin je reviens vers vous via mon IPhone pour vous consoler.
L’espace de liberté, tel un insoumis dopé par la résistance à l’oppression, affirme sa volonté de survie.
Commentez tels des morts de faim, des bois sans soif, épandez-vous tel un Pax privé de son shoot quotidien.
à bientôt les amis, tenez bon la Révolution est en marche, la route sera longue telle celle de Mao.