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14 juin 2022 2 14 /06 /juin /2022 06:00

 

J’en étais, oui nous avons politiquement échoués mais, pour autant, je ne vais pas me laisser taxer de social-traître, ni de macroniste masqué, par les « petits bourgeois révolutionnaires » de l’alliance de circonstance la NUPES.

 

Oui, la « deuxième gauche » n’aimait ni les programmes concoctés en chambre, ni les tendances durables qui incitent mécaniquement à la haine du plus proche. Oui elle repoussait une rhétorique prétendument révolutionnaire qui se dégonfle dès que l’on gouverne. Oui elle rejetait ceux qui prétendent, selon de mot de Michel Crozier, « changer la société par décret », c’est-à-dire à la fois par le haut et sans consultation de ceux que la décision concerne.

 

Je fier d’en avoir été mais je n’ai pas l’âme d’un ancien combattant accroché à ses souvenirs, à ses espoirs déçus, la page est tournée, définitivement tournée. L’abstention massive est le symptôme d’un pays qui en appelle qu’à la protestation, aux conflits, à l’affrontement. Le peuple n’est pas au rendez-vous de Mélenchon, l’attelage présidentiel est fourbu, sans perspectives claires, nous allons traverser des zones de turbulences intérieures dans un monde lui aussi dangereux et instable.  

 

Que faire ?

 

J’avoue que je n’en sais fichtre rien, suis orphelin, attendre et voir, vivre ma vie en essayant de toujours être en conformité avec ce qu’elle a été, ça ne changera ni le monde, ni notre vieux pays mais ça m’évitera d’être amer, de participer à la foire aux invectives sur les réseaux sociaux, de sombrer dans « la haine ordinaire »

 

Allez, bonne lecture, et bonne semaine.

Qu'est-ce que cette fameuse "Deuxième gauche" que nombre de journalistes, après le décès de Michel Rocard, travestissent en gauche molle, en gauche accommodante, en gauche "réformiste" (c'est quoi, la gauche "révolutionnaire", ceux qui hurlent "Révolution" ou qui entendent s'abstraire de la mondialisation?)?

 

Il y a deux ans, à la demande d'étudiants de l'Ecole Normale Supérieure qui avaient organisé un colloque à ce sujet, j'avais préparé une communication, m'efforçant de résumer le concept, de rappeler ce que signifiait le livre que Patrick Rotman et moi avions appelé ainsi.

 

Pour les courageux, voici ce texte, histoire de mettre les points sur les "i" :

 

Si l’on me demande d’évoquer la « deuxième gauche » trente ans après, je me retrouve dans une situation assez étrange. Patrick Rotman et moi sommes contraints d’assumer la paternité de la formule, puisqu’en 1982, nous avons ainsi intitulé notre livre consacré à l’histoire politique et intellectuelle de la CFDT, et que ce livre, à l’époque, a rencontré un écho auquel nous ne nous attendions pas.

 

Néanmoins, le succès de l’expression, par-delà le succès du livre, en a beaucoup dénaturé le sens. La majorité de l’appareil socialiste, qui n’a jamais compris grand-chose à la CFDT, et la plupart des journalistes politiques, ont par la suite parlé de « deuxième gauche » pour désigner un courant socialiste – en gros le courant Rocard-Delors auquel était adjoint Edmond Maire –, courant censé reconnaître la prééminence du marché, abhorrer le protectionnisme, assumer son hostilité au PC stalinien, se défier du tout-à-l’État, et revendiquer explicitement la voie de la réforme. Un courant classé à « droite », entre guillemets, selon la vulgate, tandis que la « gauche » du PS, toujours entre guillemets, continuait d’annoncer une « rupture avec le capitalisme » qui n’est jamais venue, et des moyens pour y parvenir ont qui démontré leur inanité. Un courant étiqueté « catho », étiquette confuse et passe-partout.

 

Ce n’est donc pas pour défendre le copyright que je vais ici tenter de résumer notre propos initial. C’est, à la fois, pour rappeler ce qu’était la deuxième gauche quand nous l’avons baptisée ainsi, et pour échapper aux acceptions polémiques et caricaturales (ou les deux) qui ont eu cours ensuite, si tant est que ce soit complètement terminé.

 

À l’origine, donc, la deuxième gauche, qu’est-ce que c’est ?

 

Rappelons le contexte. La gauche, fondée sur une alliance inégale PC-PS vient pour la première fois depuis la Guerre, de remporter les élections. Le PC, quoique déclinant, reste influent dans la mesure où la CGT est sa courroie de transmission. La guerre froide se poursuit et même s’intensifie – la pression soviétique vient de se resserrer sur la Pologne où le syndicat Solidarnosc est étouffé, ce que ne récusent ni le PC ni la CGT. La voix des dissidents russes ou tchèques, durement réprimée, n’en est pas moins audible dans la mesure où l’intelligentsia occidentale s’emploie à la relayer.

 

Nous entreprenons, Rotman et moi, de reparcourir l’histoire de la minorité de la CFTC devenue majoritaire au début des années soixante en imposant la déconfessionnalisation du syndicat. Et ce qui nous passionne, là-dedans, c’est la manière dont, très librement, des ouvriers et des intellectuels, chacun se nourrissant de l’autre, chacun reconnaissant à l’autre son champ de compétence et son expérience propre, s’unissent pour élaborer démocratiquement une pensée autonome et originale du socialisme. Ce que Pierre Rosanvallon, dans un article d’Esprit paru en 1977, nomme le « déploiement de la pensée hors des doctrines établies et des orthodoxies closes ». La pierre angulaire de cette démarche est l’obsession de la laïcité. Pas seulement de l’absence de toute référence confessionnelle ou de toute inféodation à l’Église. La laïcité, pour les fondateurs de la CFDT, et d’abord pour Paul Vignaux, longtemps dirigeant du SGEN et théoricien de la notion, est une laïcité de l’esprit, une laïcité de l’élaboration, et de l’action qui en résulte. Il est significatif qu’Edmond Maire et ses devanciers rejettent avec la dernière énergie le « progressisme » chrétien, la mythification de la classe ouvrière comme unique classe messianique, et la soumission des compagnons de route à l’autorité du Parti avec majuscule. Bref, la « laïcité », pour ces militants, est l’émancipation de la pensée, l’autonomie de l’action, l’indépendance envers quelque avant-garde éclairée ou auto-proclamée.

 

Ce qui les pousse, d’ailleurs, à passer des alliances, à chercher l’unité d’action. La CFDT naissante ne craint pas de s’allier à la CGT courroie de transmission. Mais à condition d’être forte. Une des phrases favorites de Vignaux et de ses successeurs est que, pour dîner avec le diable, il faut avoir une longue cuillère. Au fond, ce qu’ils veulent, c’est faire émerger en France, malgré l’héritage du guesdisme et le congrès de Tours, une confédération syndicale qui fasse le poids, qui tienne la route, qui élabore ses propres objectifs.

 

Là où ils restent « chrétiens », c’est sans doute dans l’attention à l’événement, à la manière dont l’histoire rebat les cartes, parfois à l’improviste. Nombre d’entre eux pourraient se réclamer du personnalisme dans la mesure où Emmanuel Mounier soutient que « l’événement est notre maître intérieur ». Cela se vérifie en maintes circonstances, dont je retiendrai trois exemples.

 

D’abord, la guerre d’Algérie. Les devanciers d’Edmond Maire n’hésitent pas à se rendre à Tunis, siège du gouvernement provisoire en exil de la future république algérienne, pour y rencontrer l’UGTA, et cela à une époque où la SFIO soutient l’effort de guerre même si le mot n’est pas prononcé, et où le PC réclame la paix mais dénonce toute collusion avec les représentants de l’insurrection.

 

Mon second exemple, c’est mai 1968. Alors que le Parti et la CGT ne cessent de mettre en garde contre les « provocations » et s’appliquent à déployer un cordon sanitaire entre les étudiants et les salariés, alors que la FGDS voit essentiellement dans ces péripéties un hasardeux contretemps du calendrier, la CFDT joue le mouvement à fond, notamment en étant partie prenante du meeting de CharlétyMichel Rocard et Pierre Mendès France sont les seuls hommes politiques de gauche à saluer la fronde.

 

Mon troisième exemple est décembre 1981, quand le coup de force des militaires écrase et paralyse Varsovie. Tandis que Claude Cheysson, ministre des affaires étrangères, déclare que « la France ne fera rien, naturellement », et que le PC et la CGT approuvent quoique du bout des lèvres, la CFDT mobilise aussitôt, rejoignant les intellectuels, tels Michel Foucault ou Cornelius Castoriadis.

 

L’autre originalité de cette gauche différente, c’est la conception même des rapports sociaux et du rôle du syndicat. Les cédétistes se réclament d’un syndicalisme de projet, c’est-à-dire d’un syndicalisme qui s’efforce de penser la société en mouvement, et d’y développer des thèmes qui ne soient pas seulement la défense plus ou moins frileuse d’intérêts corporatifs singuliers, mais qui, au travers de ces luttes, promeuvent l’intérêt général. Il n’est pas indifférent que, tandis que les bastions traditionnels de la classe ouvrière s’effondraient – les mines, la sidérurgie, etc. –, la CFDT a fait porter son effort sur les services, sur les femmes, sur les petites entreprises. Lorsqu’elle a commencé à grandement s’inquiéter de la désyndicalisation perceptible dès le milieu des années 70, c’est sur ces secteurs qu’elle a cherché à se développer – avec, d’ailleurs, un succès inégal. En 1995, c’est dans ce droit fil que Nicole Notat, contre vents et marées, a appuyé la démarche d’Alain Juppé en matière de retraites. Elle fut conspuée, et même physiquement agressée par certains collègues, notamment par les sectateurs d’un corporatisme étroit. Depuis, l’histoire a tranché, et les socialistes ont subi l’épreuve des faits en matière de saine répartition.

 

Pas étonnant que le monde que nous décrivions, Rotman et moi, ait offert mille occasions de convergences à toutes sortes d’acteurs. Militants socialistes proches du PSU ou en rupture avec la SFIO, militants SFIO questionnés par l’attitude de leur formation durant la guerre d’Algérie, militants ex-communistes en quête de recyclage, militants gauchistes ayant épuisé les fantasmes de l’après Mai, militants issus de la sphère associative en quête de cohérence plus globale. À l’époque où nous écrivions sur la deuxième gauche, la CFDT constituait une sorte de vivier, de plateforme, de forum, de club intellectuel où le souci de l’anticipation tenait toujours une place éminente – d’où de nombreuses confluences avec, par exemple, les experts du Plan.

 

Mais c’est évidemment la question du partenariat politique qui va devenir envahissante. La CFDT affirme une représentation de la démocratie qui lui est propre. Et franchit, sur ce chemin, plusieurs stades. Ce qu’on rejette est facile à énoncer. On rejette ceux qui prétendent, selon de mot de Michel Crozier, « changer la société par décret », c’est-à-dire à la fois par le haut et sans consultation de ceux que la décision concerne.

 

Cela s’exprimera de diverses manières dont la plus tenace sera l’idée d’autogestion. Et, bien sûr, au moment où nous publions notre livre, cela interpelle directement l’actualité. La gauche au pouvoir, longtemps unie par un « programme commun » dont le contenu économique paraît – et est – non viable aux yeux des responsables cédétistes, reste prisonnière d’une culture programmatique où un catalogue de réformes est débattu entre tendances puis plus ou moins appliqué, plutôt moins que plus, les citoyens demeurant extérieurs au processus.

 

La « deuxième gauche » n’aime ni les programmes concoctés en chambre, ni les tendances durables qui incitent mécaniquement à la haine du plus proche. Elle se veut « réaliste », non point pour signifier qu’il faut en rabattre sur l’audace ou l’espérance, mais pour signifier que les seules transformations importantes sont celles qui se font réellement. Peu lui chaut le débat sur les nationalisations à outrance ou les nationalisations des filiales (on a vu ce qu’il en est advenu), peu lui chaut une rhétorique prétendument révolutionnaire qui se dégonfle dès que l’on gouverne. Sa conviction, réaffirmée en permanence, est qu’une négociation est préférable à une grève, et que le réformisme est l’unique chemin pour transformer profondément et durablement la société. Edmond Maire aime à répéter en toutes circonstances que le temps est la dimension cardinale des changements. C’est évidemment, à l’époque où les socialistes prétendent initier une rupture en cent jours, une position irrecevable et provocatrice.

 

L’idée de la deuxième gauche est de s’émanciper une fois pour toutes de ce que Jacques Julliard a baptisé le réflexe de « culture dominée ». Face aux communistes, face aux gauchistes qui placent rituellement la barre trop haut puis s’effarent que l’on passe en-dessous, ils veulent une gauche, si j’ose dire, décomplexée, une gauche compétente, efficace, qui parle vrai, qui dit ce qu’elle pense quand elle le pense. Le modèle n’est pas loin, il s’appelle Pierre Mendès France.

 

Pourquoi ce dernier est-il si important aux yeux des militants cédétistes ? C’est un laïque, un républicain, un résistant (on ne dira jamais assez combien le refus de la CFTC d’accepter la politique de Vichy fut un refus fondateur, bien avant la question coloniale). Et puis c’est un homme qui, contrairement à François Mitterrand, juge que les fins sont dans les moyens. Position qui ne vaut pas seulement en matière d’éthique mais en matière d’efficacité. Mendès dit et répète que les régimes qui prennent des libertés avec la démocratie ne sont pas seulement des régimes qui se salissent, mais qui se condamnent eux-mêmes à terme. Il suffit de relire le discours de Blum au congrès de Tours, discours largement inspiré par Lucien Herr, pour percevoir combien ce débat est pertinent et actuel.

 

Cela éclaire le langage que tient la deuxième gauche sur la social-démocratie, sur la rigueur, et autres thèmes tabous dont l’orthodoxie socialiste – sans parler du reste – ne veut pas entendre parler. Pour agir sur l’économie de marché, il faut admettre qu’on ne sortira pas de l’économie de marché. Pour agir sur la mondialisation, il faut admettre (admettre comme un fait) la réalité de la mondialisation. Mendès a montré, en 1954, qu’un gouvernement de gauche, s’il prenait ses concitoyens au sérieux, devait leur parler de rigueur, et avec rigueur. Et que cela, loin d’entériner l’austérité, était l’indispensable point de départ pour agir avec justice, pour négocier et légiférer efficacement.

 

Nous étions loin du compte en 1982. Je crois que le succès de notre livre, et de son titre, tient largement à la diffusion de ce discours-là, un an avant le virage à 180° du gouvernement socialiste, virage dont Pierre Mauroy assuma courageusement la responsabilité, mais dont François Mitterrand nia ou esquiva qu’il fût si ample et si nécessaire.

 

Et pourtant, la deuxième gauche a politiquement échoué. Je parle ici de sa seconde acception.

 

Cela tient d’abord aux archaïsmes du Parti socialiste. Quand Pierre Mauroy et Michel Rocard se sont unis, en 1979, au congrès de Metz, pour défendre l’idée qu’il était temps d’appeler un chat un chat et un social-démocrate un social-démocrate, ils ont recueilli 40% des mandats mais ont bel et bien été battus. J’ai encore dans l’oreille l’incantation de Laurent Fabius, à laquelle ce dernier ne croyait pas une seconde : « Entre le plan et le marché, Rocard, il y a le socialisme. » No comment, comme disent les anglo-saxons. Nous sommes en train, trop tard, trop mal, de revenir sur terre. Mais cette terre a changé, et le socialisme s’est caricaturé lui-même. J’en veux pour preuve le débat, lors des dernières primaires, où il était encore question de contourner la mondialisation ou d’instaurer une dose de protectionnisme. J’en veux pour preuve l’idée de « démocratie participative » présentée comme une idée nouvelle. J’en veux pour autre preuve la manière dont les socialistes continuent de se classer en « gauche » ou « moins gauche » suivant des critères d’avant la chute du Mur de Berlin. Et l’on pourrait, à l’infini, dévider cette amère litanie. La stérilité idéologique du PS est évidemment le produit de phénomènes concrets : la chute de l’empire soviétique, la poussée néo-libérale qui en a violemment découlé, la perte du contact avec le monde du travail, avec les zones de relégation que sont devenues les banlieues. Mais je crois aussi que la professionnalisation croissante des carrières est un élément qu’il ne faut pas négliger. Jacques Julliard, haute figure de la deuxième gauche, publia naguère au Seuil un ouvrage intitulé « Contre la politique professionnelle ». C’était terriblement prophétique.

 

Mais, si je me tourne vers la CFDT, je constate que son articulation avec le politique a été bricolée et insatisfaisante. Les Assises du socialisme, où ceux qu’on nomme « les rocardiens » ont rejoint le PS avec la bénédiction très active de la confédération, n’ont pas vraiment donné le change. C’était sans doute nécessaire, mais la greffe n’a jamais pris de manière convaincante. Au fond, tandis que la désyndicalisation s’intensifiait et que le mouvement syndical lui-même apparaissait, pour persévérer dans l’être, de plus en plus dépendant de l’État ou de ses institutions directes, le rôle prophétique et fédérateur des cédétistes s’est amoindri. Edmond Maire avait coutume de dire que le clivage entre syndicat et politique est aussi structurant que le clivage entre les deux gauches. Clairement, aujourd’hui, c’est l’idée de l’autonomie qui prévaut. C’est aussi du côté de la société civile qu’est maintenant l’espérance, et la réalité du changement.

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commentaires

R
la deuxième gauche, la social-démocratie, a toujours été l'ennemi juré de la gauche radicale et surtout des lambertistes. Bien pire que la droite...Plumez la volaille sociaiste, le credo du lamberto de base...Voilà c'est fait.
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A
Philippe le Hardi, à 14 ans sur le champs de bataille à Poitiers. Le service militaire commençait tôt à l'époque. Il devint le premier grand duc de Bourgogne, suivi par son fils et son petit petit-fils, Jean sans Peur puis Philippe le Bon. Pour connaître la fin de cette dynastie, voir Jean-Marais dans le film "Le miracle des loups".
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P
on ne lit pas assez Castoriadis!. je le voyais parfois sortant de son studio derrière le thalsso à, Quiberon dans les années 90<br /> Cornelius Castoriadis <br /> petch 20 octobre 2013<br /> Cornelius Castoriadis<br /> La société est dominée par une course folle, définie par ces trois termes: technoscience, bureaucratie, argent. Si rien ne l’arrête, il pourra de moins en moins être question de démocratie. La privatisation, le désintérêt, l’égoïsme, seront partout – accompagnés de quelques explosions sauvages des exclus, minoritaires et incapables d’avoir une expression politique.<br /> (1992, dans "Une société à la dérive : Entretiens et débats, 1974-1997")
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P
Une Gauche de la main gauche ? Vous n'y pensez pas !<br /> De toutes façons il semble que beaucoup, beaucoup trop, ont oublié les leçons de l'histoire et plus particulièrement celle de Philippe le Hardi fils de Jean le Bon : " Gardez vous à droite, Gardez vous à gauche "<br /> <br /> Mais pour ce que j'en dis...
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