Hier je me suis abstenu car les Paganini des %, les insoumis, me saoulaient, vu l’abstention, avec le faible pourcentage des 2 du second tour si on le ramenait aux inscrits.
Ben oui, mais s’abstenir c’est faire le choix de laisser ceux qui s’expriment décider à votre place. Moi, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre.
Bref, que le jeune Macron, après son élection où le barrage à « la Le Pen » a joué en sa faveur, s’il ne veut pas se retrouver face à une chambre introuvable, du genre que celle dont Rocard a hérité lors de l’épisode de Tonton 2, soit amené à réfléchir sur sa façon de gouverner et infléchir ses propositions, c’est ce que nous allons voir au cours de la prochaine séquence.
L’honnêteté intellectuelle minimale exige que, lorsqu’on a recours à une démonstration pour démontrer que son adversaire n’a rassemblé qu’un faible % des inscrits au premier tour, on se l’applique à soi-même.
Au premier tour, quelles qu’en soient les raisons, JL Mélenchon n’a fait que ... % des inscrits, faites vous-même le calcul, et il n’est arrivé qu’en 3ième position.
Mon titre est tiré d’un slogan « voter Blanc c’est voter nul ! » qu’avait lancé les socialos de Georges Frèche , le Senator-major de Montpellier, en Languedoc-Roussillon pour se moquer de l’inénarrable Jacques Blanc président de la région. Le dit Jacques Blanc, au temps où je faisais le service après-vente de la politique viticole européenne de mon Ministre, Michel Rocard, fut mon interlocuteur régional, il fallait se le fader...