En 1973, Jean-Louis Bory, critique cinéma au Nouvel-Observateur, publie Ma moitié d'orange aux éditions Julliard, pour défendre les droits des homosexuels, ce fut un succès : une éternité !
Des goûts et des couleurs on ne dispute ou discute pas, dit-on. Quand est-il de l’orange ?
Michel Pastoureau dans son « dictionnaire des couleurs de notre temps » pose une batterie de questions.
« Pourquoi les tons orangés, qui peuvent être si séduisants lorsqu’ils sont produits par la nature, sont-ils si laids, si vulgaires lorsqu’ils sont fabriqués par l’homme ? Qu’y a-t-il dans la couleur orange des fleurs et des fruits qui soit à ce point inimitable ? Pourquoi l’écart entre la couleur naturelle et la couleur artificielle est-il plus grand pour la gamme des nuances orange que pour n’importe quelle autre gamme de couleur ? Les hommes ne savent pas encore répondre à ces questions… ».
Le naturel et l’artificiel, pouvais-je rêver d’une plus belle introduction pour ce qui m’amène à chroniquer en ce matin de vendredi du vin ?
Quelle place a occupé et occupe l’orange dans ma vie me suis-je dit ?
Sans nul doute, ma première relation avec l’ORANGE est due à celle qu’on déposait dans mes petits souliers de Noël :
22 février 2013
Ma vie en ORANGE du début à la fin où elle tombe dans le vin pour les Vendredis du Vin ICI