Y’a pas photo, c’était mieux avant, le temps où les chroniqueurs gastronomiques, loin des influenceurs-influenceuses Instagramé(e)s, n’étaient pas à la remorque des attaché(e)s de presse des stars de la bouffe étoilée, tel notre Jean-Claude Ribaut officiant au Monde avec la complicité graphique de Desclozeaux.
C’est Fleur Godart, la chouchoute des petites roues de Bettane&Desseauve, le Thierry Desseauve, celui qui, comme elles, tient la maison en équilibre, qui me l’a fait connaître au tout début de mon aventure de blogueur lors d’un déjeuner de presse.
Jean-Claude, affute toujours sa plume, il me le dit « d'un confinement, l'autre... J'ai eu le temps, ces derniers mois, d'exhumer pour le 77ème anniversaire du Débarquement une évocation de la gastronomie sous l'Occupation.
C’est chez Atabula de F.P.R, la Geneviève Tabouit de la grande bouffe étoilée, pas vraiment ma came mais, comme le disait finement notre Chirac, ses vapeurs sur Ducasse ou autres buzz « cela m’en touche une sans faire bouger l’autre ». À chacun son job, je suis à l’aise puisque je ne monnaye pas mes écrits.
S’il y a une manip qui me gonfle chez Atabula, et d’autres, c’est l’inactivation du clic droit qui interdit toute copie. Je préfère de loin ceux qui te filent le premier paragraphe puis te demande de raquer pour lire la suite. C’est mesquin.
Bref, le lien ICI permet de lire l’excellente chronique du Jean-Claude. Allez-y de bon cœur ça augmentera les statistiques de F.P.R, car tel est le but. Bravo l’artiste !
Quant à la Tête de veau «en tortue» de Jean-Claude, à consommer avec un des vins nu de la Fleur, un Nestarec acheté chez l'adorable Claire à ICI-MÊME comme Charles, j’attends.
Bonne lecture…